définir les critères d'analyse. identifier les dangers. analyser les risques. évaluer l'acceptabilité des risques.
Formulation de l'énoncé de risque. La méthode recommandée pour formuler l'énoncé de risque comprend deux éléments : l'événement et ses répercussions négatives possibles s'il n'est pas géré. Énoncé de risque (menace) : Si (événement) survient, il pourrait (répercussions négatives).
L'évaluation des risques professionnels (EvRP) relève de la responsabilité de l'employeur, et s'inscrit dans le cadre de son obligation générale d'assurer la sécurité et de protéger la santé des salariés. L'EvRP constitue l'un des principaux leviers de progrès dans l'entreprise.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
L'identification des risques. L'évaluation des risques. Le traitement des risques.
La grille DIGEST est un outil de diagnostic de la gestion de la santé et de la sécurité au travail adapté aux entreprises de moins de 50 salariés. Il permet d'évaluer l'engagement de l'entreprise dans ses pratiques de prévention des risques professionnels.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Dans une organisation, c'est l'instance dirigeante qui prend la décision et endosse la responsabilité, au nom de l'organisation, d'engager une démarche de pilotage de gestion des risques. A ce titre, elle impulse l'exercice de cartographie des risques et désigne un risk manager.
Une bonne démarche d'analyse de risques pour tout entrepreneur freelance et créateur d'entreprise se doit de respecter les cinq phases suivantes : identification des risques, évaluation de la gravité, de la probabilité de survenance, identification des points critiques et enfin la prévention.
Le comité de Bâle définit le risque opérationnel comme le risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d'événements externes. Ces risques correspondent aux erreurs du personnel, à la défaillance des systèmes, des risques technologiques, etc.
risque zéro l.m.
Risque considéré comme nul. Celui qui entreprend ou suscite une action considère qu'il prend un risque nul lorsqu'il espère ne prendre aucun risque en accomplissant cette action.
Le danger est la capacité à créer un dommage. C'est est un des éléments qui conditionne le risque, qui est quant à lui la combinaison d'un danger et de l'exposition à ce danger. Ainsi, un risque peut être faible voire nul, même en présence d'un grand danger.
L'identification des dangers fait partie du processus permettant de déterminer si une situation, un élément ou un objet en particulier pourrait causer un préjudice. Le terme le plus souvent utilisé pour décrire l'ensemble du processus est « évaluation des risques ».
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Il est possible d'attribuer une note sur 5 pour la gravité et une autre note sur 5 pour la probabilité. La criticité sera donc une note sur 25 obtenue en multipliant la gravité par la probabilité. Il est possible de pousser l'analyse des risques en ajoutant un troisième critère, le risque de non détection.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.