Développer la pensée logique passe nécessairement par la résolution de problèmes. Les situations proposées doivent permettre aux élèves de s'étonner, de s'interroger, d'inventorier les solutions possibles. Ils pourront ainsi être amenés à construire des « règles » et des nouveaux savoirs.
Pour apprendre à penser, il faut tout d'abord commencer par prendre conscience du type de penser dans lequel nous « pensons » déjà : pensée commune du Sens commun, subjectivité collective et/ou individuelle, subjectivisation (téléphone chinois)2, pensée empirique et rationnelle, etc.
Réfléchir par soi-même, c'est donc d'abord avoir le courage de se poser des questions à chaque fois qu'on a un doute, même si cela est parfois difficile, et essayer de se forger une opinion personnelle en s'appuyant sur des arguments sérieux, auxquels on a réfléchi, et sur des valeurs auxquelles on tient.
Bien penser, c'est avoir un meilleur contrôle sur notre flux de pensées pour améliorer notre qualité de vie. Contrôler les vagues de négativité nous permet d'influer directement sur nos émotions.
L'étroitesse d'esprit est un grand défaut du raisonnement que nous devons tous tacher d'éviter. Essayez toutes les choses, retenez ce qui est bon. Dissipez tous les préjudices de votre esprit. Ne croyez pas qu'il n'y a aucune vérité excepté dans les sciences que vous étudiez.
Le raisonnement logique fait appel à un ensemble de règles qui jouent sur la cohérence ou non d'arguments ou d'énoncés. Le raisonnement logique ne fonctionne pas par rapport à la signification des énoncés (sur son sens) mais sur la validité formelle des énoncés.
Jouer à des jeux ou résoudre des puzzles. Faites des mots croisés pour améliorer votre mémoire. Les mots croisés permettent d'améliorer vos compétences verbales et de stimuler votre mémoire des mots. En plus, ils sont très amusants et vous permettent de réduire votre stress et d'améliorer votre humeur.
Résumez ce que l'autre a dit et ne parlez plus.
Par exemple, vous pourriez dire : « En fait, j'ai passé un bon moment en Floride et je pense y retourner l'année prochaine. » Cependant, vous pouvez aussi terminer votre histoire sans faire de résumé. Une fois que vous n'avez plus rien à dire, ne parlez plus.
Travaillez le langage non-verbal : posture, ancrage dans le sol, utilisation des mains durant l'exposé d'une idée, communication visuelle sont autant d'éléments de communication non-verbale qui traduisent votre niveau d'aisance.
- Le raisonnement inductif : il part d'observations particulières pour aboutir à une conclusion de portée générale. - Le raisonnement déductif : il part d'une idée générale pour en déduire des propositions particulières. - Le raisonnement par analogie : il procède à une comparaison avant d'aboutir à une conclusion.
Parlez avec votre enfant, lisez-lui des histoires, laissez-le explorer l'endroit où il vit et donnez-lui du matériel varié pour jouer. Cela l'aidera à développer son raisonnement. De bonnes capacités de raisonnement aideront l'enfant à mieux comprendre les situations et à avoir de meilleures relations avec les autres.
L'obéissance, le conformisme, l'erreur de disponibilité, la folie organisationnelle, la cohérence hors place, l'effet de halo, l'effet de spectateur, les stéréotypes… sont quelques-unes des caractéristiques de notre pensée qui sont étudiées comme sources possibles de notre façon erronée de raisonner.
Bien parlé est ce bien pensé
« bien parler » C'est donc ici la condition avancée pour atteindre le but qu'est « bien penser ». Celui qui sait « bien parler » c'est celui qui sait « bien s'exprimer » dans la parole c'est aussi le « beau parleur ».
Garder régulièrement à l'esprit ce que nous souhaitons atteindre est une manière très efficace pour garder la motivation dans la durée : mettez votre vision à l'écrit, de manière la plus détaillée possible, et relisez-la régulièrement (chaque matin après le réveil, par exemple).
Bien parler, c'est autrement dit bien savoir s'exprimer. Cette expression renvoie à ce que le langage populaire appelle le « beau parleur », autrement dit, celui qui sait persuader, qui subjugue les foules voire qui peut les manipuler.
Penser à soi, c'est d'abord s'écouter, se connaître. On feint trop souvent d'être quelqu'un, tellement qu'on finit par y croire. Par penser à soi, je veux donc dire se reconnecter à soi pour mieux comprendre ses envies, ses ambitions, ses peurs, ses limites et les appliquer au quotidien dans ses choix et ses actions.