CULTURE - En favorisant l'éveil aux richesses que chaque milieu et que chaque individu possède, la culture "établit un trait d'union entre les autres et soi-même" ; elle permet de communiquer, elle est rencontre de l'autre.
La culture est le propre de l'homme : elle fait partie de son évolution et de sa définition. Il faut également s'interroger sur les cultures au pluriel, car il en existe une grande diversité.
Source de plaisir et d'émerveillement, la culture peut offrir des expériences touchantes du point de vue émotionnel ou intellectuel, qu'elles soient plaisantes ou dérangeantes, qui invitent à la fête ou à la contemplation.
La culture permet aussi de découvrir le monde. Tous les styles de vie, les valeurs et les croyances sont différents selon les pays. Nous pouvons ainsi savoir comment ils vivent, ce qui est important pour eux et ce qui ne l'est pas, leurs inquiétudes, leurs appréhensions et comment ils envisagent leur avenir.
Transition : la culture semble bien constituer une condition essentielle à l'humanisation de l'homme. Elle rend l'homme humain en l'éduquant et en l'aidant à « cultiver » des capacités qu'il ne possédait pas de façon innée.
Humanisme et culturalisme peuvent, tout d'abord, être considérés comme des options constamment ouvertes à l'homme pour penser et agir dans l'ordre humain ; une forme de couple structurant en permanence un être, singulier ou collectif, qui n'existe précisément qu'à travers un devenir, une histoire.
La culture n'a aucune incidence sur la vie de l'homme, il peut vivre sans. L'homme devrait vivre à l'état de nature, en dehors de tout repère culturel. L'homme n'apprend pas de la culture, donc il doit s'en éloigner.
La culture définit ce qui est bon à penser et à consommer
La culture influe sur ce que nous voyons, comment nous interprétons les choses et comment un environnement doit être organisé. Elle façonne nos perceptions, la manière dont on perçoit des marques, des services, des relations.
La nature de l'homme c'est la culture. culturel fait pour pour vivre vivre par et avec autrui, c'est-à-dire une autre conscience de soi qui me permet de me développer, de comprendre qui je suis et ce que je peux être en me faisant. L'homme est la seule créature qui soit susceptible d'éducation.
Dans ce patrimoine culturel chacun se reconnaît, mais chacun peut l'adapter à un nouveau projet de vie. Et tous ces éléments d'identité constituent un champ de forces dynamiques qui garantissent l'effervescence créatrice. – L'identité est un refuge sécurisant contre les désordres sociaux et les insécurités de la vie.
Elles nous permettent de donner notre avis sur une oeuvre, et d'exprimer de manière verbale ou non-verbale ce qui nous plait ou pas. La culture joue un rôle déterminant dans l'éducation. Elle contribue à la réussite éducative, développe les capacités de réflexion critique et améliore l'apprentissage.
La culture est une caractéristique fondamentale des sociétés humaines ; c'est elle qui distingue l'homme de l'animal. Il n' y a ainsi rien de naturel dans le fonctionnement de sociétés humaines. Cependant, il existe une très grande diversité dans les comportements culturels.
«La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social.
En résumé, la culture est ce qui détermine notre façon d'être, ce qui façonne nos croyances et nos valeurs et influence nos comportements.
Résumé Nous savons que les pairs, les institutions culturelles et scolaires, les médias, les réseaux sociaux et la famille sont des agents d'influence dans la socialisation des jeunes. L'influence familiale est considérée comme prépondérante, peu importe la génération.
La culture a une forte influence sur les comportements et les croyances des individus. Elle peut définir les normes sociales et les attentes en matière de comportement, ainsi que les croyances et les valeurs qui sous-tendent ces normes.
Humanité et humanisme désignent les vertus de l'homme lorsqu'il se montre altruiste et sociable, maîtrisé et empathique, digne et respectueux (sur ce sujet voir l'article Humanité ou sagesse ?), en un mot civilisé.
Au sens sociologique, la culture désigne les pratiques matérielles et spirituelles de la société dans laquelle nous naissons. En philosophie, on oppose souvent la culture à la nature, elle désigne alors ce qu'un être ou une chose développe avec une aide extérieure (volontaire ou imposée).
Des études ultérieures ont montré que les différences culturelles qui influencent les styles de pensée sont omniprésentes dans la cognition: elles affectent la mémoire, l'attention, la perception, le raisonnement et la façon dont nous parlons et pensons.
Les résultats montrent que les personnes fortement attachées à un groupe culturel et à des normes culturelles sont également plus sensibles aux critères éthiques et ethniques dans leurs intentions d'achat ce qui confirme le rôle du groupe dans la construction de la personnalité.
Certains processus culturels changent la façon dont des gènes se répandent dans les populations. Ils influent ainsi sur l'évolution de l'Homme. En voici trois parmi d'autres : les modifications humaines de l'environnement, les mariages entre populations et la transmission des biens d'une génération à une autre.
Une peuple sans culture est un peuple sans âme», disait l'écrivain Nigérian, Anthony Biakolo. Cette assertion cadre bien avec les motivations des organisateurs de la première «Journée Mondiale de la Culture Africaine & Afro descendante » (JMCA) prévue le 24 janvier 2018 à Bamako (Mali).
Précisément parce qu'elle ne sert à rien, et qu'elle constitue l'expression d'une pensée pure, non calculante, en lutte avec la matière. Il faut donc distinguer l'utilité (qui concerne les objets d'usage), et la fonction, la finalité : l'art tend vers quelque chose, il est ek-statique.
L'homme est donc destiné à vivre dans la société. Un être humain ne peut pas vivre naturellement en dehors de la société. Selon Aristote, il est possible de voir un homme vivre hors de la cité par le hasard des circonstances, pour des raisons circonstancielles.
La nature désigne ce qui est inné chez l'être ; la culture désigne par contre tout ce qui est fabriqué. On peut par conséquent dire que la culture comprend tout ce qui s'ajoute à la nature. Herskovits écrit à ce propos la culture est « tout ce qui dans le milieu est dû à l'homme ».