Courir très vite sur de courtes distances permet d'améliorer sa vitesse et les exercices de sprint seront d'une grande aide. Courez aussi vite que vous le pourrez sur 20 ou 30 mètres. Assurez-vous que vos bras bougent de manière fluide et détendue durant l'exercice.
Le joueur se met de coté, il doit passer l'échelle de rythme latéralement en faisant des genoux poitrine (chaque pied doit passer dans chaque espacement) puis sprint sur 10 m. Faire 5 séries par coté.
Pour gagner en vitesse, faites des exercices de musculation ou de fractionné. Pensez aux courses de cotes. Plus que briser la routine, elles vous feront progresser pour votre retour sur plat. Votre organisme sera alors plus à même de supporter une charge de travail supérieure et vous pourrez gagner en rapidité.
La vitesse est un facteur important au football en sachant qu'il existe la vitesse de réaction, la vitesse gestuelle et la fréquence gestuelle. Elle doit se travailler durant toute la saison mais il ne faut pas débuter la préparation estivale par ce type de travail.
Faites un entrainement par intervalles
Même si les joueurs de football parcourent en moyenne 10 kilomètres par match, ils ne courent pas au même rythme tout au long de la rencontre. Il s'agit plutôt d'une combinaison de sprints, de courses modérées, de marche et de rétropédalage.
Il est possible de travailler l'explosivité du bas du corps grâce aux flexions-extensions. Vous enchaînez un squat avec un saut le plus haut possible. Pour le haut du corps, réalisez des pompes sautées. Au moment où vous finissez votre pompe, avec les bras tendus, poussez pour taper dans vos mains et recommencez.
Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
Un travail d'explosivité, de pliométrie, de fréquence, de gainage, de motricité, de proprioception ou encore de souplesse active permettra également d'améliorer la vivacité des joueurs.. Il est également très important de travailler la technique de course, avec des gammes athlétiques par exemple, chez les jeunes.
Marca a publié les résultats d'une étude démontrant le classement des joueurs les plus rapides du FC Barcelone cette saison. Et c'est Neymar qui remporte cette course avec une vitesse de pointe de 34,83 km/h.
Connu pour sa redoutable pointe de vitesse, Kylian Mbappé est le joueur le plus rapide de ce début de saison, selon des données fournies par la Ligue 1. L'attaquant du PSG a été flashé à 36 km/h.
Le travail de la vitesse et de l'explosivité du footballeur par le biais de la musculation représente un entraînement spécifique qui se divise en deux types de musculation : d'abord la musculation avec charges des membres inférieurs, puis la musculation dynamique ou la pliométrie dont le but consiste à mobiliser ses ...
Kylian Mbappé prend la pôle position ! Flashé à 36 km/h, le numéro 7 du Paris Saint-Germain, connu pour ses qualités de vitesse, est le joueur qui a réalisé la course la plus rapide cette saison sur les huit premières journées de Ligue 1 Uber Eats.
Cristiano Ronaldo, Achraf Hakimi, Alphonso Davies ou encore Arjen Robben ont atteint des vitesses folles ces dernières années. On retrouve aussi dans ce Top 10, Dimitri Oberlin et Youcef Atal, qui étaient déjà présents l'an passé.
S'il ne s'agit pas d'une séance spécifique, le travail de vitesse est à privilégier plutôt en début de séance, après bien-sûr un échauffement adapté.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
Aller trop vite en footing est une des causes principales du « je ne progresse pas ». Car la différence entre l'endurance fondamentale et une allure plus rapide de 15 ou 30″/km est très importante ! En particulier pour les coureurs peu expérimentés en longue distance, ces allures vont générer une vraie fatigue.
Vous pouvez prendre une petite collation entre 45′ et 1h avant la séance selon votre faim. Ça peut simplement être une banane accompagnée de quelques oléagineux (amandes, noisettes…). Pour beaucoup, la banane se digère bien et est une bonne source d'énergie aussi proche d'une séance.
Un en-cas tel qu'une banane vous donnera l'énergie nécessaire pour courir et sera facile à digérer. Une poignée de fruits secs et de fruits à coque, une barre de granola, un yaourt aux fruits ou un cracker tartiné de beurre de noix feront également très bien l'affaire.
S'inscrire à une course le même jour ou démarrer une séance en même temps sont l'occasion de se booster mutuellement lorsque la motivation de l'un ou de l'autre varie. On échange, on partage ses sensations, avant et après la course ou l'entraînement, on s'encourage et on passe un bon moment ensemble.
Votre bras et votre poing doivent être détendus jusqu'au moment précédent l'impact. Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant. Combinez-les.
Alternez les deux jambes. Cet exercice sollicite intensément tous les muscles du bas du corps qui participent à la foulée : les mollets, les quadriceps, les ischio-jambiers et les fessiers. Il augmente leur force et leur résistance. C'est idéal pour réussir les sprints et les changements de direction.