Fermez les portes et les fenêtres et arrêtez les systèmes de ventilation, de chauffage ou de climatisation. Les pièces situées au centre du bâtiment ou au sous-sol offrent une meilleure protection. ) et écoutez les médias régionaux pour connaître l'état de la situation et les mesures à prendre.
Restez dans l'endroit le plus protégé (sous-sol ou centre d'un grand bâtiment) pendant les 12 à 24 premières heures à moins d'être menacé par un danger immédiat (par exemple, incendie, fuite de gaz, l'effondrement d'un bâtiment ou une blessure grave) ou informé par les autorités qu'il est possible de sortir sans danger ...
La conception la plus efficace contre les effets mécaniques d'une explosion nucléaire, (principalement le souffle) est de placer l'abri sous la surface du sol. En effet, alors que l'onde de choc est principalement propagée dans l'air, elle est relativement mieux absorbée par le sol.
Les particules radioactives libérées dans l'atmosphère retombent sur l'ensemble du globe. A chaque explosion aérienne, des particules radioactives sont libérées dans l'atmosphère à une altitude qui dépend des conditions du tir. Elles y séjournent de quelques heures à quelques mois avant de retomber au sol.
L'un des moyens les plus connus pour réduire les risques de radioactivité est de saturer la thyroïde en iode. Lors d'une explosion nucléaire, l'iode radioactif (iode 131) est libéré dans l'air. Notre organisme ne fait pas la différence entre l'iode stable et l'iode radioactif.
L'impact provoque la réaction nucléaire, par fission. L'explosion provoque un flash lumineux aveuglant, suivi d'une onde thermique et d'une onde de choc ou « effet de souffle ». La boule de feu (6 000 °C au centre, 1 300 °C à 600 m) carbonise tout sur les 500 premiers mètres et incendie sur 3,5 km de rayon.
Un abri antinucléaire souterrain se cache aux portes de Lyon. Au milieu de kilomètres de couloirs souterrains, le centre opérationnel qui surveille le ciel en France abrite un lieu protégé des attaques nucléaires et chimiques, près de Lyon.
Des missiles sont également stockés dans plusieurs bases militaires de l'Hexagone : à l'île Longue, dans la rade de Brest, où sont basés les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins de la force océanique stratégique, ainsi que dans les bases aériennes d'Istres, de Saint-Dizier et Avord.
Nous préconisons du béton armé massif d'une épaisseur minimum de 20 à 25cm pour maximiser la protection de votre abri.
Les conséquences globales d'une guerre nucléaire sont potentiellement terribles : passé un certain seuil d'utilisation, la poussière éjectée dans la haute atmosphère par les explosions nucléaires bloque le rayonnement solaire, stoppant la photosynthèse et refroidissant gravement le climat planétaire.
rester à l'écoute des consignes des autorités (sur la prise d'iode, notamment) éviter de téléphoner afin de laisser les réseaux disponibles pour les secours ; rester à l'abri et n'évacuer son domicile que sur ordre des autorités.
L'Australie n'a pas d'arme nucléaire. L'Australie exploite un réacteur de recherche qui produit des radio-isotopes médicaux (en) à l'Open-pool Australian lightwater reactor (en) (OPAL).
Les comprimés d'iodure de potassium stable ne constituent ni une sorte de vaccin radio protecteur ni un traitement permanent. Ils doivent être absorbés au bon moment, lorsqu'un accident nucléaire a été déclaré et menace de provoquer un rejet d'iode radioactif.
Le mieux est évidemment de pouvoir se réfugier dans les sous-sols. L'essentiel est d'avoir le plus possible de matière solide entre une personne et le nuage radioactif. Si l'on craint d'avoir été exposé à des radiations, il faut se débarrasser des vêtements, se doucher et se changer.
Les grottes naturelles sont également une excellente option car elles offrent une protection contre les attaques aériennes et terrestres. Certaines personnes choisissent également de se cacher dans des maisons inhabitées, des bâtiments abandonnés et même des caves profondes.
Afin de répondre à la menace (combattants imprévisibles et imbriqués dans la population), et dans la continuité du besoin du FAMAS FELIN, le HK 416 (version standard) est doté d'une baïonnette qui offre les mêmes performances que la baïonnette FELIN (coupe fil, tranchant) qui n'entrave pas le service de l'arme.
La Russie est ainsi suivie de près par les Etats-Unis avec 5.044 armes nucléaires disponibles. A eux seuls, ces deux Etats ont entre leurs mains plus de 80% des armes nucléaires mondiales. Arrive ensuite, loin derrière, la Chine, troisième puissance nucléaire mondiale avec ses 500 ogives.
Le 24 août 1968, la France larguait Canopus, sa première bombe à hydrogène, dite bombe H, dans l'océan Pacifique Sud. La lueur provoquée dégage autant d'énergie que 2 millions de tonnes de TNT, et reste encore de nos jours la bombe la plus puissante jamais essayée par l'État français.
La construction de bunker est donc soumise aux mêmes règles d'urbanisme qu'une annexe de logement de type “ouvrage enterré”. Ainsi, si votre abri fait une surface inférieure à 20m2, il vous suffira faire une déclaration préalable de travaux auprès de votre mairie.
Abri contre les attaques ennemies
Les bunkers ont d'abord été conçus pour protéger les civils et les militaires contre les attaques ennemies. Ils offrent une couverture essentielle lors de conflits armés, garantissant la sécurité de ceux qui s'y réfugient.
Il est difficile de donner un coût exact pour un bunker, car cela dépendra de nombreux facteurs individuels. Cependant, en moyenne, un bunker de survie de taille moyenne peut coûter entre 100 000 et 500 000 euros, tandis qu'un bunker de stockage plus petit peut coûter entre 20 000 et 50 000 euros.
La bombe H tire son énergie non pas de la fission nucléaire, mais au contraire de la fusion de noyaux légers. La bombe H est divisée en deux étages : le premier fonctionne au plutonium, tandis que le second se compose de combustibles de fusion à l'origine de l'explosion thermonucléaire.
Robert Oppenheimer, est un physicien américain, né le 22 avril 1904 à New York et mort le 18 février 1967 à Princeton (New Jersey). Il s'est distingué en physique théorique puis comme directeur scientifique du projet Manhattan. À cause de son rôle éminent, il est régulièrement surnommé le « père de la bombe atomique ».
On considère néanmoins que le physicien américain Robert Oppenheimer est le père de la bombe nucléaire, car c'est lui et ses équipes qui ont travaillé sur la fission de l'uranium et du plutonium dans le laboratoire de Los Alamos qui a donné naissance à la première bombe atomique de l'histoire.