Les acides gras polyinsaturés sont les seuls acides gras qui réduisent le taux de testostérone. La plupart des huiles végétales (issus du colza, du blé ou du soja) sont riches en acides gras polyinsaturés de type omégas-6.
Soja et produits à base de soja
Les aliments à base de soja sont également riches en phytoestrogènes, qui sont des substances à base de plantes qui imitent les effets de l'œstrogène sur votre corps en modifiant les niveaux d'hormones et en réduisant potentiellement la testostérone (3).
On augmente donc considérablement l'excès de testostérone et dans ce cas, il y a des risques cardiovasculaires qui apparaissent liés notamment à la polyglobulie parce que le taux de globules rouges augmente (risque de caillot, risque d'accidents vasculaires…).
Taux trop élevé
Chez l'homme, cela peut être révélateur d'une prise de testostérone synthétique et utilisée en général par certains hommes, souvent des sportifs, afin de bénéficier de son rôle anabolisant et d'augmenter leur masse musculaire. Mais une hyperthyroïdie peut aussi être en cause.
Certaines plantes comme le Tribulus terrestris, la maca, la saw palmetto, le fénugrec, l'ashwagandha et le ginseng sont réputées pour stimuler la production naturelle de testostérone dans l'organisme.
Une étude conclut qu'un traitement à base de testostérone réduit l'obésité chez l'homme. Les experts sont dubitatifs. Un traitement de substitution à la testostérone serait une remarquable aide minceur, assure une étude.
Cerveaux sous testo
Résultat : la testostérone diminue l'activité d'une région du cortex appelée « jonction temporopariétale ». Or, cette zone cérébrale nous permet de nous mettre à la place d'autrui, de se glisser « dans ses souliers ».
La testostérone est une hormone qui fait partie d'un groupe d'hormones appelées les androgènes. Chez l'homme, elle est principalement fabriquée dans les testicules. Cette hormone est également produite chez la femme (par les ovaires), en quantités beaucoup moindres, et est responsable, chez elle aussi, du désir sexuel.
L'alcool fait baisser la testostérone
Une étude sur 3 semaines (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15166654) a montré qu'en consommant entre 30 et 40g d'alcool par jour, la testostérone a baissé de 6,8% chez l'homme mais aucune baisse chez la femme.
Lait de soja, tofu, miso… on le trouve sous diverses formes. Mais attention, cet aliment pourrait bien avoir des effets néfastes sur notre désir sexuel... Sa forte dose d'œstrogènes d'origine végétale entraine une baisse de la testostérone et donc une diminution de la libido !
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de testostérone, qui peuvent varier d'un laboratoire à l'autre, sont : chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. chez la femme : 0,3–3,0 nmol/L.
L'andropause touche 2 % des hommes âgés de plus de 40 ans mais tend à être plus fréquente avec l'âge. De plus, des études montrent que ce déclin en testostérone peut fragiliser les hommes avec pour conséquence des problèmes de santé tels que les maladies cardiaques et la fragilisation des os.
Les symptômes non sexuels les plus fréquents sont la fatigue, une diminution de la masse musculaire, une augmentation du tissu adipeux, une irritabilité, une baisse de l'humeur accompagnée d'un état dépressif. En présence de tels symptômes, une prise de sang avec dosage de la testostérone totale peut être réalisée.
La testostérone opère des effets anabolisants. En tant que telle, cette hormone agit favorablement sur le développement des os ainsi que celui des muscles. Elle booste, en outre, la fabrication de protéines, éléments indispensables pour la croissance musculaire.
De fortes doses de testostérone déclenchent des réactions violentes. Parmi les nombreux effets indésirables sur la santé associé à la prise de testostérone comme substance dopante, figure l'augmentation de l'agressivité.
Contrairement à une idée largement répandue, l'hormone masculine testostérone ne rend pas agressif, selon les conclusions d'une expérience comportementale dont les résultats sont publiés mardi par l'édition en ligne de la revue Nature.
Et cette hormone masculine agit comme un puissant élixir d'amour. Elle diffuse des petites ondes que perçoivent les femmes. Traduction: Plus un homme a de la testostérone, plus une femme sera sensible à son charme et donc attirée par ce dernier.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
« La testostérone est une “hormone masculine” (même si elle est également produite par les femmes) qui contribue à la croissance musculaire et qui favorise un métabolisme sain.
La testostérone est dosée grâce à un prélèvement sanguin, effectué au pli du coude. Comment se préparer : Le prélèvement se fait à jeun, le matin, en dehors de toute prise d'androgènes ou d'anti-androgènes, en dehors de tout effort physique et à distance d'un acte chirurgical ou d'un repos prolongé.
15 A une concentration de testostérone inférieure, la testostérone induit une croissance importante des cellules prostatiques. A un niveau plus élevé, cet effet semble nettement moins important, voire inexistant.
Chez la femme, la testostérone est également produite par les glandes surrénales, mais aussi par les ovaires. À la puberté, sous l'effet de la testostérone, la pilosité se développe, la peau devient plus grasse (ce qui augmente le risque d'acné)... Les hommes ont environ 6 à 7 fois plus de testostérone que les femmes.