Comment dire à un bébé qu'on l'aime? Pour dire à votre bébé que vous l'aimez, parlez-lui, prenez-le, bercez-le, cajolez-le, collez votre joue contre la sienne et regardez-le dans les yeux souvent, car il développe aussi des liens par ses sens.
Bébé a besoin de se sentir aimé et en sécurité pour se développer au mieux. Ce sentiment se développe tout naturellement, quand on s'occupe de lui et dans les moments partagés au quotidien. Bébé ressent alors qu'il peut compter sur nous et que nous l'aimons.
Votre bébé s'exprime de mieux en mieux. Il vous montre son affection en vous faisant des câlins et des bisous, et en tendant les bras quand il veut que vous le portiez. Il peut même rire lorsque vous faites des grimaces ou des bruits amusants.
Entre 4 mois et 12 mois, un bébé montre ses premiers signes d'attachement : il sourit, il regarde plus intensément son parent, il cherche à rester près de lui (il tend les bras, il rampe vers lui), il a peur des étrangers ou des personnes qu'il connaît peu.
C'est sans doute pourquoi on dit que le toucher « parle » plus fort que les mots! Ainsi, lorsqu'on donne un câlin, ou un baiser à bébé, c'est un peu comme si on lui soufflait « je t'aime », au creux de l'oreille. Et ces mots sans paroles sont les premiers que bébé comprend!
À 10 ou 12 mois, les émotions du bébé sont impactées par les réactions des adultes. Le tout-petit est attentif aux émotions d'autrui. En faisant des câlins, des bisous, des caresses et des sourires, il manifeste son affection. D'autre part, il va peu à peu chercher du réconfort lorsqu'il est perturbé et qu'il pleure.
Dès la naissance, un bébé reconnaît sa mère et dès les premiers jours, il est en mesure d'échanger avec ses parents à sa manière. Les relations affectives qu'il entretient avec eux vont être primordiales dans son développement.
À 11 mois, bébé est tout à fait à même de comprendre un certain nombre de choses, et en particulier les instructions (comme un NON ou un STOP). Mais le besoin d'explorer et comprendre le monde qui l'entoure est encore plus fort !
Le nouveau-né (homme ou animal) est spontanément capable (sans aucune expérience préalable) dans ses tous premiers instants de vie de détecter et reconnaître l'odeur des mamelons de sa mère afin d'aller téter (question de survie).
Avant 1 an, votre enfant peut comprendre plusieurs mots, mais c'est seulement vers 2 ans qu'il sera capable de dire la majorité des mots qu'il comprend.
En revanche, à cet âge, on peut pratiquer une autre forme de punition : la gronderie. Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer.
Entre 9 et 12 mois, votre enfant réagit lorsque vous l'appelez par son prénom. Pour vous, cela fait partie des signes à observer qui indiquent que votre enfant suit un bon développement.
Les cris, les insultes et les menaces sont en effet considérés comme une forme de violence verbale et psychologique qui a un effet négatif sur le sentiment de sécurité que l'enfant peut ressentir en présence de ses parents.
En cas de simple préférence, votre tout-petit peut osciller entre des périodes "Je ne veux que papa" et des périodes "Je ne veux que maman". Il/elle le manifestera d'autant plus que le parent réagira, car c'est souvent ce que l'enfant cherche à faire, consciemment ou inconsciemment.
Pourquoi? Pour que votre bébé développe l'habileté de tendre la main et de toucher ce qu'il voit. Pour qu'il se familiarise avec le nom des différentes parties du visage. Le fait d'entendre les mots « oeil », « nez » ou « main » le prépare au moment, où dans un an ou deux, il commencera à prononcer ces mots.
On sait qu'à 4 mois, l'enfant est capable d'identifier ses parents. Pour peu que les grands-parents soient souvent chez vous, qu'ils parlent fréquemment à votre enfant, celui-ci va les reconnaître rapidement.
Ce jugement peut bloquer l'enfant dans la mesure où il réveille le pendant négatif des félicitations, c'est-à-dire les critiques. L'enfant peut donc développer une peur chronique de l'échec et un déficit de confiance en lui.
Une perturbation sociale et affective persistante, accompagnée d'au moins deux des comportements suivants : absence d'attention aux autres, affect positif limité, comme le plaisir ou l'émerveillement, épisodes inexpliqués d'irritabilité, de tristesse ou de peur lors d'interactions avec des adultes non menaçants.
Au début, le bébé établit un attachement plus fort envers le parent qui s'occupe le plus de lui et avec qui il passe le plus de temps. Ce parent devient alors sa figure d'attachement principale. Le jeune enfant s'attache aussi à l'autre parent pourvu qu'il reçoive de l'attention et du réconfort de sa part.
Les troubles de l'attachement sont une affection mentale pouvant survenir chez des enfants victimes d'une rupture du lien entre mère et enfant.
Répéter "areuh-areuh" à son bébé est souvent perçu comme une faiblesse. En réalité, de telles hésitations pourraient être cruciales pour apprendre à parler. Une étude a montré que les nourrissons utilisent les gazouillis de leurs parents, comme un signal indiquant qu'un mot important va être prononcé.
Tout d'abord, effectivement, on ne laisse jamais pleurer un tout petit bébé, jusqu'à environ 6 mois, un an, en fonction de l'enfant et de son histoire. Les premiers mois, il faut sécuriser l'enfant au maximum, il a besoin que l'on soit présent.
Expliquez votre décision.
Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.