Ainsi, si votre enfant ne veut pas parler, restez simplement près de lui, calmement et respectueusement, mais en restant ouvert à une éventuelle communication. Quand il se sentira prêt, il saura qu'il peut venir vous parler.
Vous pouvez demander de l'aide > à votre assistante sociale dont vous trouverez les coordonées sur le site du Conseil Général (www.cg43.fr pour le département de la Haute-Loire), rubrique « Santé-Social » puis « service social départemental » > ou directement auprès de la CASED (cellule d'aide et de soutien pour l' ...
Rappelez-vous : un ado qui râle est un ado en bonne santé qui cherche une limite. Concentrez-vous sur ce qui vous semble juste. Laissez-le se plaindre et maintenez votre décision fermement. Dites : “Eh oui, c'est ainsi…” sans commentaire.
La « crise » adolescente peut se manifester par des comportements extrêmes : fugues, mise en danger (alcool, drogue, anorexie…), violence tournée vers les autres (délinquance, jeux dangereux) ou retournée contre soi-même (tentative de suicide).
Selon l'adolescent, le comportement de rébellion peut provenir : De son envie d'être différent car il est en recherche d'identité, De sa difficulté à trouver sa place dans un groupe, dans sa classe, D'émotions qu'il a du mal à contrôler, (il peut être déçu par ses copains)
L'adolescent qui ne se sent pas sécurisé dans son environnement familial va ejeter les autres afin de provoquer chez eux un sentiment d'insécurité.
Soyez patient avec votre ado et écoutez-la.
Évitez de parler à sa place ou de l'interrompre quand elle parle. Incitez-la à parler en lui posant des questions banales sur sa journée ou sur le déroulement de l'examen qu'elle a eu au lycée. Prenez note de ses réponses et laissez-la partager ses pensées.
Il faut s'expliquer et écouter, bref il faut qu'il y ait un échange. Pour se faire obéir des adolescents, il faut parfois punir. Le choix de la punition est important. L'ado doit comprendre ses erreurs mais il ne doit pas se sentir humilié ou encore infantilisé.
Au lieu de dire « tu es agressif », vous pouvez essayer de dire quelque chose comme « je me sens blessée quand tu me parles comme ça ». Il n'y a pas de mal à dire de temps en temps clairement ce que vous ressentez.
Le mutisme sélectif est un trouble de la communication défini comme une incapacité persistante à parler dans une ou plusieurs situations sociales (incluant souvent l'école), alors même que l'enfant est capable de comprendre le langage et de le parler dans d'autres situations (comme à la maison).
Mais l'adolescence est également une période de grande vulnérabilité où les jeunes peuvent adopter des comportements excessifs voire à risques : alcool, drogues, violence, exposition de soi sur Internet, dépendance affective…
Nous situons donc leur début autour de 11 ans pour les filles, un peu plus tard pour les garçons, et leur fin, autour de 20 ans, lorsque les adolescents sont suffisamment autonomes psychologiquement et socialement pour participer de manière plus active à la définition de leur propre rôle et de leur propre mission dans ...
prendre le temps d'écouter ce que l'adolescent veut dire. aider l'ado à résoudre son problème sans conseiller ni raisonner ou encore imposer sa propre solution. accepter les sentiments de l'adolescent sans imposer ce qu'il “devrait” ressentir.
Les enfants tyrans comme les adultes tyranniques, manipulateurs pervers narcissiques ne sont pas heureux. Ils sont toujours en colère, ils veulent toujours plus, ils sont aigris et jaloux. Leurs attitudes hautaines et leurs dédains pour les autres font qu'ils sont souvent rejetés.
On dit d'un adolescent qu'il est difficile, d'abord parce que les structures classiques proposées sont en échec face à lui. Il n'est pas, lui, « personnellement difficile », mais il est difficile pour tous les autres de le comprendre, de lui donner une place, de s'occuper de lui.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Ecoutez votre ado si vous ne savez pas que répondre.
Si vous savez à l'avance que vous direz non, inutile de lui faire croire que ses arguments peuvent vous faire changer d'idée. Il se sentira trahi et manipulé (et ce sera le cas). Vous pouvez dire « ma décision est prise à 98%, c'est non.