Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Les trois éléments caractéristiques sont : Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail)
Vous pouvez aller chez votre médecin habituel ou directement chez un psychiatre qui sera plus familiarisé avec les différents troubles psychiques. Le psychiatre pourra évaluer vos symptômes, éventuellement les causes et vous proposez un traitement adapté.
L'individu qui en souffre perd contact avec ses désirs, ses goûts, ses affinités. Il se sent vidé de son énergie et a l'impression de mener une vie routinière, monotone et solitaire. L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être.
Somatiser désigne un phénomène inconscient par lequel une personne exprime son angoisse dans et par son corps. Sa souffrance psychologique « déménage » dans son corps qui devient alors source de douleur.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Commencez par ne rien faire ! Il ne s'agit pas de demeurer dans une attente passive et dépressive, mais d'exercer sa réceptivité. D'accueillir le monde, de l'observer, de le goûter… Ce temps de contemplation et d'ouverture à ses sensations est absolument nécessaire pour retrouver le contact avec soi-même.
Les maux de tête peuvent être déclenchés par divers facteurs. Le stress ou des tensions prolongées en sont les causes les plus fréquentes. Il s'agit alors d'un ecéphalée par tension nerveuse ou d'une céphalée en casque. Presque toutes les personnes en sont victimes à un moment ou à un autre.
La souffrance psychique est avant tout un vécu : la personne ressent diverses formes de souffrance. Celles-ci se vivent avec plus ou moins d'intensité. Parfois, ce vécu est de l'ordre du diffus. Il est alors difficile à vivre, car ardu de mettre le doigt dessus pour l'arrêter.
« Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur ! » « Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. » « Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement. » « Quand la vie te donne une centaine de raisons de pleurer, montre-lui que tu en as mille de sourires. »
Quand rien ne va dans sa vie, la dernière solution pour changer d'attitude, rester de bonne humeur ou prendre une vision plus positive sur sa journée est de changer d'air. Si tu travailles avec des personnes négatives, pense à appeler une personne positive de ta famille ou dans tes amis pour te remonter le moral.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Ces stratégies pourraient être : écouter un CD, lire un livre, faire du sport, faire une promenade, prendre un bain de soleil ou de luminothérapie, appeler une amie, faire du Yoga, prendre un bain… Chaque personne est différente et a ses préférences. Vous pouvez alors vous créer vos stratégies individuelles.
Pratiquer un sport régulièrement fait aussi partie de l'"arsenal" du bien-être. Comme le rire, cela favorise la sécrétion de l'hormone du plaisir. Des chercheurs américains ont même montré que la course à pied avait, chez les personnes déprimées, autant d'effet que les médicaments.