Lorsqu'un avion vole, 4 forces différentes s'exercent sur l'engin en mouvement. La portance est une force liée à l'effet du vent sur l'aile qui attire l'avion vers le haut. C'est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs. À l'inverse, le poids est une force qui attire l'avion au sol.
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
Les passagers perturbateurs et les retards de vols engendrés
Si votre avion ne décolle pas à l'heure c'est peut-être à cause de votre voisin qui vient de s'installer sur son siège, l'air de rien, alors qu'il a 10 minutes de retard.
Au décollage de l'avion, une force s'exerce sur vous
Newton s'est cependant rendu compte qu'un objet en mouvement doit recevoir une force (dans le sens opposé de son mouvement) pour le faire ralentir. Les réacteurs appliquent une force sur l'avion qui le fait bouger.
La pression élevée est le résultat de la force de tout l'air qui se trouve au-dessus. Lorsque tu t'éloignes de la Terre, il y a moins d'air qui exerce une pression vers le bas, donc la pression diminue. À la limite de l'espace, la pression atmosphérique est presque nulle.
La force de traînée est donc celle qui s'oppose au mouvement de l'avion ; c'est la résistance à l'avancement. La force de portance, ou de sustentation, est celle qui maintient l'avion en l'air.
Selon les chiffres de l'Aviation Safety Network, l'atterrissage est la phase la plus périlleuse pour un avion. Entre 1999 et 2008, 36% des crashs se sont produits à l'atterrissage. Le décollage arrive deuxième avec 20% des incidents.
Qu'est-ce qui peut empêcher un avion de décoller ? Les vents de travers (vents perpendiculaires à l'avion) et les vents arrière rendent le vol plus difficile, et les avions ont des limites supérieures pour ces deux types de vents, en fonction des conditions de l'avion, de l'aéroport et de la piste.
La première place est occupée par Virgin Australian, qui aurait annulé 5,9 % de ses vols réguliers durant cette période.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Elle dépend, entre autres, de la masse à l'atterrissage, de la température et de la pression atmosphérique. Elle peut être légèrement majorée en cas de vent de face. On peut retenir comme valeur moyenne 140 nœuds (environ 260 km/h).
Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
Autrement dit, la rotation de la Terre n'a aucune influence sur la vitesse d'un trajet en avion. Alors non, un avion ne prendra pas plus de temps à arriver à destination s'il vole vers l'Est, puisque l'atmosphère tourne à la même vitesse que la Terre.
2- S'il s'agit d'un avion de ligne, la vitesse est en général de 0,7 à 0,8 Mach, c'est à dire environ 900 km/h. 3- Le concorde lui, par contre, volait à Mach 2, soit environ 2400 km/h.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.
Les turbulences ne présentent aucun risque pour les avions : juste un moment désagréable à passer. Les turbulences réveillent des peurs qui n'ont aucune raison d'être. On peut croire que l'avion risque de se casser ou qu'il risque de tomber jusqu'au sol, mais il n'en est rien.
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.
L'avion est 300 fois plus sûr que la voiture
Et si on veut continuer dans les statistiques, un humain a plus de risques de mourir noyé ou d'être frappé par la foudre, que de perdre la vie dans un accident d'avion.
En effet, selon une étude du magazine américain Popular Mechanics, qui a examiné des dizaines de crashs d'avions commerciaux aux États-Unis depuis 1971, les passagers assis à l'arrière ont 40% de chances en plus d'y réchapper par rapport aux passagers situés dans les premières rangées à l'avant.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Explication: en réalité, les avions volent bien en ligne droite, mais en suivant la courbe de la terre. C'est la projection de la terre, ronde, sur une carte plane qui donne l'impression de ne pas prendre la trajectoire la plus courte.
Il existe des avions permettant de faire du sur-place en vol mais ça ne sont pas des avions de ligne. Les seuls actuellement en service à ma connaissance sont: Le Harrier britannique. Le V22-Osprey et ses différentes versions.