Parler à l'enfant de façon simple, claire, lui lire des histoires où l'on nomme les émotions lui donnent des outils pour s'exprimer et remplacer les coups, les insultes, les morsures par des mots. “Tu étais très en colère, non ? Je comprends que tu sois en colère et tu as le droit de te mettre en colère.
Comme tous les comportements, la morsure est un moyen de communication pour faire face à un défi ou répondre à un besoin. L'enfant mobilise l'acte de mordre parce qu'il ne peut pas ou ne sait pas faire autrement dans l'environnement dans lequel il se trouve et avec les moyens dont il dispose.
- Depuis le 22 décembre dernier et l'adoption du projet de loi "égalité et citoyenneté", "tout recours aux violences corporelles" est interdit dans l'exercice de l'autorité parentale. En clair : les parents n'ont plus le droit de donner une fessée ou une gifle à leurs enfants.
Si un enfant frappe ses parents, il tente peut-être de les repousser pour exprimer son besoin de s'individualiser. Il peut avoir l'impression que les câlins l'empêchent de jouer et d'explorer son environnement de façon autonome.
Se rapprocher de lui, le rassurer, lui montrer que vous êtes présents et à l'écoute suffisent parfois à l'apaiser et à faire cesser les violences. Si votre enfant refuse le dialogue, expliquez-lui que vous ne pouvez pas le laisser dans cette situation et que vous devez vous faire aider.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
Symptômes physiques et psychosomatiques :
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
Symptômes physiques
Traces de coups, blessures, scarifications, accidents fréquents, problèmes de santé répétés, retard staturo-pondéral, arrêt du développement psychomoteur ou intellectuel, manque d'hygiène, etc.
cite « les troubles du sommeil, en particulier un endormissement soudainement compliqué, des réveils nocturnes… La survenue de colères disproportionnées doit aussi alerter, au même titre que l'apparition de tics ou de troubles obsessionnels compulsifs (TOC). »
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influançant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
Rappelez-vous : un ado qui râle est un ado en bonne santé qui cherche une limite. Concentrez-vous sur ce qui vous semble juste. Laissez-le se plaindre et maintenez votre décision fermement. Dites : “Eh oui, c'est ainsi…” sans commentaire.
Ainsi, quand les insultes ont fusé, au lieu de demander à votre adolescent d'exprimer un profond remords, dites-lui : “Comment as-tu pu me faire une chose pareille ?”
La peine est de 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.
Consentement ou autorité parentale ? La loi vie privée prévoit très clairement que pour pouvoir consulter les données du téléphone portable de quelqu'un, cette personne doit d'abord donner son consentement, même s'il s'agit de l'un de vos enfants.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Des envies de mordre
Certains experts estiment que la dopamine libérée par l'émotion positive contribue au réflexe agressif. Pour d'autres, cette contre-réaction émotionnelle permettrait de retrouver rapidement un état d'équilibre qui faciliterait l'économie de l'énergie.
Face aux accusations de négligence des professionnels, il est conseillé d'expliquer aux parents que la morsure ne résulte pas d'un défaut de surveillance. Par ailleurs, un dialogue avec les parents de l'enfant qui mord à répétition peut aider à comprendre les difficultés qu'il traverse et permettre de dédramatiser.
Des mordillements comme de légères griffures peuvent exciter les sens, sans pour autant faire mal à son partenaire. L'art des morsures : Il s'agit d'exciter et de mener au plaisir, non de faire souffrir son (ou sa) partenaire.
A partir de 12-18 mois, il est possible de voir votre enfant mordre par « excès d'émotion ». En effet, les bébés de cet âge peuvent se sentir submergés par la joie, l'amour, ou le stress au point d'avoir envie de l'extérioriser en mordant.