Parlez au public et non à la présentation. Ne regardez pas l'écran afin de ne pas tourner le dos au public. Assurez-vous de ne pas vous tenir devant le support visuel et de ne pas le cacher. Quand vous apporter une nouvelle information, laisser du temps à l'audience pour l'absorber avant d'en parler davantage.
Dites plutôt : « Bonjour, je m'appelle Agathe et j'aide les personnes à être plus à l'aise et convaincants à l'oral. » Remplacer votre métier par une phrase a plusieurs avantages : il permet d'être plus compréhensible pour le commun des mortels et de vulgariser votre métier.
Je m'appelle + prénom (nom). Exemple : je m'appelle Audrey (Dupont). En français, on donne d'abord son prénom et ensuite son nom.
Avant de prendre la parole en public, utilisez la technique de la respiration ventrale : inspirez lentement (pas trop profondément), puis soufflez par le nez ou la bouche ouverte. Répétez cet exercice 3 fois avant d'intervenir. Pour aller plus loin, découvrez nos astuces pour améliorer votre communication non-verbale.
Se tenir droit, respirer profondément, détendre les épaules… seraient autant d'astuces susceptibles d'améliorer la confiance en soi. Prêtez attention à votre langage corporel, évitez des gestes nerveux qui traduisent un malaise… et souriez.
Quelques mots sur qui vous êtes suffisent ! Par exemple, vous pouvez donner votre nom, votre âge et dire ce que vous aimez faire dans la vie, tout simplement ! Pas besoin d'écrire un pavé, quelques phrases suffisent. Décrivez vos passions et expliquez d'où elles vous viennent et comment vous les vivez.
POUR COMMENCER
Présenter le but de son exposé Aujourd'hui, je voudrais vous expliquer / montrer (comment) ... Le sujet de mon exposé est … / Le titre de mon exposé est ... Aujourd'hui, nous sommes réuni(e)s ici pour parler de… / aborder la question / débattre de … Aujourd'hui, nous allons parler de…
Démarrez par votre présentation personnelle : déclinez votre identité. Vous n'êtes pas obligé d'évoquer votre vie privée dans les détails. Un exemple : si vous pensez que pour le poste votre statut de parent, ou votre âge, est un plus, parlez-en, sinon attendez que le recruteur vous pose la question.
Pour se présenter ou présenter quelqu'un en français, il faut donner son prénom et son nom dans le bon ordre ! Pour se présenter, on peut utiliser : Je suis / Je m'appelle / Moi, c'est + prénom. Je suis / Je m'appelle + prénom + nom de famille.
Commencez vos propos par une formule comme : “À vrai dire, je suis content que vous m'ayez posé cette question”, même si c'est faux. Mettez-y du ton dans la voix. Prenez le dessus et entamez une allocution qui présentera les choses à savoir sur vous. Préparez-vous un petit discours d'une minute, bref et précis.
Il faut parler de soi (état-civil, âge, formation, expérience), de ses qualités (ou de ce qu'on dit de vous), de vos goûts et centres d'intérêt et du pourquoi vous êtes ici en entretien. C'est un bon prétexte pour montrer sa motivation et son intérêt pour le poste et l'entreprise.
Votre réponse doit décrire votre situation actuelle, votre expérience professionnelle passée, la raison pour laquelle vous êtes un bon candidat pour le poste et la manière dont vous vous alignez sur les valeurs de l'entreprise.
Concentrez vous sur les faits. Vous n'avez que 30 secondes devant vous. Pour être efficace, vous ne devez pas vous perdre dans les détails. Attendez toujours que l'on vous pose des questions avant d'inonder l'interlocuteur d'informations vous concernant.
Si tu es timide et que tu as envie d'améliorer ta prise de parole en public, je te suggère de faire un exercice. Il s'agit de créer un élément déclencheur à cette prise de parole. En d'autres termes, je t'invite à faire un bruit, une action ou un geste avant tes prises de parole.
Pensez au pupitre, il sera votre meilleur allié. Ensuite, pensez à parler haut, clair, fort et lentement. Avec le stress, il arrive que des orateurs parlent vite, très vite. Si c'est votre cas, alors notez-vous de ralentir dans votre prise de parole.
La première étape consiste à identifier ses émotions sans porter de jugement sur elles, en évitant de leur donner trop de pouvoir ou un sens erroné. Il s'agit d'instaurer dans sa vie quotidienne un socle solide sur lequel s'appuyer pour bien vivre les moments où nous sommes plus vulnérables.