Sur les voiliers lestés (croiseurs habitables), la stabilité positive (faculté du bateau à se redresser seul) peut atteindre des angles jusqu'à 140° (c'est-à-dire 50° en dessous de l'horizontale, mât couché sur l'eau) Elle devient ensuite négative, et le bateau continue son chavirage jusqu'à se trouver à l'envers.
La poussée d'Archimède
Comme des fils invisibles donnent son mouvement à une marionnette, gravité et poussée d'Archimède agissent en des points précis du navire : le centre de gravité (G) pour le premier, le centre de carène (C) pour la seconde. A l'équilibre, ces deux points sont alignés selon la verticale du navire.
En termes plus simples, le chavirement se produit lorsqu'un bateau, un navire ou un autre navire se renverse et commence à couler. Cela peut arriver rapidement et sans avertissement. Le chavirement se produit lorsque le poids du bateau ou du navire dépasse la résistance de la coque ou du pont.
Ce qui empêche un voiliers de chavirer dans des conditions « normales », c'est le fait de posséder une quille qui le maintient à la verticale et lui offre une résistance pour l'empêcher de dériver latéralement dans l'eau.
le conducteur de l'embarcation doit demeurer à proximité de la personne naufragée, tout en ralentissant; il approche la personne en demeurant sous le vent; il ferme les moteurs; il récupère la personne à la mer à l'aide de l'échelle ou d'un harnais.
vous ne pouvez pas conduire un bateau de façon dangereuse pour le public; vous ne pouvez pas conduire lorsque vos facultés sont affaiblies (l'alcool, les stupéfiants et les drogues contrôlées peuvent tous affaiblir les capacités de conduite).
La prise d'air peut provoquer une panne du moteur car elle favorise la formation d'une bulle d'air dans le circuit du gasoil. Bien que ce type de problème ne soit pas toujours perceptible à l'œil nu, il convient toujours de purger le circuit pour tenter d'évacuer l'air qui bloque l'arrivée du carburant jusqu'au moteur.
Les marins surveillent un autre point qui est très important et qui s'appelle le centre de carène : c'est le point sur lequel s'applique la poussée d'Archimède. Il se trouve au centre de la partie immergée du navire. Cette position varie donc en fonction des mouvements du navire.
Dans le cas d'un hors-bord, sortez-le de l'eau. Comme pour faire marche arrière, déplacez une partie du poids vers la partie du bateau qui est encore à flot. Essayez ensuite de pousser votre bateau, soit en utilisant une pagaie, soit en vous tenant debout sur le banc de sable.
Une pompe de cale est conçue pour évacuer le plus rapidement possible l'eau et les autres liquides de votre cale.
1 — Utilisez la pompe d'eau de mer du moteur
Cette eau sera aspirée par la pompe moteur pour le refroidissement. En cas de problème électrique, ce système peut être un palliatif à la pompe électrique.
Origine : l es trappeurs nord-américains transportaient, à bord de leurs canoës, les peaux d'animaux salées pour la conservation. Lorsqu'il leur arrivait de chavirer, les peaux tomant à l'eau étaient ainsi "dessalées" . L'expression s'est étendue à l'ensemble de l'embarcation. Dessaler vient du latin sal, "sel".
Les bateaux flottent parce qu'il existe une force dirigée de bas en haut appelée "poussée d'Archimède" ou "poussée verticale", et qui agit sur les objets qui se trouvent dans un fluide, comme de l'eau par exemple. Cette force fait flotter l'objet.
Noura : C'est qu'en réalité, l'eau exerce une poussée du bas vers le haut, qui est égale au poids du liquide déplacé. Cette force, c'est la poussée d'Archimède et c'est elle qui fait flotter le bateau !
Les moteurs de bateaux ne fonctionnent pas avec des circuits fermés, comme les voitures mais pompent l'eau qui les entoure et la rejette. Une pompe de cale qu'on aurait mise en route pour évacuer l'eau contenue dans les fonds (fuite ou infiltration).
Définition du mouillage
Le mouillage consiste en l'immobilisation du bateau en mer, grâce à une ancre. C'est une manœuvre qu'il est indispensable de maîtriser quand on pilote un bateau, lorsque l'on doit mouiller au port ou si l'on veut profiter en toute sécurité d'une crique pour se baigner.
Si possible, grimper sur un objet flottant proche pour sortir de l'eau la plus grande partie possible du corps. Limiter la perte de chaleur en croisant les bras serrés sur la poitrine et en relevant les cuisses près des bras (position fœtale).
la limitation de la vitesse (10, 25, 40, 55 ou 70 km/h); l'interdiction d'utiliser un bateau pour tirer une personne sur des skis nautiques ou tout autre équipement sportif ou récréatif ou pour permettre à une personne de surfer sur le sillage du bateau (sauf aux heures autorisées);
Pour expliquer cela plus simplement, si on plonge un objet dans l'eau, elle a tendance à le faire remonter vers la surface. Si cet objet est dense (lourd par rapport à sa taille) alors il coule car il est trop lourd pour que la poussée d'Archimède lui permette de flotter.
L'important, c'est sa masse volumique : le poids de l'objet divisé par son volume. La masse volumique de l'eau est d'exactement un kilogramme par litre ! La masse volumique, c'est ce qui permet de flotter ou de couler.
On parle ainsi aujourd'hui du principe d'Archimède pour expliquer la flottaison des bateaux. Si l'équilibre entre le poids de l'objet et la poussée d'Archimède est atteint avant que l'objet soit entièrement sous l'eau : l'objet flotte. En revanche, si l'équilibre n'est pas atteint avant cela : l'objet va couler.
Au mouillage, il est indispensable de mouiller une longueur de chaîne comprise entre 3 à 5 fois la hauteur d'eau maximale suivant les conditions météo. Le bon compromis est d'avoir dans sa baille à mouillage entre 25 et 30 m de chaîne et au moins autant de câblot du bon diamètre.
Ces zones de mouillage peuvent être en face d'une plage, au bord d'une île par exemple. On appelle mouillage un corps mort, bouée ou coffre, qui permet au navire de s'amarrer et donc de s'immobiliser sur l'eau. L'amarrage aux bouées de mouillage peut être réglementé dans certaines zones.
− MAR. [En parlant d'un navire] ,,Être soulevé hors de l'eau au-dessus de la flottaison habituelle, soit par échouage, soit par la vitesse lorsque le bateau plane ou est en remorque`` (Barber. 1969). Le bateau déjauge, se déjauge, est déjaugé.