Je vous conseille de commencer le récit par un cadre précis et surtout réel, avec de belles descriptions. Le décalage sera plus flagrant quand le surnaturel surgira dans l'action. Après, il faudra suggérer sans décrire. Voilà le propre du fantastique !
Situation initiale : 2. Élément perturbateur : 3. Péripéties : 4. Élément de résolution : 5.
Une nouvelle est de genre Fantastique quand elle relate des événements totalement étranges, le plus souvent irrationnels ou incompréhensibles, hors d'atteinte de la puissance humaine ou de l'explication rationnelle (apparition de doubles, de fantômes, de spectres ou de revenants ; labyrinthes étranges ; rêves ou ...
Dans le récit fantastique, la situation initiale correspond au monde réel dans un lieu propice au fantastique. C'est le moment du récit où l'état initial est modifié. Apparaît alors un changement de temps et le passé simple à valeur de premier plan. Dans le récit fantastique, l'entrée dans un monde inconnu.
Le début doit donc préciser les trois dimensions du récit : quand, où, et qui. Pour captiver le lecteur, il est conseillé d'entrer directement dans le vif du sujet avec une première péripétie qui présente le contexte de l'histoire (son intrigue, ses personnages, etc;). Mais, veillez à ne pas aller trop vite non plus !
Tout le récit doit se terminer par un point d'interrogation. Comme le héros, le lecteur doute jusqu'à la fin. Les récits fantastiques se terminent généralement fort mal : pas de retour rassurant au monde réel. La fin est « ouverte ».
Pour vraiment étoffer un personnage, donnez-leur une personnalité qui va plus loin que l'histoire en elle-même. Certains côtés de leur personnalité peuvent ne jamais ressortir directement dans votre histoire, mais connaitre ces côtés vous permettra de les utiliser au cas où.
Le récit fantastique met en scène un personnage vivant dans un univers réel, dont la vie est chamboulée quand apparaissent tout à coup des phénomènes surnaturels ou merveilleux. On nomme parfois « transgression » le moment où l'auteur brise le réel pour y insérer des éléments fantastiques.
L'ambiance du récit fantastique est glauque, exploite à fond la tension dramatique et les thématiques sinistres. Apparitions fantomatiques, phénomènes étranges, délires schizophréniques, pactes avec le diable, vengeances, etc. tout est mis en place pour alimenter un sentiment de trouble, d'inquiétude et d'angoisse.
La nouvelle fantastique mêle le réel et le surnaturel. Le point de départ de la nouvelle fantastique est réaliste, puis interviennent des éléments surnaturels qui ont été annoncé par divers indices.
Une première méthode est simplement de vous assoir et de commencer à écrire un résumé simple de votre histoire, en rédigeant les détails de votre nouvelle. Il peut s'agir d'une histoire un peu folle ou amusante que vous pourriez raconter à vos amis sans savoir comment la retranscrire à l'écrit.
Ces premières phrases, également appelées des incipit, sont essentielles. Elles servent à capter l'attention du lecteur et lui donnent envie de continuer sa lecture… ou pas. On parle souvent de la phobie de la page blanche mais il peut être encore plus difficile de trouver comment commencer son roman.
Une chute fait appel à une fin soudaine, parfois brutale, qui doit surprendre le lecteur. L'exigence d'une chute c'est que, comme toute fin, elle doit paraître logique, crédible ; une fois la surprise passée, l'évidence doit s'imposer. Tout lecteur de nouvelle s'attend à une chute.
Les nouvelles appartiennent alors au même type: policier, fantastique, huumoristique, symboliste, réaliste ou de science-fiction.
La nouvelle se fonde sur la concision : peu de personnages, d'événements et de lieux. Tout doit être ramassé et réduit. 5) À l'opposé du roman, la nouvelle se concentre sur une action unique. Les nouvellistes ne cherchent donc pas à multiplier les intrigues ou les péripéties, au contraire.
Le héros fantastique a presque systématiquement une réaction de refus, de rejet ou de peur face aux événements surnaturels qui surviennent. Le fantastique est très souvent lié à une atmosphère particulière, une sorte de crispation due à la rencontre de l'impossible.