Si la personne en perte d'autonomie est âgée de moins de 60 ans, contactez la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH). Elles se charge de l'accompagnement de la personne aidée et de ses proches.
Parfois, les chewing-gums, un brossage fréquent des dents ou un rince-bouche peuvent améliorer la sensation gustative et stimuler l'appétit des seniors. Si la viande n'a plus de goût, essayez d'introduire d'autres sources de protéines, comme les produits laitiers et les légumineuses.
Quand les professionnels de santé évoquent l'autonomie de la personne âgée, ils font référence à sa capacité à vivre correctement sans l'assistance d'une tierce personne. Cette notion englobe aussi bien les capacités physiques (exemples : capacités à se lever seule, à marcher, à se laver, etc.)
Dans cette idée, le meilleur moyen d'y parvenir et, ainsi, d'améliorer la qualité de vie des aînés repose, comme toujours, sur des mesures préventives. Soit ne pas fumer, avoir une activité physique régulière, une alimentation saine et équilibrée et une implication sociale, y compris après la retraite.
La dépendance, définie comme la nécessité d'être aidé pour accomplir des gestes simples de la vie quotidienne, peut avoir diverses origines. Parmi les principales causes de la perte d'autonomie de la personne âgée, on retrouve la sarcopénie, la dénutrition, les maladies liées à l'âge ainsi que la perte de lien social.
La première cause de la perte d'autonomie est en général une pathologie. La maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson sont parmi les pathologies les plus handicapantes. Toutefois, les accidents vasculaires cérébraux (souvent résumés sous les initiales AVC) peuvent provoquer des dépendances très lourdes également.
Un petit-déjeuner équilibré pour les séniors
Un produit laitier pour le calcium et les protéines animales : lait, yaourt, fromage, fromage blanc... Un fruit ou équivalent pour l'énergie immédiate, le transit, les vitamines : fruit, compote, smoothie, fruits secs... Une boisson pour l'hydratation : thé, café, eau...
La raison la plus probable pour expliquer la longueur du pas raccourcie (la distance d'appui entre un talon puis l'autre) est la faiblesse des muscles du mollet, qui sont responsables de la propulsion du corps vers l'avant; la force musculaire du mollet est sensiblement diminuée chez les personnes âgées.
Si la perte d'autonomie s'installe, alors il est possible de réaliser des aménagements permettant d'apporter du bien-être dans le quotidien de la personne âgée, et de faire appel à des professionnels pour l'aider à effectuer les tâches qu'elle ne peut plus faire seule.
Une personne âgée non-autonome nécessite l'aide d'une autre personne pour lui prodiguer des soins personnels d'ordre physique ou cognitif, et ce, quotidiennement. Les soins personnels qui sont pris à charge par une autre personne sont l'hygiène, l'habillement, l'alimentation et la mobilité.
La baisse du nombre de neurones dans le cerveau et les troubles de la circulation cérébrale entraînent des pertes de mémoire et des difficultés à se concentrer et sont responsables de certaines maladies dégénératives (Alzheimer, Parkinson ). De même, on observe une diminution de la quantité et la qualité du sommeil.
Une personne vraiment autonome, c'est une personne qui prend toutes ses décisions en ne se référant qu'à elle-même et aux valeurs qu'elle s'est choisies. Cette personne s'organise seule, selon son emploi du temps, avec du temps libre aussi personnel. Elle peut régler ses problèmes sans y mêler un maximum d'individus.
Elle mesure les capacités de la personne âgée à accomplir : 10 activités corporelles et mentales, dites activités discriminantes, et 7 activités domestiques et sociales, dites activités illustratives.
En France, le principal outil pour évaluer le degré d'autonomie de la personne âgée est la grille AGGIR. Grâce à l'analyse de 10 grandes variables, elle permet de déterminer le GIR (Groupe Iso-Ressources) des personnes âgées.
L'activité occupationnelle est définie dans le Larousse comme « thérapeutique, qui cherche à réadapter les malades mentaux par le travail ou des activités de loisirs.».
Le maintien de l'hydratation artificielle (même par voie sous cutanée) après arrêt de l'alimentation, risque de prolonger la phase agonique. Ainsi, à un certain stade, maintenir l'hydratation artificielle nuit à la qualité de vie du patient.
Les carences les plus courantes chez les seniors de plus de 65 ans sont : La vitamine D. Carence la plus courante, elle touche près de la moitié des seniors. La consommation de poissons gras, d'abats, d'œufs, de fromages ou de beurre peut diminuer et/ou supprimer cette carence.