La façon la plus naturelle de passer les relais lorsque vous roulez en double est de tourner, soit par la gauche, soit par la droite, selon les vents dominants. À tour de rôle, chaque cycliste prend la tête, aussitôt que le cycliste qui le précède se range pour se replier vers l'arrière.
Cette technique est utilisé naturellement par les coureurs quand l'allure s'accélère et que la prise de relais se fait de façon vive et courte. Elle permet de garder une allure vive, on l'a retrouve fréquemment en course quand une échappée se forme pour prendre de l'avance ou à l'entraînement quand l'allure s'accélère.
En cas de gros coup de panique, prenez un moment et arrêtez-vous. Respirez lentement et réinitialisez-vous mentalement. Ensuite, essayez d'analyser calmement l'obstacle et évaluez objectivement si votre sécurité est en jeu. Vous verrez que dans la plupart des cas, vous arriverez à surmonter votre peur.
Ajustez la selle du vélo.
Une selle basse vous permet d'utiliser vos pieds pour ne pas tomber. Les adultes n'ont pas besoin de roues auxiliaires, mais les enfants peuvent les utiliser pour rester en équilibre X Source de recherche .
La façon la plus naturelle de passer les relais lorsque vous roulez en double est de tourner, soit par la gauche, soit par la droite, selon les vents dominants. À tour de rôle, chaque cycliste prend la tête, aussitôt que le cycliste qui le précède se range pour se replier vers l'arrière.
L'objectif est simple : optimiser le retour veineux et combattre les microsaignements liés à l'intensité de la contraction musculaire.
Les pauses pipi sont régies par quelques "codes" entre les coureurs. À chaque début d'étape, dans les premiers kilomètres, le peloton s'arrête quelques minutes sur le bord de la route pour un pipi collectif. "Il peut y avoir 20, 30, 50 coureurs qui font pipi en même temps côte à côte.
Contrairement à l'idée répandue, les cyclistes ne se rasent pas les jambes pour gagner des secondes en obtenant une meilleure pénétration dans l'air, mais pour moins souffrir durant les massages.
Il doit courir en touchant le moins possible le sol et soulever rapidement ses genoux. Il doit également se pencher en avant au bon moment pour que sa poitrine passe plus tôt la ligne d'arrivée X Source de recherche .
Pour le receveur : recevoir le témoin en courant. Pour le coureur seul : courir le plus vite possible les 40m. Trouver la distance à laquelle doit se trouver le donneur pour se mettre en action. Pour le donneur : Partir le plus vite possible et transmettre le témoin en courant vite.
Position de départ regard par-dessus l'épaule, (prêt) il regarde le coureur (bassin) Démarrage au moment où l'athlète passe la marque (ruban). Le pied se lève au passage à la marque. Le relayeur qui arrive donne de sa main droite dans la main gauche du relayeur qui part.
Règle du jeu : Il y a deux ou trois équipes. Chacune se met en file indienne, côte à côte, derrière la ligne de départ. Au signal, les premiers membres de chaque équipe partent, en tenant un ballon (témoin du relais). Ils doivent courir le plus rapidement possible et franchir trois petites haies.
Le starter doit informer le ou les fautifs. Comme il ne peut y avoir qu'un seul faux départ dans une course, en cas de nouveau faux départ, le ou les fautifs seront directement éliminés, c'est le starter qui a la responsabilité de cette action. Ils devront quitter la zone de départ.
Dans toutes les courses de relais, le témoin doit être échangé dans la zone de transmission. Le passage du témoin commence dès qu'il est touché par le coureur receveur et est terminé seulement au moment où il est uniquement dans la main du coureur receveur.
Comment appelle t-on le premier coureur ? Le relayeur.
Le principe de l'épreuve
Il faut réaliser 3 courses de 500 m, avec une récupération intermédiaire maximale de 10 minutes, chronométrées à la seconde. Les candidats courent sans chronomètre avec un temps de passage communiqué à la moitié du parcours soit aux 250 mètres.
Il y a 14 points attribués sur la performance pure et 6 points sur la régularité. Pour obtenir le maximum de points sur la performance, il faut au minimum 2 entraînements par semaine, le mieux étant 3 ou 4. L'idéal est de commencer l'entraînement entre 3 et 6 mois avant l'épreuve.
Pour améliorer sa foulée et courir sur le milieu du pied, il faut adopter une cadence entre 170 et 190 pas par minute en général. Il est donc conseillé de s'approcher d'une cadence de pas autour de 170 pas par minute afin d'améliorer sa foulée de course.
ÉVITER LA FATIGUE À VÉLO
Adoptez une fréquence de pédalage de 60 tours par minute, en utilisant des braquets souples pour conserver cette vitesse de jambes. Cette cadence exige un effort modéré tout en vous assurant une bonne vitesse de croisière.
Mouliner : augmenter sa cadence de pédalage
Un rythme insuffisant pour pouvoir profiter des réels vertus du vélo. Pour pouvoir en jouir, il faudra passer à un rythme un peu plus élevé et mouliner jusqu'à 80 ou 90 tours par minute… Un changement d'habitude s'impose.