Votre surcharge de travail provient d'un manque d'effectif ou d'une mauvaise organisation de l'entreprise ? Planifiez une réunion avec votre N+1 pour lui faire part du problème. Appuyez-vous sur les faits et les données chiffrées - feuilles de temps à l'appui - pour prouver que le problème est bien réel.
« Quand on travaille trop, les résultats sur la santé sont impressionnants, on est bien au-delà du burn out. » Et la spécialiste de lister : lupus, production excessive de cortisol (une hormone fabriquée par les glandes surrénales, nécessaire à l'équilibre du glucose au niveau du cœur) et dépôt sur le cœur, apparition ...
Le principal risque d'une surcharge de travail est de mener l'employé vers un « burn-out » ou syndrome d'épuisement professionnel. Le burn-out peut causer une dépression plus ou moins sévère, qui s'étend jusqu'à la vie personnelle de l'employé.
Essaye ça: «J'ai du mal à me tenir au courant de tout ce qui se trouve dans mon assiette à présent et espérais que nous pourrions parler de mon rôle dans [le point que vous aimeriez déléguer] et le [autre point], car ce sont des prendre beaucoup de temps. »
Il ne s'agit pas de rejeter la personne, mais de lui dire qu'on ne peut pas répondre à son attente, et pourquoi. On commence donc par montrer qu'on l'a entendu, en reformulant par exemple sa requête ou en cherchant à en comprendre les raisons.
laborieux adj. et n. Qui travaille beaucoup, assidûment.
un sentiment de culpabilité, l'impression ne jamais faire assez bien par rapport aux autres, une grande fatigue physique et mentale, des troubles du sommeil : difficulté d'endormissement, insomnies ou réveils nocturnes, des troubles de l'humeur : irritabilité, emportement excessif pour des détails, par exemple.
Dans le cas où la tâche demandée ne relève pas des attributions du salarié, il est en droit de refuser de l'exécuter. Il peut refuser, même s'il a accepté de le faire dans un premier temps ou si la tâche est provisoire. Un licenciement prononcé à la suite de ce refus serait considéré sans cause réelle et sérieuse.
En effet, les causes d'un mal être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc. Souvent on sait que cela ne va pas, mais on a dû mal à identifier la cause exact.
Le salarié ou employeur peut contacter l'unité territoriale de la Dreets : Dreets : Direction régionale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités (ex-Direccte) dont dépend l'entreprise. Les agents de contrôle de l'inspection du travail y assurent des permanences sur place.
Ils peuvent intervenir en cas d'horaires trop importants ou lorsque les conditions de travail se révèlent trop difficiles, dangereuses ou contraire à la dignité humaine. C'est aussi l'inspecteur du travail qu'il faudra contacter afin de faire constater des discriminations au sein de l'entreprise.
Pour cela, rédigez un courrier à son intention. Mentionnez clairement votre nom et vos prénoms ainsi que les coordonnées de l'entreprise et les effectifs. Rassurez-vous, l'inspecteur du travail est tenu de garder votre identité secrète.
On décrit le workaholisme comme une relation pathologique d'une personne à son travail. Cette relation se caractérise par une compulsion à consacrer de plus en plus de temps et d'énergie à son métier, au détriment des autres aspects de sa vie.
laborieuse. Qui travaille beaucoup. Qui demande beaucoup de travail et d'efforts.
Locution nominale
Celui qui travaille de manière excessive.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Retourner au travail fait partie du traitement.
Pour cela, la spécialiste décrit plusieurs critères : le patient ne doit plus avoir de troubles du sommeil, il doit avoir récupéré un minimum de 50% de son énergie habituelle et enfin il doit avoir déjà intégré dans son quotidien de nouvelles attitudes.
Comment survivre à un patron toxique? Limiter les interactions au strict minimum. Faire appel à un témoin le plus souvent possible. Limiter les sujets de conversation au contexte professionnel.