Pour soulager rapidement la douleur, vous pouvez prendre des antalgiques de type paracétamol ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens (si ces médicaments ne vous sont pas contre-indiqués). Vous pouvez également opter pour un antispasmodique comme le Spasfon°.
Les kystes fonctionnels de l'ovaire sont les plus fréquents (90 % des cas). Ils sont dus à un « dérèglement hormonal » qui provoque la transformation d'un follicule ou d'un corps jaune physiologique en kyste.
en urgence si le kyste a donné lieu à des complications (hémorragie intra-kystique, torsion de l'ovaire, etc.) ; en cas de kyste ovarien organique ; pour un kyste fonctionnel qui ne disparaît pas après trois cycles menstruels, qui augmente de volume ou change d'aspect.
L'extrait de fenugrec s'est révélé efficace pour améliorer les symptômes du SOPK, ainsi que le taux de LH, effet qui s'amplifiait à mesure que l'on avançait dans le traitement. Citons aussi le tribulus ou le lin, qui semblent avoir de multiples activités bénéfiques sur le SOPK.
En présence de kystes organiques de l'ovaire, les organes avoisinants peuvent être comprimés. Une infection du kyste est possible, tout comme une hémorragie extrakystique ou intrakystique. Lorsque le kyste se rompt ou se tord, cela peut entraîner d'intenses douleurs pelviennes et des saignements.
Dans le cas où il existe de nombreux kystes, un traitement hormonal mettant les ovaires au repos pendant 6 à 9 mois permet d'obtenir une diminution de la taille des kystes.
Les kystes de la peau sont habituellement sans douleur. Si le kyste crève et s'infecte, il peut devenir enflé et douloureux, prendre une apparence rougeâtre et devenir sensible au toucher.
Un kyste de l'ovaire peut rester asymptomatique ou provoquer douleurs du bas du ventre, anomalies des règles, troubles intestinaux ou urinaires.
L'argile verte est un remède naturel souvent plébiscité. Elle est particulièrement utile dans la prise en charge du kyste synovial. En effet, cette terre riche en silicates possède des propriétés absorbantes et elle permet de drainer les liquides et certaines toxines hors du corps.
La grande majorité des kystes ovariens sont dits fonctionnels et disparaissent avec le temps, sans traitement. Toutefois, certains kystes peuvent se rompre, se tordre, grossir beaucoup et entraîner des douleurs ou des complications.
Qu'il soit fonctionnel ou organique, le kyste peut se compliquer. Il peut saigner (hémorragie intra-kystique), se tordre (torsion du kyste), se rompre (rupture du kyste), ou encore s'infecter (abcès ovarien). Des douleurs intenses et brutales vous préviendront de la survenue de ces complications.
Les kystes peuvent éclater si la cavité est perforée. Dans ce cas, le liquide va se vider. « Sur la peau, on essuie, mais dans le cas d'un kyste ovarien, le liquide va se répandre dans la cavité abdominale et ça peut causer des douleurs importantes. Ça peut même entraîner une hémorragie interne », conclut-il.
Un gros kyste peut entraîner une complication grave : une torsion de l'ovaire, en grossissant le kyste fait tourner l'ovaire sur lui-même. L'ovaire n'est plus irrigué correctement, il peut même prendre une couleur violacée et se nécroser.
Il est aussi possible d'appliquer du froid sur le kyste, cela a pour effet d'alléger la douleur et de diminuer le gonflement. Pensez à appliquer des glaçons sur la partie douloureuse. Vous pouvez même le faire plusieurs fois par jour.
Dès les premiers signes d'infection – douleur, durcissement de la peau, présence de pus ou de sang, fièvre - il est recommandé de consulter un médecin.
La plupart des kystes fonctionnels mesurent < 1,5 cm de diamètre; quelques-uns dépassent 5 cm. Les kystes fonctionnels guérissent habituellement spontanément après plusieurs jours ou semaines. Les kystes fonctionnels sont peu fréquents après la ménopause.
Les kystes fonctionnels de l'ovaire
Il existe deux types de kystes fonctionnels : Le kyste folliculaire (lié à des fluctuations du cycle menstruel) : ce type de grosseur résulte du développement anormal d'un follicule (petite poche ovarienne renfermant du liquide, dans lequel se forme et se développe un ovule).
Un kyste infecté peut se rompre spontanément pour laisser s'écouler le sébum qu'il contient. En cas d'infection, un traitement antibiotique (par voie orale ou locale) doit être mis en place avant un retrait chirurgical du kyste.
En conclusion le kyste fonctionnel disparait spontanément et se complique rarement. En cas de persistance on peut suspecter un kyste organique. Une ponction sous échographie est réalisée quelquefois pour accélérer sa disparition ou éliminer formellement un kyste de nature organique.
Causes : médicaments, pilule, endométriose...
Certaines pilules, notamment les microdosées, sont aussi un facteur favorisant. Quant aux kystes organiques, les causes dépendent de la nature de la tuméfaction. Ils peuvent être liés à l'endométriose ou à la persistance de cellules immatures dans l'ovaire.
Les principaux symptômes du cancer de l'ovaire
Gonflement abdominal. Douleurs abdominales ou pelviennes. Difficulté à manger ou se sentir rassasié rapidement en mangeant. Sentiment constant de besoin d'uriner.
Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants. Certains kystes ovariens dits organiques sont permanents et ne disparaissent pas avec une contraception orale.
La douleur aux ovaires causée par les règles
Une douleur à l'ovaire, parfois plus diffuse dans le bas ventre et/ou dans le bas du dos, peut aussi survenir la veille des règles, et pendant le premier jour qui annonce celles-ci. Cette douleur peut même s'avérer plus intense chez les femmes sujettes à l'endométriose.
La visualisation du pédicule lombo-ovarien en IRM et scanner confirme la nature ovarienne du kyste. Les critères macroscopiques de malignité de la littérature sont excessivement variés, taille lésionnelle importante, bilatéralité, portion solide, végétations, critères de dissémination péritonéaux ou ganglionnaires.
Les kystes ovariens peuvent aussi se rompre et provoquer un saignement intrapéritonéal causant une douleur pelvienne.