Pensez à bien faire chauffer la poêle avant de déposer la viande. Cette étape est nécessaire pour retenir les sucs et éviter que les escalopes s'assèchent. Ensuite, faites cuire les escalopes de chaque côté à feu moyennement vif environ 5 minutes. Lorsqu'elle est cuite, la viande doit être ferme et blanche à cœur.
Le temps de cuisson optimal est généralement de 2 à 3 minutes de chaque côté. Repos : Après la cuisson, laissez reposer l'escalope de veau pendant quelques minutes. Cela permet à la viande de se détendre et de retenir ses jus, assurant ainsi une texture fondante à chaque bouchée.
La cuisson à la poêle : pour obtenir des escalopes de veau tendres et juteuses, il est préférable de les faire cuire à feu moyen-vif dans une poêle ou une sauteuse avec une filet d'huile d'olive ou une noisette de beurre. Attention de ne pas les sur-cuire la viande, cela les rendra dures et sèches.
Insérez simplement le thermomètre pour aliments dans la partie la plus épaisse du poulet (pour un poulet entier, il s'agit de la poitrine). Le poulet est cuit lorsque le thermomètre affiche 180 °F (82 °C) pour un poulet entier ou 165 °F (74 °C) pour les morceaux de poulet.
Il est également possible de conserver la viande de veau au congélateur pendant plusieurs mois. La viande de veau se déguste à point, lorsqu'elle est à peine rosée. Elle ne doit pas être saignante, ni trop cuite.
Déposez les escalopes sur une planche à découper et recouvrez-les d'un papier sulfurisé. À l'aide du fond d'une casserole ou d'un pot Mason vide, aplatissez les escalopes par petits coups pour les attendrir et pour accélérer la cuisson (voir NOTES).
A peine rosée : 1 minute à feu vif puis 4 à 5 minutes pour une côte de veau ou un grenadin de veau, une vingtaine de minutes par 500 g pour un rôti de veau cuit au four ou à la cocotte. A point : 1 minute à feu vif puis 6 à 8 minutes à feu doux pour une côte de veau, 30 minutes environ par 500 g pour un rôti.
Cela permet aux œufs de mieux adhérer à la surface de la viande, créant ainsi une base pour la panure. Œufs : trempez la viande farinée dans des œufs battus. Assurez-vous que la surface de la viande est bien recouverte d'œuf, car cela permettra à la chapelure de bien adhérer.
Laver son escalope
La chaleur de la cuisson suffit à éliminer les bactéries dangereuses pour la santé. Si vous voulez prendre des précautions supplémentaires, vous pouvez aussi faire mariner votre viande dans du jus de citron, car il possède des vertus désinfectantes.
Car l'attendrissement consiste à briser les fibres musculaires de la viande pour en assouplir la texture et de ce fait la rendre plus facile à mâcher.
L'aplatissement de la viande
Pour attendrir la viande et obtenir une cuisson uniforme, vous devez aplatir le morceau de veau. L'escalope ne doit être ni trop fine ni trop épaisse. L'épaisseur idéale se situe entre 1,5 et 3 cm.
Le sel va se mélanger au gras fondu et saler la face maigre. Entrecôte, faux filet, filet, rumsteck (viande a fibres coupées): si vous souhaiter saler en début de cuisson, faites le légèrement et surtout au moment de cuire, jamais en avance. Ajustez en fin de cuisson avec de la fleur de sel.
Pourquoi faut-il fariner du foie de veau avant cuisson ? Il est, en effet, intéressant de fariner le foie de veau avant sa cuisson. La raison est simple : cela permet de créer une croûte plus croustillante autour de cette viande tendre.
Pour que vos morceaux de poulet ne deviennent pas sec à la cuisson, il vous suffit simplement de les enrober de cette fécule de maïs, de retirer l'excédent en tapotant dessus et hop ! Le tour est joué ! Il ne vous reste plus qu'à cuire normalement votre poulet dans la poêle avec un peu de matière grasse.
Le lait permet à la viande de se relâcher et d'être moins ferme. Faire mariner les volailles, ou viandes, est une façon très simple de les rendre plus savoureuses, mais aussi de les attendrir et de conserver leur moelleux pendant la cuisson. Cela permet de diminuer, voire de supprimer tout dessèchement à la cuisson.
Des traits blancs, une chair plus dure par endroit ou une viande qui s'effiloche façon spaghettis : autant de signes qui indiquent un filet de poulet de mauvaise qualité. La faute à l'élevage industriel.
Laver le poulet ne fait que disperser les bactéries
Le poulet cru est souvent contaminé par des bactéries dangereuses telles que Salmonella, Campylobacter et Clostridium perfringens. Les maladies d'origine alimentaire, comme celles causées par ces microbes, frappent un Américain sur six chaque année, selon le CDC.
Ne lavez pas la viande, la volaille, le poisson ou les fruits de mer crus avant la cuisson parce que les éclaboussures d'eau peuvent contribuer à la propagation de bactéries de la viande à d'autres aliments, à vos mains, à vos vêtements, aux surfaces de travail et aux accessoires de cuisine.
En effet, le citron exerce une action antibactérienne très puissante qui permet de lutter contre bon nombre d'infections. Autre alternative : le vinaigre. Il suffit de rincer votre poulet avec, et le tour est joué !
La réponse. Saupoudrer ou enduire de farine pour éviter qu'un aliment ne colle, sur le plan de travail, ou au cours de la cuisson.
Dans presque toutes les recettes de panure, il faut un œuf pour que la chapelure colle à la viande ou au poisson. Eh bien, sachez que vous pouvez très bien remplacer cet œuf par un peu de yogourt grec! Badigeonnez simplement la surface de votre pièce de viande ou de poisson, puis trempez dans la chapelure.
C'est le collagène qui est responsable de la « dureté' de la viande. Plus le muscle de l'animal est sollicité et plus il y a de collagène. Ainsi il y en aura davantage dans une partie comme le jarret (le tibia de la bestiole) que dans le rumsteack (la culotte). Pas besoin d'avoir fait normal sup pour comprendre.
Pour une cuisson : Rosée : la croûte est dorée, l'intérieur est très rosé à cœur avec une zone entre les deux un peu plus beige, la structure des fibres est à peine altérée.
La viande de veau est considérée bien cuite à 75°C, à point à 68°C, saignante à 60°C, et bleue à 57.