Penchez-vous en arrière de sorte à éviter l'attaque. Attrapez la personne par le bras ou saisissez sa chemise lorsqu'il vous attaque ou essaie de vous porter un coup. Amenez votre agresseur à vous et faites-le tomber. Servez-vous de votre jambe pour le faire tomber lorsque vous l'attirez vers vous.
Pour vous défendre contre un agresseur, servez-vous de vos mains, votre front, vos genoux, vos coudes, pour le frapper aux yeux ou atteindre son nez, ce qui devrait vous permettre de vous enfuir. Vous pouvez aussi essayer de lui donner un coup de pied au tibia ou frapper sa rotule pour le neutraliser.
La tempe est la zone située sur le côté du visage d'une personne, entre la racine des cheveux et les sourcils, au niveau des yeux. Si la tempe est ciblée avec précision, le coup de poing fera que le cerveau à se balancer violemment contre la paroi du crâne, causant le KO. Serrez votre poing et prolongez-le.
Mettez votre adversaire à genou et faites-lui plier le torse vers l'avant. Avec vos jambes, effectuez des crochets sur ses lombaires. L'un de vos bras va encercler son cou tandis que l'autre va immobiliser sa nuque. Avec cette prise, tout le corps de votre adversaire sera sous votre contrôle.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Faites tourner votre poing à 180 degrés vers votre cible. Gardez l'autre main devant votre visage. Ne laissez pas votre visage vulnérable à une attaque. Ramenez votre bras en arrière en position de départ.
Pour un KO rapide, viser les tempes, le foie ou le menton. Les amateurs du travail de sape préfèrent s'acharner sur le nez.
La gifle, démonstration sur le vif
Ce dernier est en garde passive, main droite le long du corps pour pouvoir protéger la partie basse de son torse tandis que son avant-bras gauche protège sa gorge et son visage (il existe une variante intéressante avec le bras droit à l'horizontale au niveau du plexus).
Même si cela peut être considéré comme de l'anti-jeu, l'accrochage est un bon moyen de déstabiliser son adversaire, mais surtout un moyen extraordinaire pour se reposer. Accrocher un ou les deux bras de son adversaire peu l'agacer, ainsi que l'arbitre, si cela devient trop fréquent.
Si vous êtes hors de portée de ses attaques, privilégiez les coups de pied au genou, à l'aine ou à l'abdomen. Si vous êtes à mi-distance, visez sa tête et son corps. Si vous êtes suffisamment proche, vous pouvez lui donner un coup de boule, un coup de genou ou un coup de coude.
Donnez un coup de tête à votre adversaire.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête.
Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez. Dégainer une arme peut terminer le combat avant même qu'il n'ait commencé.
Les pertes de poids trop brutales peuvent ainsi aggraver les commotions cérébrales. Le cerveau se déshydrate tout comme les tendons ou d'autres organes chargés d'eau. C'est pour cela que l'on observe plus de tendinites chez les boxeurs qui ont mal géré leurs pertes de poids.
Le coup de poing marteau : tout en gardant le poing serré, frappez avec le côté, le « marteau » de la main. Utilisez autant de force que possible, en criant à chaque impact. Le coup de poing de revers : avec le dos du poing, frappez le sac avec vos deux premières phalanges.
Vous pouvez comme exercice travailler ce relâchement et cette flexibilité en vous plaçant en posture de garde face à un mur à une distance d'un bras et main tendu, ensuite il suffit d'aller chercher à toucher le mur, vous pouvez petit a petit augmenter la distance entre vous et le mur pour améliorer votre flexibilité.
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.
Les points de pressions sont des pressions effectuées sur une petite zone, généralement sensible, pour diminuer la douleur locale, relâcher les tensions et augmenter la souplesse régionale. Ces petites zones sensibles sont parfois ressenties comme des nœuds, nodules rigides.