Selon Charle Pépin, la première condition de l'audace est de cumuler de l'expérience à travers l'entraînement, les exercices, les efforts afin d'élargir la zone de confort. Oser passe par une longue préparation. En effet, oser (et donc oser l'échec), c'est être capable de mesurer le risque pris.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Notre vie comporte trop d'habitudes,trop de répétitions, de réflexes de protection, elle devient, peu à peu, sans saveur. Nous devons donc oser prendre des risques pour avancer !
Ne pas courir après le temps, organise-toi, ne procrastine jamais, ce qui est fait est fait et est toujours bon à prendre, ce qui ne l'est pas le sera demain. (Nathalie C.) Concentre-toi sur aujourd'hui et sur comment tu peux en tirer le meilleur pour vivre pleinement.
« Quand le mal a toutes les audaces, le bien doit avoir tous les courages ». Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799 est l' une des figures emblématiques du Siècle des Lumières.
Le problème :On manque de confiance en nous d'où l'idée de dire « non » pour que les autres disent « mais si ». En clair, plus ils insistent plus on se sent valorisée.
L'art de savoir dire « non » induit la connaissance et l'estime de soi. En refusant la demande de son interlocuteur, le manager ou le collaborateur montre qu'il a conscience de la valeur d'un engagement.
Arrêter de dire “non, point final” permet en premier lieu de construire une relation plus constructive. Les enfants élevés positivement ont plus tendance à aider les autres enfants. Au fil du temps, ils développent des attitudes saines basées sur la tolérance, le dialogue et le respect.
Aidez-le à réparer plutôt que de le menacer et le punir.
Au lieu de si tu n'arrêtes pas de taper ton frère, je te mettrai à réfléchir! », on peut dire, « Utilise tes mots. Que voulais-tu dire à ton frère ? » ou « J'ai entendu quelqu'un demander d'arrêter…»
Maîtrisez vos émotions
Souvent, une conversation nous paraît difficile parce qu'on est engagé émotivement avec ce qu'on a à dire ou avec la personne en face de nous. Alors, la première chose à faire est de vous distancier de vos émotions. C'est la condition sine qua non pour vous donner le courage de parler.
Une des raisons qui vous empêchent d'aller lui parler est la peur que votre assurance en prenne un coup. Ne vous en faites pas. Vous ne devez pas penser que votre assurance ne repose que sur l'opinion d'une seule personne. Une grande partie de celle-ci devrait venir de ce que vous ressentez à propos de vous-même.
Exercez-vous à parler devant un miroir.
Prenez le temps de rassembler vos pensées. Écrivez ce que vous voulez dire. Exercez-vous avec un ami en qui vous avez confiance. Simulez une situation réelle avec un professionnel, comme un psychologue, capable de vous donner une opinion honnête et objective.
Le fait d'accepter l'idée que vous puissiez dire « Non » signifie déjà faire un pas en avant qui vous permettra de vous affirmer. Cela augmentera également la confiance que vous pouvez avoir en vous, et renforceras vos prises de positions.
Apprenez à mettre les formes, mais tenez bon si votre interlocuteur insiste. Gardez en tête quelques formules faciles pour affirmer votre refus, comme « je suis désolée mais je ne peux vraiment pas t'aider », ou « non, je ne suis pas disponible », ou encore « non, je ne veux pas ».
C'est avancer dans la connaissance de soi. Savoir dire non, c'est encore ne pas procrastiner. C'est ne pas dire » peut-être », ni « plus tard », ni « on verra », ni « pourquoi pas », ni « on en reparle » ; c'est ne pas mentir, et surtout ne pas se mentir à soi-même. C'est apprendre à ne pas avoir peur.
Pourquoi j'accepte toujours tout : parce que je veux être indispensable. Si certains d'entre nous ont peur de dire Non et de passer pour un égoïste, d'autres ont une approche plus positive : dans ce cas, nous acceptons tout dans le but de nous rendre importants, et même indispensables.
3 moments clés! – Arrêter de penser à son idée, se focaliser sur l'écoute des propositions de son interlocuteur. – Dire « Oui » sans vouloir contredire ou contre-argumenter. Accepter la proposition de l'autre ou de soi-même (discussion interne).
Oui, en français, est un adverbe utilisé pour marquer son accord, marquer une réponse positive ou pour répondre à un appel. Il dérive du latin hoc ille (celui-ci), par l'ancien français oïl (prononcé [wi] ou [wil]).
Citation de Robert Doisneau sur Cela
Quand on est prisonnier de l'image, cela vous donne toutes les audaces.