Depuis des siècles, les japonaises utilisent le konjac dans leurs préparations culinaires. Très riche en eau et en fibres, cette racine présente un faible apport calorique et provoque rapidement la sensation de satiété. Les japonaises consomment le konjac comme nous, françaises, avalons des pâtes ou du riz.
Pour garder un corps svelte et en bonne santé, les Japonais favorisent une alimentation naturellement hypocalorique, dépourvue de sucre, de fromages, de fritures et de confiseries, explique la médecin nutritionniste.
Selon la médecine chinoise, manger beaucoup d'aliments acides, épicés et amers est bénéfique pour la santé car ils favorisent la perte du poids.
Pourquoi les Chinois ne grossissent-ils pas quand leurs aliments sont riches en graisse ? - Quora. Les graisses dans leur grande majorité ne font pas grossir car elle procure très rapidement la satiété. Le facteur majoritaire est l'apport de sucre.
Au Japon, et plus précisément dans l'archipel d'Okinawa, de nombreuses personnes appliquent le «Hara Hachi Bu» afin de ne pas grossir et de prolonger son espérance de vie. Plus précisément, cette méthode consiste à arrêter de manger avant d'avoir atteint complètement le sentiment de satiété.
Le régime Okinawa est un régime semi-végétarien faible en matières grasses (moins de 25 % des calories totales). L'un des principes de ce régime est de proposer une restriction calorique sans avoir à compter les calories, pour atteindre un poids de forme et bien vieillir.
Le petit déjeuner typique japonais est souvent accompagné de poisson grillé. Maquereau ou saumon, il est préparé avec une sauce légèrement sucrée, lui donnant un goût très doux. Certains remplacent le poisson par de la viande de poulet frit, les karaage, de la viande de porc marinée ou du bœuf.
D'autre part, il a été constatée que la population féminine asiatique développait moins de cellulite que les femmes d'origine caucasienne. Une hypothèse est celle de leur consommation de phyto-oestrogènes de soja qui diminuerait leur production d'œstrogènes (surrénalienne et ovarienne).
Au restaurant chinois
Une nourriture a priori équilibrée, à condition de prendre garde aux fritures ! Entrée : préférez un rouleau de printemps. Composé de salade, crevette, galette de riz, feuilles de menthe et pousses de soja, il est relativement peu calorique (environ 150 Kcal l'unité).
Une alimentation riche en fibres
Les fruits et les légumes sont bien présents dans la nourriture asiatique. Elle offre une alimentation riche en crudités. Ces fibres permettent de favoriser le transit intestinal.
La minceur des Coréens est aussi à corréler avec le caractère traditionnellement équilibré de leur cuisine. «La base de leur nutrition, pauvre en viandes, repose surtout sur le kimchi (chou fermenté et épicé), le riz et le piment», rappelle Sylvie Octobre. Sauf que parfois, l'assiette est loin d'être rassasiante.
C'est le cas des andouilles (faites d'intestins), de plats comme les pieds et paquets (fait d'estomac, d'intestins, de pattes de cochon) ou de la cervelle et même de la viande de cheval.
En Chine, le petit-déjeuner se compose de mets chauds tels que : Gruau de riz accompagné de pain vapeur, soupes de nouilles ou encore un You Tiao trempés dans un verre de lait de soja chaud.
Le régime japonais traditionnel privilégie les aliments entiers ou peu transformés - principalement le poisson, les fruits de mer, les algues, le riz, le soja, les fruits et les légumes, ainsi que de petites quantités d'autres produits animaux.
Une soupe Miso contient environ 40 kcal tandis qu'une portion de gingembre équivaut à peu près à 9 kcal. Quant aux brochettes Yakitori (bœuf, saumon, thon), elles font 170 kcal chacune. Si vous ne mangez que des sushis, vous pouvez vous permettre d'en déguster 10 à 12 par repas.
Les thés verts japonais sont particulièrement adaptés dans le cadre d'un accompagnement à la perte de poids de par leur richesse en caféine. Ainsi des thés comme le sencha, le matcha ou encore le genmaïcha peuvent être de précieux alliés minceur. .
Le poulet et le bœuf à la citronnelle, au basilic, au saté ou aux champignons noirs sont de très bonnes options. Parce que ces viandes sont maigres – 2 % de matières grasses pour le poulet, 4 % pour le bœuf (en général, du filet ou du faux-filet) –, le plat ne dépasse pas les 135 kcal.
Si nos amis japonais savent parfois allier gourmandise et menus légers, les plats chinois, de leur côté, regorgent souvent de calories. "La cuisine chinoise est réputée pour ses nombreuses sauces, épaissies grâce au sucre, nous met en garde Alexandra Retion, diététicienne-nutritionniste.
Pour les Chinois, la nourriture ne concerne pas seulement l'estomac, c'est un grand plaisir, de sorte qu'ils ne mangent jamais à la hâte et essaient de goûter autant de plats différents que possible. Lors des occasions festives, il y a des dizaines de plats sur une table, comme il était de mise autrefois.
La génétique principalement, alors que la plupart des groupes ont par défaut des poils corporels et faciaux, la forme orientale qui a évolué autour du Huang He de Chine a en fait réduit ses poils corporels et faciaux, essentiellement il est devenu plus glabre.
Comme chez les femmes indiennes, la beauté asiatique vient de l'intérieur. Elle s'appuie sur la pharmacopée chinoise, le thé vert et une alimentation saine. Ces derniers ont un impact sur la beauté et la jeunesse de la peau, privilégiant les fruits et les légumes, le riz et les champignons chinois.
Les bienfaits de la douche froide.
Grâce à l'effet du froid, les veines se contractent, améliorant ainsi la circulation sanguine et éliminant la cellulite. Un résultat qui se voit au niveau de la peau qui retrouve un aspect lisse.
Le mochi. Le mochi est sans aucun doute le dessert japonais le plus connu en occident. Il s'agit d'un gâteau préparé à base de riz gluant cuit.
Le petit déjeuner idéal est donc celui qui associe un peu de glucides à IG bas (pain complet, pain de seigle, galette de sarrasin, flocons d'avoine) avec des protéines (jambon, fromage, oeuf, viande des grisons…) et du gras (beurre, gras du fromage ou d'une charcuterie).
Le miso est une pâte fermentée, dont la texture ressemble à celle du beurre de cacahuète. Constitué de plusieurs ingrédients (graines de soja, sel, riz ou orge), il est obtenu grâce à un procédé complexe de plusieurs phases de fermentation.