La cérémonie débute par les louanges envers Allah lors de la Khoutbah. Lorsque l'Imam récite la prière, femmes et hommes sont séparés. La cérémonie se poursuit par la lecture de quelques versets du Coran puis est mentionnée la dot dans le cadre des échanges de vœux entre la femme et son futur époux.
Si en grande majorité c'est l'homme qui fait la demande, comme chaque demande en mariage, la khotba de mariage peut également être faite par la femme.
L'imam débute généralement la cérémonie par des louanges à Allah puis par la récitation de 3 versets du Coran (par exemple : sourate III, verset 102 ; sourate IV, verset 1 ; sourate XXXIII, verset 71-72) puis les époux échangent leurs consentements ainsi que les alliances.
R : Il suffit d'être la femme, l'homme concerné, un représentant de la femme : son père, son frère ou son oncle, un représentant du mec aussi, des témoins et voilà, ils se marient devant Dieu, devant l'imam. Il dit : « Est-ce que tout le monde est d'accord ? » et voilà, tout le monde est d'accord.
Le fatḥa (فتحة en arabe, littéralement « ouverture ») est un signe diacritique de l'écriture arabe indiquant la vocalisation brève [a] de la lettre qu'il modifie. Il est composé d'un trait placé au-dessus de la lettre.
Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit non plus les droits de la femme en cas de litige, ni la reconnaissance des éventuels enfants ou les droits de succession.
Points clés à retenir : En Islam, le juge peut prononcer le divorce suite à un serment d'anathème, en cas de manquement aux obligations du mariage ou s'il existe un vice rédhibitoire ; Le juge peut aussi prononcer d'office le divorce en cas d'abus de l'autorité maritale, de violence ou d'absence de l'époux.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Les relations sexuelles hors mariage sont formellement prohibées.
Il est un amour préexistant et éternel. Dans sa petite épître consacrée au thème de l'amour, Mahmûd al-Uskudârî explique ceci : « Dieu, exalté soit-Il les aime en vertu de Sa préexistente bienveillance, non en vertu d'une cause quelconque. Il les aime pour ce qu'ils sont intrinsèquement.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
D'après Abou Houreira (qu'Allah l'agrée) : Lorsque le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) invoquait pour une personne qui se mariait il disait: « Qu'Allah te bénisse, qu'il mette la bénédiction sur toi et qu'il vous rassemble tous les deux dans le bien.».
Cette profession de foi est récitée à quatre moments de la vie d'un musulman : lors de son adoption de l'islam, lors de la prière, lors d'une expression de sa foi ou d'un appel à Dieu et enfin, lors de l'accompagnement d'un mourant dans la mort.
La fatiha est utilisée comme talisman de guérison, comme défense contre le mal, comme bénédiction...
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Le mariage dans l'islam
Procéder à un mariage uniquement avec une procédure religieuse, par «la fatiha», sans acte légal écrit devant un maire ou un juge, peut facilement se retourner contre les épouses et les enfants issus de ces unions non-officielles d'un point de vue légal.
Si une femme se lave après que son mari a fait l'amour avec elle, si ensuite le sperme de son mari s'écoule de son vagin, elle doit procéder aux ablutions mineures non aux majeures.
Tout rapport sexuel en dehors du mariage ou du concubinage est répréhensible. Les rapports préconjugaux sont condamnables. Néanmoins ce genre de péché est bien minime à côté de celui que commet un homme marié avec une femme en puissance de mari.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
Le baiser de la langue, les étapes à suivre
Commencez par donner des baisers réguliers, puis penchez la tête sur le côté, et ouvrez la bouche avant de goûter en tirant un peu la langue. Embrasser l'autre personne avec la langue dans la bouche doit se faire instinctivement, par conséquent ne force rien.
D'après des études réalisées, si les hommes se livrent au «French kiss», c'est parce que la salive contient de la testostérone, qui augmente le désir sexuel chez leur partenaire. De plus, un baiser avec la langue permet à l'homme d'évaluer les niveaux d'œstrogènes d'une femme et de juger de sa fertilité.
le takyiree ou droit d'option, quand le mari ne veut pas divorcer mais lui confie l'option de maintenir ou mettre fin à leur vie conjugale; le tafwide ou délégation, il s'agit là d'une procuration donnée oralement ou par écrit par l'époux à son épouse pour formuler le talâq.
Juste un doigt
Un seul doigt levé vers le ciel, l'index, est un geste traditionnel effectué par la plupart des musulmans au moment de prononcer leur Chahâda (profession de foi).
Le Prophète Muhammad a dit "l'Islam repose sur cinq piliers : l'attestation qu'il n'y a nulle autre divinité (digne d'être adorée) à l'exception d'Allâh et que Muhammad est Son messager ; accomplir la prière rituelle ; s'acquitter de la zakât (ou impôt légal) ; jeûner le mois de Ramadan ; faire le pèlerinage pour qui ...