Le courage ce n'est pas : « ne pas avoir peur ». Le courage, c'est prendre conscience de sa peur et y faire face. L'occulter ou la contourner c'est de la lâcheté. L'ausculter pour comprendre tout ce qu'elle a à nous dire et la dépasser, voilà qui nous rend plus fort.
En juin dernier, une étude réalisée par des chercheurs en neurosciences de New York parvenait à une conclusion étonnante : une région bien particulière du cerveau, le cortex cingulaire antérieur subgénual (sgACC), s'active lors d'une action courageuse.
Être courageux a des avantages: d'une part, il empêche un pessimisme injustifié, car les personnes courageuses croient en elles-mêmes et donc en leur propre efficacité. Les personnes courageuses surmontent aussi plus facilement les difficultés et ne sont pas découragées par l'adversité.
Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
Ayez comme objectif la résolution de la situation, et non l'autodéfense. Concentrez-vous sur la situation plutôt que sur vos propres sentiments et reconnaissez que l'autre personne a un problème non pas avec vous, mais avec la situation elle-même.
Aujourd'hui, le courage est une étape vers la réalisation de soi. Aujourd'hui, la plupart d'entre nous qui avons été conditionnés par une vision de la vie dure a cruellement besoin de courage… Le courage vient de la peur que nous sommes en train de dépasser.
Quand on ne trouve pas le courage de réaliser quelque chose, il faut parfois prendre les choses à l'envers. Au lieu de se demander pourquoi on n'a pas le courage de se lancer, on se concentre alors sur l'apport positif que cela peut avoir sur nous – le courage et la motivation viendront ensuite de manière naturelle.
Laurence Devillairs explique : « Le courage est la vertu des vertus. On ne peut pas être sincère, juste, véridique, honnête, loyal, si on n'est pas d'abord courageux. » Erwan Devèze nuance : « On n'est tous pas courageux tout le temps dans sa vie.
1. Fermeté, force de caractère qui permet d'affronter le danger, la souffrance, les revers, les circonstances difficiles : Avoir du courage. 2. Ardeur mise à entreprendre une tâche : Travailler avec courage.
La témérité est définie comme la disposition à oser, à entreprendre sans réflexion ou sans prudence ; alors que le courage est défini comme la prise de conscience de risques dans la réalisation d'une action.
La lâcheté peut être manifestée de différentes manières. La plus évidente se cache dans les comportements. Au-delà de ce que nous pouvons sentir ou penser, certains moments requièrent la réalisation d'actes que nous n'effectuons pas. C'est un reflet de « non réaction » par paralysie, par insécurité…
Devenez plus flexible. Acceptez que parfois les choses ne se passent pas comme prévu, peu importe à quel point vous vous y préparez. Lorsque quelque chose ne va pas, prenez une profonde respiration, puis faites de votre mieux pour gérer la situation, et passez à autre chose.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
Exercez-vous à parler devant un miroir.
Prenez le temps de rassembler vos pensées. Écrivez ce que vous voulez dire. Exercez-vous avec un ami en qui vous avez confiance. Simulez une situation réelle avec un professionnel, comme un psychologue, capable de vous donner une opinion honnête et objective.
Une des raisons qui vous empêchent d'aller lui parler est la peur que votre assurance en prenne un coup. Ne vous en faites pas. Vous ne devez pas penser que votre assurance ne repose que sur l'opinion d'une seule personne. Une grande partie de celle-ci devrait venir de ce que vous ressentez à propos de vous-même.