lorsque le véhicule est à l'arrêt, le pied gauche débraye en enfonçant l'embrayage à fond pour passer la première vitesse alors que le frein à main est enclenché le pied gauche doit se relever doucement de manière à trouver le point de patinage afin que le véhicule commence à trembler, sans caler.
On tient bien le guidon sans se crisper dessus. On regarde toujours loin devant soi. On met le moins de poids possible sur le guidon. Pour cela, pousser les fesses en arrière, tendre les bras, mettre le poids du corps sur les jambes.
Sur une moto, l'embrayage nous sert à pouvoir changer de rapport quand nous le voulons, et non pas seulement quand le moteur le permet. Et il ne sert pas qu'à ça… Débrayer nous permet aussi d'évoluer en roue libre.
Quand on est sur une petite pente ou un « faux plat », démarrer en cote sans se servir du frein à main est bien pratique. Ça fait gagner pas mal de temps. Mais attention, le risque de caler est aussi plus important en voulant aller trop vite…
Si les véhicules calent à une intersection ou au démarrage en général, c'est parce que les usagers de la route lâchent l'embrayage trop tôt et que, comme raccordement entre le moteur et la boîte de vitesses n'est pas complet, la vélocité qui est transmise aux roues n'est pas suffisante pour permettre de déplacer la ...
Il peut s'agir de la première vitesse si c'est l'arrière de la voiture qui est incliné dans la pente. A l'inverse, si le véhicule est garé tête en bas, il est conseillé d'enclencher la marche arrière. Si vous possédez un véhicule à boîte automatique, alors il faut positionner celle-ci sur la position “P”.
Le point essentiel est de rouler « serré en bas, relâché en haut ». Tout le bas du corps doit être au plus près de la moto : pieds, genoux, cuisses, bassin. Vous devez multiplier les points de contact avec la machine, la serrer entre vos jambes, pour mieux la sentir et influer sur elle.
Pour cela, braquez le guidon à fond vers la droite et gardez serré le levier de frein avant. La moto va pencher à gauche. Ensuite, décollez le pied droit du sol, sans le monter trop haut. Trouvez le point d'équilibre, en pensant à regarder loin droit devant vous.
Vous devez toujours changer de vitesse quand vous avez besoin de ralentir. Cela ne permettra pas seulement d'utiliser le frein moteur pour aider à réduire le taux, cela vous permettra d'avoir encore plus de couple et aussi d'accélérer à nouveau si l'arrêt n'est pas nécessaire.
Le bas du corps doit être bien gainé et serré sur la moto, tandis que le haut du corps doit rester souple, détendu. Le poids du corps doit reposer sur les pieds et les genoux, pas sur le guidon. Tenir le guidon sans le serrer et surtout sans se crisper dessus.
Un phénomène naturel. La peur à moto est un phénomène tout à fait naturel, que tous les motards connaîtront à un moment ou à un autre de leur vie à deux roues. Généralement, l'appréhension est plus présente chez les jeunes motards qui n'ont pas encore accumulé beaucoup de kilomètres.
débrayer au maximum (pédale d'embrayage enfoncée) enclencher la première vitesse. accélérer légèrement et stabiliser cette accélération. laisser remonter l'embrayage jusqu'au point de patinage.
Savoir quand il faut passer les vitesses et rétrograder
de 20 km/h à 40 km/h : on doit passer la seconde vitesse. de 40 km/h à 60 km/h : on doit passer la troisième vitesse. de 60 km/h à 80 km/h : on doit passer la quatrième vitesse. au-delà de 80 km/h : on doit passer la cinquième vitesse.
Attendez d'avoir atteint environ 10 km/h pour relever complètement l'embrayage. Avant, le moteur risque de caler. Vous pouvez savoir précisément quand le relever. En bloquant bien votre embrayage au point de patinage, votre moteur doit avoir un bruit constant, un régime constant.
Si vous êtes dans l'obligation de vous arrêter (orange, rouge), vous allez devoir freiner et rétrograder en deuxième vitesse.
Il faut garder en tête que ces deux permis sont difficilement comparables : Le pilote d'une moto est bien plus vulnérable qu'un conducteur de voiture. Sa formation à la conduite et à la sécurité doit donc être irréprochable.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
En ville et si la voiture n'est pas en pente , le frein à main légèrement serré suffit . Par contre , si vous enclenchez une vitesse , voiture stationnée , le moindre mouvement de la voiture se communique à la boîte de vitesse et au moteur , puisque l'embrayage est "collé " .
En plus de serrer le frein à main à fond, il est vivement conseillé d'enclencher une vitesse après avoir éteint le contact. Sur les véhicules dotés d'une boîte manuelle, les conducteurs pourront choisir entre la première vitesse ou la marche arrière en tenant compte du sens de stationnement dans la pente.
Conseil de sécurité : la vitesse autorisée peut s'avérer encore trop importante, par exemple, en cas de chaussée glissante. C'est ainsi qu'une vitesse légale de 80 km/h se doit d'être abaissée à 60, ou même 40 km/h, en cas de mauvaises conditions de route X Source de recherche . Débrayez et rétrogradez.
Quand on cale, cela peut provoquer un à-coup (donc un effort bref mais intense) pouvant les endommager. Il y a aussi la boîte qui peut en prendre un peu dans les dents, mais c'est amorti par l'embrayage (c'est à ça que servent les ressorts que l'on peut voir sur les disques).
On ne le répètera jamais assez : caler, ce n'est pas grave. L'une des seules situations dans lesquelles cela peut être dangereux, c'est si vous êtes dans une pente montante. Si vous calez, freinez immédiatement après (pédale de frein ou frein à main).
En cas de calage, on peut remettre le moteur en marche rapidement, en débrayant à fond et en tournant la clef de la voiture. Le moteur est alors prêt pour repartir, il suffit de suivre à nouveau les étapes indiquant comment démarrer une voiture.