On décrit le workaholisme comme une relation pathologique d'une personne à son travail. Cette relation se caractérise par une compulsion à consacrer de plus en plus de temps et d'énergie à son métier, au détriment des autres aspects de sa vie.
Faire une liste des dossiers traités et des avancements donnera une autre perspective sur la journée de travail. Evitez la liste de ce qui reste à faire, potentiellement anxiogène, mais vous pouvez la remplacer par un mini planning de tâches importantes que vous voulez effectuer le lendemain.
Pour lâcher prise au travail, vous devez accepter vos limites et celles des autres. Vous n'êtes pas responsable de tout. ... Acceptez vos limites et celles des autres
Acceptez de ne pas tout contrôler. ...
Renoncez à la perfection en toutes circonstances : elle n'est pas toujours possible, ni même indispensable.
Lorsque vous vous réveillez, éteignez l'alarme et, et sil vous plaît, laissez votre téléphone sur votre table de nuit. Passez quelques minutes au lit et prêtez attention à votre respiration. Lorsque les pensées du jour surgissent dans votre esprit, laissez-les passer et concentrez-vous à nouveau sur votre respiration.
Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour. La sieste rééquilibre le système nerveux et calme le stress. Pratiquez la relaxation. Quelques séances de sophrologie peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
Si les pensées font le hamster dans notre tête, a fortiori la nuit, ça veut dire que notre inconscient cherche à résoudre ce que le conscient échoue à faire le jour. D'évidence, il nous est demandé plus de tâches dans un temps moindre.
Pourquoi je ne me sens pas à ma place au travail ?
Au travail, nombreux sont ceux qui ont l'impression de ne pas être à la bonne place, de ne pas avoir les compétences nécessaires et de devoir camoufler leurs lacunes. Ce syndrome de l'imposteur reflète un manque de confiance en soi sur lequel il est pourtant possible d'agir.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. "Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces", explique-t-il.
A titre indicatif : Les principales sources d'oméga-3 et d'acides gras polyinsaturés sont les poissons gras (le thon, la sardine, le maquereau, le saumon, le hareng) et les huiles de noix et de soja.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Pour soulager une crise d'angoisse, le médecin prescrit des benzodiazépines anxiolytiques qui agissent rapidement. Dans les cas graves, un neuroleptique peut être utilisé. En période de crise, une injection peut être pratiquée pour un effet plus rapide.
Certaines situations professionnelles peuvent justifier de ne plus, ou pas, avoir envie de travailler. Le burn-out et le bore-out en sont deux exemples concrets. Ce sont deux syndromes d'épuisement professionnel. Le premier par surcharge de travail, le second par manque de travail.