La peau du dachine cru renferme un suc irritant pour la peau, sauf au niveau de la paume des mains. Il faut donc prendre quelques précautions avant de l'éplucher : 1 – bien laver le légume pour le débarrasser de sa terre. 2 – le peler sur un plan de travail sec et non dans une bassine d'eau.
LE DACHINE : CE QU'IL FAUT SAVOIR
Le Dachine est un tubercule allongé (ou arrondi) dont la forme et la taille rappellent celles du céleri-rave. Il est de couleur brune à l'extérieur, sa chair, quant à elle, est blanc ou gris.
La dachine se multiplie généralement à partir de prélèvement de rejets latéraux autour des pieds mères après la récolte. Choisir de préférence des rejets vigoureux de 40 cm de long et de 5 cm de diamètre environ. Des plants de tête peuvent être aussi utilisés.
Avant cuisson, le conserver peu de temps, dans un endroit humide à l'abri de la lumière. Une fois cuit, il se conserve quelques jours au réfrigérateur. Conseil de conservation pour les feuilles : elles peuvent se garder au frais 4 à 5 jours dans un sachet de conservation.
Réfrigérez-le dans un récipient hermétique ou enveloppez-le soigneusement avec du papier d'aluminium résistant ou du film plastique. Congelez le taro cuit dans un récipient hermétique ou dans un sac de congélation résistant.
La récolte commence environ 8 mois après la plantation. On s'aperçoit du stade de la récolte quand les feuilles les plus âgées commencent à dépérir.
Il est par ailleurs riche en fibres, en vitamines C, B1 et B2, ainsi qu'en phosphore, calcium et fer. Le taro présente aussi une bonne quantité de protéines. Toutes ces caractéristiques font du taro un aliment anti-anémique, anti-faim, et anti-oxydant.
Le goût et la texture de la chair ressemblent à ceux de la pomme de terre (saveur légèrement plus sucrée). Les jeunes pousses et les feuilles sont également comestibles.
Le taro est un tubercule tropical comestible proche de la pomme de terre. Il est cultivé dans toute l'Asie tropicale et pousse dans les régions humides. La plante peut atteindre environ un mètre de hauteur.
Le taro (Colocasia esculenta) est un tubercule tropical consommé comme légume, aussi appelé colocase, songe, eddo ou chou de Chine. Cette plante vivace est très décorative : de taille imposante, elle a des feuilles vert glauque de 50 à 60 cm de long qui sont portées par un long pétiole charnu d'un mètre.
Régalez vous d'ananas, bananes, caramboles, citrons verts, corossol , mangue, melon, prune de cythère, quenette... Régalez-vous avec les nombreuses variétés de fruits tropicaux. Ils décorent magnifiquement les étales des marchés de la Martinique.
Souvent, le terme « taro » est utilisé, soit pour désigner n'importe quelle aracée, soit uniquement pour désigner Colocasia. Xanthosoma est appelé macabo et, surtout dans la littérature anglophone, cocoyam ou tannia.
Le buttage permet aux pois et aux fèves de ne pas être déracinés en cas de vents forts. Fenouil, poireau, asperge et céleri sont buttés pour être blanchis. Quant à l'ail, on le butte pour éviter l'eau stagnante qu'il n'apprécie gère.
Le taro doit être placé dans une terre riche et argileuse et dans un lieu ensoleillé. On le plante en pleine terre en avril-mai en enterrant le tubercule à 30 cm environ. A l'image des pommes de terre, il est impératif de butter les plants. Le taro se cultive également en pot, dans une terre riche en humus.
Multiplication. La multiplication se réalise par semis, au chaud, mais il est beaucoup plus simple d'opérer une division sur les tubercules au printemps.
Culture en pleine terre : Planter en zone tempérée en extérieur ou sous tunnel, tous les 50 cm sur des rangs espacés d´ 1 mètre, en sol humide, exposition mi-ombre à ensoleillée, en avril mai.
Pour cultiver un colocasia, attendez le printemps après la dernière gelée.
Avant la congélation, la plupart des légumes doivent être blanchis, c'est-à-dire brièvement plongés dans de l'eau bouillante puis passés sous l'eau froide, ce qui permet une meilleure conservation de leur couleur, de leur texture et de leur goût.
Les légumes ont besoin d'être blanchis avant d'être conserver. Il s'agit de les passer quelques minutes à l'eau bouillante. Cela a pour effet de stopper l'activité des enzymes et de préserver la texture des légumes.
Les légumes et les fruits frais contiennent en effet des enzymes qui font qu'ils se conservent moins bien. En les faisant blanchir, ces enzymes sont détruites, ce qui a un impact positif sur la capacité de conservation de la nourriture.