Pour le savoir, on utilise le test H (test de Kruskal-Wallis). Nous attribuons d'abord un rang à chaque personne, puis nous calculons la somme des rangs et la somme moyenne des rangs. Nous avons mesuré le temps de réaction de douze personnes, le nombre de cas est donc de douze.
Les tests non paramétriques sont donc utilisés lorsque le niveau d'échelle n'est pas métrique, que la distribution réelle des variables aléatoires n'est pas connue ou que l'échantillon est simplement trop petit pour supposer une distribution normale.
Le test de Dunn est un test statistique utilisé pour effectuer un nombre spécifique de comparaisons entre des groupes de données et déterminer laquelle d'entre elles est significative.
Etant une alternative non paramétrique à l'ANOVA sur mesures répétées, le test de Friedman doit être employé lorsque l'hypothèse de normalité des résidus n'est pas satisfaite. Cette situation se rencontre classiquement lorsque la variable réponse est un score, ou encore une variable ordinale comme un classement.
Le test de Kruskal-Wallis est un test non paramétrique à utiliser lorsque vous êtes en présence de k échantillons indépendants, afin de déterminer si les échantillons proviennent d'une même population ou si au moins un échantillon provient d'une population différente des autres.
Le test exact de Fisher calcule la probabilité d'obtenir les données observées (en utilisant une distribution hypergéométrique) ainsi que les probabilités d'obtenir tous les jeux de données encore plus extrêmes sous l'hypothèse nulle. Ces probabilités sont utilisées pour calculer la p-value.
Dans le cas d'échantillons indépendants, le test de Mann-Whitney permet de comparer deux populations. Les deux séries de valeurs sont mélangées puis ordonnées par valeurs croissantes. On identifie alors les rangs des individus du premier groupe et on calcule la somme des rangs de ces individus.
Le test de Bartlett peut être utilisé pour comparer deux variances ou plus. Ce test est sensible à la normalité des données. Autrement dit, si l'hypothèse de normalité des données semble fragile, on utilisera plutôt le test de Levene ou de Fisher.
Si la valeur p du test de Levene est supérieure à 0,05, alors les variances ne sont pas significativement différentes les unes des autres (c'est-à-dire que l'hypothèse d'homogénéité de la variance est satisfaite).
Le Test de Wilcoxon est un test de comparaison de deux séries d'une même variable quantitative (même unité de mesure). C'est un Test non paramétrique, utilisé quand les conditions de normalité de la variable ne sont pas valides. C'est l'équivalent du test T de Student.
Duncan en 1955. Ce test post-hoc ou test de comparaisons multiples peut être utilisé pour déterminer les différences significatives entre les moyennes des groupes dans une analyse de variance.
Lorsque les échantillons peuvent être considérés indépendants, on applique le test de Mann et Whitney pour 2 échantillons, celui de Kruskal et Wallis pour un nombre quelconque d'échantillons. Lorsque on a affaire à deux échantillons appariés (c'est-à-dire non indépendants), on applique le test de Wilcoxon.
Les valeurs élevées (proches de 1, 0) indiquent généralement qu'une analyse factorielle peut être utile avec vos données. Si la valeur est inférieure à 0,50, les résultats de l'analyse factorielle ne seront probablement pas très utiles.
Les tests d'homogénéité permettent de décider si plusieurs sous-populations sont homogènes par rapport à un critère donné.
Le test de Shapiro-Wilk donne une probabilité de dépassement de 0.1831, supérieure à 0.05. L'hypothèse de normalité est donc tolérée. Le test de Shapiro-Wilk donne une probabilité de dépassement de 0.0009, inférieure à 0.05. L'hypothèse de normalité est donc rejetée.
On obtient une p-value que l'on compare avec 0,05 (ou tout autre seuil). Si elle est supérieure, on ne rejette pas H0. En cas de variances parfaitement égales, TEST. F donne 1 ; en revanche, plus les variances sont dissemblables, plus la p-value tend vers zéro.
Définitions. Un test paramétrique est un test pour lequel on fait une hypothèse paramétrique sur la loi des données sous H0 (loi normale, loi de Poisson...); Les hypothèses du test concernent alors les paramètres de cette loi. Un test non paramétrique est un test ne nécessitant pas d'hypothèse sur la loi des données.
Ce test est souvent utilisé pour valider l'hypothèse de leur égalité (appelée homoscédasticité1). La comparaison des variances s'avère donc utile comme test complémentaire lorsqu'on souhaite tester l'égalité de deux moyennes (cas des petits échantillons indépendants).
Interpréter les résultats: après avoir effectué le test de Wilcoxon, il est important d'interpréter les résultats.La valeur p indique la probabilité d'observer une différence aussi extrême que celle observée, en supposant que l'hypothèse nulle est vraie.Si la valeur p est inférieure au niveau de signification ( ...
Conditions d'application du test de Kruskal-Wallis
Pour calculer un test de Kruskal-Wallis, il suffit de disposer de plusieurs échantillons aléatoires indépendants présentant au moins des caractéristiques à échelle ordinale. Les variables ne doivent pas nécessairement satisfaire à une courbe de distribution.
Or selon la théorie il faut faire un test de Fisher lorsque la présence de racine unitaire n'est pas rejetée (p. value > 5%). Dans le cas contraire, le test convenable est en principe celui de student pour tester uniquement la significativité de la tendance ou de la constante.
Le test repose sur une loi exacte plutôt que sur une approximation de la loi du Khi deux utilisée pour les tests de Pearson et de rapport de vraisemblance. Le test exact de Fisher est utile lorsque les dénombrements de cellules attendus sont faibles et que l'approximation du Khi deux n'est pas très bonne.
Un test non paramétrique est un test d'hypothèse qui n'exige pas que la distribution de la population soit caractérisée par certains paramètres. Par exemple, de nombreux tests d'hypothèse supposent que la population obéit à une loi normale pour les paramètres µ et σ.
Pour chaque traitement d'une expérience, le test modifié de Levene utilise le calcul de l'écart absolu entre les observations et la médiane du traitement. Il compare ensuite les moyennes de ces écarts pour tous les traitements afin de déterminer si elles sont égales.