Elles fonctionnaient par écoulement d'eau ou bien de mercure. C'est en fonction de la quantité de liquide écoulée que le temps était mesuré. Par la suite, elles furent munies d'un flotteur avec aiguille qui indiquait l'heure sur un cadran gradué.
Une horloge mécanique est dotée d'un mouvement c'est-à-dire un ensemble de roues en métal qui « engrènent » les aiguilles afin de les faire tourner. C'est ce qu'on appelle le rouage. Toutes les pièces sont imbriquées ensemble dans le seul but de faire tourner les aiguilles.
La clepsydre fonctionne sur le même principe que le sablier. C'est l'écoulement d'une quantité d'eau qui fixe la durée écoulée. Les premières clepsydres se présentent sous la forme d'un bol, avec un trou à leur point le plus bas, permettant l'écoulement de l'eau.
Horloge hydraulique
Il y a environ 2500 ans, les Égyptiens ont inventé l'horloge à eau. Le temps était déterminé par le liquide dans le récipient avec un trou dans le fond et des divisions sur les parois.
Elles fonctionnent sur le même principe que le sablier. Actuellement, dans l'émission télévisée Fort Boyard, les animateurs emploient une clepsydre avec un liquide bleu pour mesurer le temps pendant lequel des candidats essaient d'attraper une clé.
L'horloge à eau, également appelée clepsydre, est l'un des plus anciens dispositifs de mesure du temps. Ces horloges étaient utilisées par les civilisations égyptienne et chinoise au XVIe siècle avant J. -C. Elles fonctionnaient par écoulement d'eau ou bien de mercure.
La clepsydre est l'objet présent à côté de la porte de chaque cellule du fort. C'est une horloge à eau qui mesure le temps restant pour réaliser une épreuve. Elle est similaire à un sablier. Pour les épreuves en extérieur, un chronomètre est utilisé.
Les horloges comtoises sont parfois connues sous d'autres appellations (« la Morez », « la Morbier » et « la Comtoise »). Ces appellations sont également utilisées en anglais ou en allemand.
XIIIe siècle : l'horloge mécanique
Les premières horloges mécaniques ont été mises au point vers le XIIIe siècle avec pour principe la chute d'un poids actionnant les rouages. Elles n'avaient ni cadran, ni aiguille ; leur seule fonction était de sonner les heures.
L'invention de l'heure
C'est des Babyloniens que vient l'idée de diviser la journée, c'est-à-dire la période allant du lever du soleil à son coucher, en douze heures. La pratique est reprise ensuite par les Grecs puis les Romains.
Notre clepsydre sera constituée par 2 bouteilles d'eau minérale : la bouteille supérieure sera emboîtée dans celle du bas, préalablement découpée. Le fond sera enlevé pour faciliter le remplissage par les jeunes élèves. Le jet sortira parallèlement à l'axe de la bouteille.
Introduit en Europe au cours du moyen-âge, les marins se sont vite rendus compte que le sablier était plus stable que la clepsydre, et que sa vitesse d'écoulement constante le rendait plus pratique pour mesurer les durées intermédiaires.
La clepsydre de Ctésibios : un pas vers la modernité
L'inventeur grec Ctésibios fait évoluer le modèle traditionnel de clepsydre à deux vases vers un instrument plus complexe, dans lequel l'écoulement de l'eau devient une source d'énergie qui permet la mise en mouvement de rouages et d'indicateurs du temps.
Balancier d'une horloge
Il est horizontal ou circulaire au début et se nomme foliot ou balancier dans les montres actuelles. Il peut aussi prendre la forme d'un pendule, constitué d'une tige verticale, pouvant osciller autour d'un axe horizontal, et comportant un poids à son extrémité basse.
Deux causes d'arrêt sont alors possibles : La pendule est mal calée : son tic-tac n'est pas régulier et la perte d'amplitude du balancier fait que son angle de fonctionnement devient inférieur à l'angle de marche. Voir rubrique précédente.
Une horloge à balancier est une horloge mécanique dans laquelle le régulateur est un balancier (ou pendule), constitué d'une tige verticale, qui oscille autour d'un axe horizontal, et qui comporte un contrepoids (habituellement un disque bombé en métal lourd) à sa base.
Le mot "horloge" vient de "hôrologion" (qui dit l'heure) a, en France, été décliné en "montre" pour désigner "l'horloge que l'on porte au poignet".
Les premières montres datent de la fin du XVe siècle (environ 1480). On attribue pourtant souvent cette invention à un horloger de Nuremberg, Peter Hele ou Henlein, qui conçut de très petites horloges au début du XVIe siècle (vers 1510).
La particularité des horloges à poids, à balancier ou à clé
L'oscillation du balancier est toujours régulée par un échappement à ancre et l'entretien de l'oscillation est assuré par la descente d'un contrepoids qu'il faut remonter régulièrement, au moyen d'une chaine ou d'une corde.
Si elle est située à l'arrière, et qu'elle est d'environ douze centimètres, vous pouvez en être sur ou presque votre horloge date d'avant 1760. Si elle mesure environ 5 centimètres et se trouve toujours à l'arrière, elle a été réalisée entre 1740 et 1800. La tour de suspension s'est déplacée à l'avant vers 1795.
L'identification de l'horloge ou du pendule est vitale
Pour savoir si votre vieille horloge a une réelle valeur sur le marché de l'antiquité, commencez par réaliser un examen approfondi. Cherchez des preuves que l'horloge a été fabriquée à la main, comme des pièces taillées à la main ou des sculptures décoratives.
L'horloge est un terme plus générique que pendule. La pendule: La pendule, au féminin, est un appareil fonctionnant grâce à un système de régulateur de mouvement : le pendule (masculin), composé d'une tige terminée par une masse (balancier). Il s'agit donc d'un modèle spécifique d'horloge.
Appelée parfois silhouette en X, elle se caractérise par un buste et des hanches bien équilibrés, de même largeur, ainsi qu'une taille assez fine, joliment dessinée, qui s'arrondie gracieusement jusqu'aux hanches. Les épaules peuvent être légèrement arrondies ainsi que les fesses.
D'ailleurs on ne parle pas de sablier mais de clepsydre. Seuls les fans de Fort Boyard connaissent ce joli mot. Une clepsydre, c'est comme un sablier mais avec du liquide.