Comment éduquer sans frapper? Vous êtes le premier modèle de votre enfant. L'influence que vous exercez sur lui repose avant tout sur la qualité de votre relation avec lui. Une relation basée sur le respect mutuel et sur l'amour pousse l'enfant à se responsabiliser et à avoir une estime de soi positive.
Se centrer sur l'enfant et ce qui se passe en lui
Quand on se met à leur place, qu'on prend conscience de ce qui se passe en eux, de leurs propres besoins non satisfaits, on peut mieux comprendre leur comportement et y apporter une réponse adéquate.
En France aujourd'hui, frapper un adulte, c'est puni par la loi, frapper un animal, c'est de la torture, mais frapper son enfant au sein de son foyer, ça serait de l'éducation. C'est tout sauf de l'éducation. Les enfants ne doivent pas recevoir de coups, quels qu'ils soient.
Symptômes physiques et psychosomatiques :
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
Quand un enfant porte atteinte physique à ses parents, c'est nocif à la fois pour les parents et les enfants. C'est du laxisme que de se laisser frapper par un enfant ou de laisser un enfant en frapper un autre et cela porte atteinte au développement de l'enfant qui n'apprend pas à réguler son impulsivité.
Ce genre de punition est souvent acceptable, du moment qu'elle n'est pas extrême ou excessive. S'ils vous frappent pour passer leurs nerfs, c'est de la maltraitance. Il en va de même s'ils vous frappent trop fort. Vos parents vous ont-ils frappé pour que vous arrêtiez de faire quelque chose qu'ils n'aimaient pas ?
cite « les troubles du sommeil, en particulier un endormissement soudainement compliqué, des réveils nocturnes… La survenue de colères disproportionnées doit aussi alerter, au même titre que l'apparition de tics ou de troubles obsessionnels compulsifs (TOC). »
Les parents qui frappent leurs enfants ne le font pas, sauf exceptions, par sadisme, mais « pour leur bien », pour bien les éduquer, et donc avec le désir de bien faire. Ils ont d'ailleurs pour la plupart été élevés de la même façon et ne font que reproduire de bonne foi l'éducation qu'ils ont subie.
Ce genre de punition est souvent acceptable, du moment qu'elle n'est pas extrême ou excessive. S'ils vous frappent pour passer leurs nerfs, c'est de la maltraitance. Il en va de même s'ils vous frappent trop fort. Vos parents vous ont-ils frappé pour que vous arrêtiez de faire quelque chose qu'ils n'aimaient pas ?
« Un enfant méchant, c'est aussi un enfant qui ne veut jamais jouer avec moi, ou alors, quand il veut bien, ça finit toujours par une bagarre. » « Un enfant méchant c'est un enfant malheureux. Je veux dire qu'il ne le fait pas vraiment exprès de ne pas être gentil, c'est juste qu'il a eu des problèmes dans sa vie. »
L'idéal : établir un contrat, que vous lirez à voix haute devant lui pour lui expliquer les principales règles de la maison, à ne pas enfreindre s'il ne veut pas être puni. Autre point important : une punition ne doit jamais être humiliante. Les châtiments corporels du type gifles ou fessées sont ainsi déconseillés…
Par exemple, la naissance d'un petit frère peut faire de l'aîné un tyran. Ce dernier va chercher tous les moyens d'attirer l'attention pour être plus en relation avec ses parents, même si c'est de manière négative. Autre exemple : un petit qui réclame toujours plus de câlins avant d'entrer en classe.
Vous devez aussi vous attendre à ce que votre enfant teste vos limites de façon répétée : c'est comme ça qu'il apprend. Une fois que l'on sait cela, il est plus simple de rester calme et d'éviter les pleurs et les cris dans votre relation. Laissez-le être en charge du plus d'activités possibles.
La période des « fucking fours » est principalement caractérisée par des crises de colère, des négociations, de la bouderie, des paroles blessantes envers l'adulte et de la confrontation face aux limites instaurées par l'adulte.
Les crises de colère à coups de hurlements et de cris stridents, on en a tous déjà vu, et en tant que parents, on en a tous déjà connu au moins une fois… Ces crises de colère font partie du développement normal de l'enfant, surtout à l'âge où il commence réellement à développer son autonomie, vers 18 mois.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.