L'alcool contient une substance anesthésiante. Cette substance anesthésiante agit sous forme de narcotique sur les cellules du cerveau. Dès que l'individu consomme régulièrement et de manière excessive, la communication qui existe entre les neurones ralentit. De ce fait, on assiste alors, à la perte du tissu cérébral.
L'alcool agit considérablement sur le cortex frontal (partie frontale du cerveau). Or, celui-ci commande la maîtrise de soi et le comportement en société, ainsi que les actions ciblées, le raisonnement et la résolution de problèmes.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit « cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie ». On appelle cela « le déclic« .
Plus de la moitié des participants à l'enquête associent la consommation de liqueurs fortes comme le gin, la vodka et le whisky à un sentiment d'énergie et de confiance, et 42% déclarent se sentir sexy après en avoir bu. Mais ce type d'alcool est également associé à des sentiments agressifs et négatifs.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
L'alcool engendre chez certains un comportement impulsif et agressif qui peut se convertir en un comportement automatique s'ils boivent trop d'alcool sur le long terme. Et il faut ajouter à cela les altérations que l'alcool peut causer au cerveau. Celles-ci réduisent encore plus la maîtrise de soi.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
Conséquence de l'action de l'alcool notamment sur la substance réticulée du tronc cérébral, les noyaux vestibulaires, le cervelet et le cortex, l'ivresse banale associe jovialité, hypomanie (parfois tristesse), propos incohérents et dysarthrie, troubles cérébelleux et vertiges.
Depuis quelques temps, nous savons qu'une consommation excessive d'alcool peut déclencher une dépression. Cette situation se produit souvent chez des personnes souffrant de problèmes liés à l'alcool. Une consommation fréquente suscite d'abord des sentiments d'apathie et de déprime.
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Malheureusement, l'envie de boire ne disparaitra sans doute jamais complètement, Cela dit, elle s'atténuera avec le temps, déja au bout d'une semaine tu devrais te sentir mieux, Il faut prendre plaisir à accomplir cette décision, car elle en vaut la peine, tu en vaut la peine.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière.
Deux verres d'alcool peuvent induire des changements dans le fonctionnement du cortex préfrontal du cerveau, la partie normalement utilisée pour tempérer les niveaux d'agressivité, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale.