Creusez la terre à une vingtaine de centimètres du pied de l'arbuste afin de faire apparaître les racines. Avec un sécateur affûté et bien propre, prélevez un morceau de racine. Recouvrez immédiatement de terre les racines que vous avez dénudées et arrosez-les copieusement.
Pourquoi? C'est que les racines qui se forment dans l'eau s'acclimatent à un milieu aquatique. Quand vous transférez la bouture en pleine terre, les racines aquatiques, incapables de s'ajuster au changement, meurent et la pauvre bouture doit recommencer à zéro, développant des racines terrestres.
Le concept est très simple: lorsque vous prélevez une tige à bouturer, plongez l'extrémité coupée dans du miel avant de l'insérer dans votre substrat de culture préféré, probablement du terreau ou de la vermiculite. Le miel stimulerait un enracinement plus rapide et plus efficace.
Faites tremper votre bouture dans votre récipient d'eau et placez-la ensuite dans un endroit plutôt chaud et surtout lumineux, aux alentours de dix-huit à vingt degrés. Ensuite, patientez en surveillant régulièrement l'apparition des racines et leur évolution.
Mettez votre bouture dans un endroit chaud (environ 19 °C) et lumineux. Si vous n'avez pas de charbon de bois, changez l'eau régulièrement. Vous pouvez également ajouter une hormone de bouturage dans l'eau pour faciliter l'enracinement. Dès que les racines commencent à sortir, repiquez votre bouture en terre.
Creusez la terre à une vingtaine de centimètres du pied de l'arbuste afin de faire apparaître les racines. Avec un sécateur affûté et bien propre, prélevez un morceau de racine. Recouvrez immédiatement de terre les racines que vous avez dénudées et arrosez-les copieusement.
Quand les premières racines sont là, vous pouvez utiliser un engrais liquide spécial bouture pour aider votre plante à se développer. Pensez aussi à bien changer l'eau régulièrement, environ une fois par semaine. Vous pouvez ensuite laisser votre plante grandir dans l'eau ou bien repiquer votre bouture dans la terre.
La salive et l'urine
Vous pouvez donc remplacer vos hormones de bouturage du commerce en faisant tremper le bout de votre bouture dans de l'urine ou en crachant sur ce dernier. Il est cependant déconseillé de lécher directement la tige, certains végétaux ayant des propriétés toxiques pour l'être humain.
Elle doit rester propre et claire. Au bout de quelques temps (ce qui varie d'une plante à l'autre), doivent apparaître sur la tige de petits points blancs, puis nettement des racines. Il faut parfois être patient. Si la tige commence à noircir et que les feuilles tombent, c'est que le bouturage n'a pas fonctionné.
On maintient un bon niveau d'humidité
Il est important de maintenir la terre humide, mais pas complètement détrempée. Trop d'eau peut faire pourrir les racines et la bouture finit par mourir. Au contraire, si vous n'arrosez pas suffisamment, les racines sèchent et c'est également la fin de la plante.
Pour cela, grattez la base de la tige et regardez s'il y a une couche verte. Si c'est le cas, la plante est en vie ! Si le centre de la tige est marron, c'est que cette partie est morte.
de mi-août à fin septembre - boutures semi-ligneuses et ligneuses (ou semi-aoûtées et aoûtées) de jeunes tiges de l'année, en train de durcir pour prendre une texture ligneuse de bois, en coupant sous un nœud : laurier, lilas, olivier, groseillier à fleurs, rosier, hortensia, lierre… ou en ou coupant avec un talon de 2 ...
Le bouturage de tige
On coupe une tige d'environ 15 cm, sous un nœud, et on l'effeuille à sa base. On la plante dans un mélange léger (moitié terreau, moitié sable) pour faciliter l'enracinement. Ça fonctionne avec : Bruyère, fougères, chrysanthème, arbustes, etc.
Le greffage consiste à mettre en contact étroit les tissus d'une ou plusieurs plantes pour qu'ils se soudent entre eux. Le greffon développe tige et feuilles, le porte-greffe fournit les racines. Ce procédé permet de reproduire les végétaux qui ne se reproduisent pas fidèlement, par semis, ou à bouturage difficile.
On coupe la tige en biais du bas vers le haut, d'une coupe nette. On prélève une tige de 10 à 15 cm juste sous une feuille, un nœud ou un bourgeon. Avant de placer la bouture dans l'eau ou la terre, on élimine les feuilles du bas de la tige. Il n'en restera que quelques-unes en haut de la tige.
Dans un verre transparent, disposez la bouture dans l'eau – si possible, placez aussi un morceau de charbon de bois pour éviter le pourrissement des racines à venir ; sinon changez l'eau régulièrement. À l'apparition des premières racines, surveillez bien les boutures.
Ôtez toutes les feuilles en ne gardant que les 2 du haut. Enlevez les épines en bas de la tige (sur un tiers de la longueur, ce qui correspond à la longueur qui sera enterrée). Trempez la base de votre rameau dans de l'eau durant quelques minutes, puis dans de la poudre d'hormones de bouturage.
On coupe juste en dessous du nœud (ou du renflement) où la feuille rencontre la tige principale. Une même tige peut donner plusieurs boutures – à condition de couper des branches munies d'au moins un nœud et une feuille de la tige originale.
Parmi ces hormones, l'auxine est essentielle au bon développement de la plante, que ce soit au niveau de ses tiges, ses feuilles ou ses racines. C'est donc une hormone de bouturage naturelle, qui favorise la production et la croissance des racines.
Repiquez la bouture dans des petits pots contenant un mélange léger de terreau et de sable. Creusez à l'aide d'un bâtonnet un trou de 5 cm de profondeur. Arrosez régulièrement à l'aide d'un pulvérisateur.
Quelles sont les plantes que je peux bouturer dans l'eau ? Elles sont nombreuses, vous en proposons ci-après une liste non exhaustive : Quelques plantes faciles à bouturer dans l'eau : Coleus, impatiens, lierre, fuchsia, passiflore, bégonia, misère, menthe , datura...
Couper votre bouture sous un noeud, ici avec une ou deux racines aériennes. Couper toujours vos boutures avec un couteau ou sécateur propre. Dans votre cuillère, mettez un peu de cire et faites-la chauffer au-dessus d'une bougie. Eteignez la bougie, et attendez un peu avant de poser votre bout de tige dessus.