Les traitements laser (iridotomie), ainsi que le traitement par collyre (gouttes ophtalmiques), sont des solutions qui permettent de ralentir efficacement la progression du glaucome.
Il existe plusieurs traitements du glaucome : collyre, laser, chirurgie... Ils ont pour but de protéger le nerf optique en réduisant la pression intra-oculaire. Ils permettent ainsi de limiter l'évolution de la maladie. Toutefois, s'il y a une perte d'acuité visuelle au moment du diagnostic, celle-ci est irréversible.
Quelques traitements naturels du glaucome
Le Ginkgo biloba est cette plante qui est réputée pour ses nombreuses vertus et qui peut agir sur la pression sanguine. En cas de glaucome, il est recommandé de prendre jusqu'à trois gélules tous les jours pour soigner un glaucome.
Le traitement.
Le plus souvent, lorsqu'il est diagnostiqué tôt et bien traité, le glaucome chronique n'évolue pas. La vision et le champ visuel restent stables. La stabilisation se fait en abaissant la pression intraoculaire. Pour ce faire, des gouttes doivent être instillées tous les jours dans l'œil.
Le traitement du glaucome consiste, principalement, à diminuer la pression intra-oculaire. Les différents traitements qui existent pour diminuer la pression intra-oculaire sont les collyres hypotonisants, le laser et la chirurgie. Aucun de ces traitements ne permet de régénérer le nerf optique.
Bannir les aliments très riches en oméga-6 comme le tournesol, certaines céréales, viandes ou charcuteries, ainsi que les produits industriels, mauvais pour la vue. Leurs acides gras saturés détériorent le réseau de vaisseaux sanguins nécessaires à l'irrigation des tissus oculaires.
Le stress peut entraîner une augmentation de la pression artérielle, ce qui peut augmenter la pression oculaire.
La seule action efficace connue sur l'évolution du glaucome est l'abaissement de la pression intraoculaire. On n'obtient pas de guérison de la maladie, mais une stabilisation qui nécessite une prise en charge à vie du patient.
Les collyres bêtabloquants agissent en diminuant la sécrétion de l'humeur aqueuse. Ils sont très souvent prescrits en premier lieu dans le glaucome en raison de leur efficacité et de leurs faibles risques.
Lorsque le glaucome est très évolué, et que le champ de vision réduit, il est fréquent que le patient se plaigne d'une fatigue oculaire ou d'une maladresse visuelle, qui se manifestent en cas d'attention soutenue, mais ces symptômes s'atténuent généralement au repos.
« Le seul traitement actuellement disponible est l'instillation de gouttes qui diminuent la pression oculaire et freinent la dégénérescence des neurones ganglionnaires. »
Le traitement consistera en l'administration quotidienne d'un collyre, généralement à vie. Ces hypotenseurs oculaires ont pour but de diminuer la production de l'humeur aqueuse ou d'augmenter son drainage.
Placez-vous au-dessus d'un lavabo rempli d'eau fraîche (qui va servir à asperger les yeux). Expirez, prenez dans la bouche une grande gorgée d'eau. Et gardez-la. Inspirez profondément puis, à tour de rôle, la main droite et la main gauche vont chercher de l'eau et en asperger chaque œil une dizaine de fois.
Que votre vision diminue progressivement ou que votre vue devienne floue du jour au lendemain, différentes causes sont à l'origine de la perte de la capacité d'accommodation. Certaines d'entre elles ne sont pas préoccupantes mais d'autres nécessitent une action immédiate.
Le glaucome est une maladie oculaire potentiellement grave, caractérisée par une atteinte du nerf optique et des cellules nerveuses le constituant. Des altérations du champ visuel, d'abord en périphérie puis se rapprochant vers le centre de la vision, s'associent à cette atteinte du nerf optique.
A quoi est dû le glaucome ? Le glaucome est dû à une montée de la pression oculaire dans l'œil. Cette augmentation de la pression est le résultat d'une obstruction du filtre d'évacuation du liquide intraoculaire (ou humeur aqueuse).
En moyenne, on considère que la pression oculaire est dans la norme lorsqu'elle se situe entre 10 et 20 mmHg. Cependant cette norme peut différer selon l'âge du sujet, la luminosité ou encore selon les heures du jour ou de la nuit. Au-delà de 21 mmHg, il y a hypertonie oculaire.
Le suivi médical régulier et un traitement bien observé sont indispensables pour éviter l'aggravation du glaucome. La déficience visuelle générée par le glaucome peut retentir sur les activités quotidiennes. Le glaucome lui-même n'impose pas de contraintes particulières, sauf d'éviter les chocs au niveau des yeux.
L'effet optimal est obtenu quand MONOPROST est administré le soir. La posologie de MONOPROST ne doit pas dépasser 1 instillation par jour, en effet, il a été montré qu'une fréquence d'administration supérieure diminue l'effet hypotenseur sur la pression intraoculaire.
Cette vitamine B3 protège effectivement contre le glaucome, lorsqu'elle est donnée en prévention (6 mois) ou en thérapie (après l'hypertonie oculaire, pendant 3 mois).
douleurs au niveau des yeux ; brouillard visuel intermittent ; baisse de la vision, notamment sur les côtés. La vision centrale est normale, mais elle est perturbée tout autour, comme si on regardait dans un tunnel.
Le traitement du glaucome chronique repose habituellement sur l'administration régulière de collyres. Les collyres agissent en diminuant la production d'humeur aqueuse ou en augmentant son élimination par le trabéculum.
Pourquoi et quand faut-il opérer un glaucome ? Le traitement chirurgical est indiqué quand, malgré le traitement médical maximum, et éventuellement le laser, le champ visuel se dégrade à une vitesse telle qu'elle fait craindre la survenue ou l'aggravation d'un handicap visuel.
Se frotter les yeux, passer du temps devant les écrans, ou encore sortir se promener sans lunettes de soleil sont des mauvaises habitudes qu'on fait tous plus ou moins ! Certaines d'entre elles peuvent participer à la fatigue des yeux ou encore représenter un danger pour eux.
Les causes sont multiples, infectieuses ou dysimmunes. Elle peut rester isolée mais également être le mode d'entrée dans une maladie neurologique chronique telle que la sclérose en plaques ou d'autres pathologies inflammatoires du système nerveux central telles que la neuromyélite optique.