Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
Si vous dites quelques phrases, forcez vous psychologiquement à arrêter de parler au bout d'une ou deux minutes. Fixez vous des limites et relancez derrière vos phrases par une question envers l'autre. Ecoutez VRAIMENT ce que dit l'autre en face, ne pensez pas seulement à ce que vous allez pouvoir répondre.
C'est un moyen pour eux d'attirer l'attention et de se donner de la valeur auprès des autres. Même si ce n'est pas forcément vrai elles elles le conçoivent comme cela. Souvent ces personnes ont tendance à essayer de ramener la discussion à eux. Si le faite que l'on écoute peut lui faire plaisir alors pourquoi pas.
Un sage disait que l'on devait parler quand « les mots sont plus importants que le silence ». Dans certaines situations, il vaut mieux se taire et écouter l'autre ou les autres. En effet dans certains cas, on ne se rend compte des vertus du silence que quand on a déjà trop dit.
La logorrhée peut être un symptôme d'une affection psychiatrique : bouffée délirante aiguë, état maniaque d'un trouble bipolaire, schizophrénie, trouble anxieux, ou hyperactivité par exemple. Dans ce cas elle est souvent associée à une tachypsychie, c'est-à-dire une accélération du cours de la pensée.
Concentrez-vous sur votre respiration.
Comptez le nombre de fois vous inspirez et expirez et tâchez de respirer plus profondément. Cessez de vous agiter, écoutez ce qui se passe autour de vous et concentrez-vous sur votre état d'esprit et non pas sur ce que vous mourez d'envie de dire.
Les bavards n'écoutent pas beaucoup mais ils parlent énormément et parfois même de manière indiscrète. C'est une forme de surdité volontaire qui a pour effet diverses conséquences. Ainsi en bavardant, l'élève est passif et certaines remarques ne sont pas prises en compte.
Derrière le bavardage peut se cacher une excitation ou une angoisse . Adultes comme enfants, nous sommes traversés chaque jour par une multitude d'angoisses . C'est normal et il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Mais n'ayant ni la maturité ni les outils pour les affronter, l'enfant fait diversion .
Parler, parler, pour ne pas laisser s'installer le silence et l'angoisse, toujours à l'origine de cette manie. Derrière le bavardage, il y a la peur de ne pas maîtriser la relation. Blablater, interrompre l'autre, ne pas l'écouter, c'est une tentative pour prendre le pouvoir et monopoliser l'attention.
Recadrer l'interlocuteur lorsqu'il marque une pause, en lui demandant l'objet exact de son appel ; Prévenir éventuellement l'interlocuteur du temps qui vous est imparti pour lui répondre, du fait de votre charge d'activité ; Prendre l'initiative de le rappeler en définissant le temps de l'appel.
En principe, il vous suffit de prendre la parole sans attendre qu'on vous l'offre, mais je vous suggère de faire aussi un petit geste, pour capter le regard du verbomoteur. Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut.
Le client bavard
Il faut l'avouer, il est très sympathique, mais vous ne pouvez pas lui consacrer toute votre journée… Écoutez-le attentivement et paraphrasez ses propos pour montrer que vous le comprenez. Posez-lui des questions fermées qui ne nécessitent que « oui » ou « non » comme réponse.
La logorrhée est un terme médical qui désigne une surproduction verbale. Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. La logorrhée est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution.
Vous n'arrêtez pas de parler
Le temps que vous passez à parler est le signe indiscutable que vous faites preuve de narcissisme conversationnel. «C'est plus un monologue qu'un dialogue, dit la Dre Campbell. Le flux de la conversation devrait plutôt être constitué d'un va-et-vient.»
Le mot juste : volubile, bavard, prolixe…
Contrairement aux idées reçues largement répandues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
Pourquoi certaines personne parlent trop
C'est le plus souvent une question de personnalité, mais aussi de circonstances. «Certaines personnes peuvent avoir énormément confiance en elles au travail, par exemple, mais perdre tous leurs moyens face à un individu qu'elles admirent, déclare Camillo Zacchia.
La personne qui monopolise la conversation sur elle-même a rarement conscience du problème. Pour l'aider à changer, il vaut mieux utiliser un peu de légèreté ou une pointe d'humour. Au sein de la famille, on peut aussi veiller à répartir le temps de parole entre les enfants et les parents.
Qund on fait le silence, on montre qu'on est sage. Le silence est une règle à respecter à l'école et à la cantine. Le silence est important pour bien écouter et pour bien travailler, pour savoir ce qu'il faut faire en classe. Enfin, le silence, c'est aussi un confort : ça repose les oreilles et la voix.
L'adage « tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler » est bel et bien à appliquer. Une nouvelle fois, prenez sur vous et isolez-vous quelques instants pour vous calmer et réfléchir à la situation ainsi qu'aux solutions envisageables avant de vous exprimer.
Réfléchissez au sens de vos paroles.
Chaque prise de parole doit être l'occasion d'enrichir le débat. À l'inverse, si ce que vous vous apprêtez à dire ne permet pas de faire avancer la conversation, ne le dites pas. Le silence n'est pas dénué d'intérêt, il permet en effet d'observer le comportement des autres.