Il faut simplement agir avec aplomb, mais avec respect et bienveillance pour leur dire la vérité. “Je viens dès que de je peux et tu sais que si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis là”. “Tu sais que je t'ai toujours soutenu mais ne me demande pas des choses que je ne peux pas faire.
Exprimer sa souffrance à son frère ou à sa sœur
"Chaque membre de la fratrie a sa propre perception de ce qu'il s'est passé et ne veut pas en prendre la responsabilité", prévient l'experte. Chacun a donc sa propre vision de son enfance et ne se rend pas forcément compte du mal qu'il a pu faire à l'autre.
Que puis-je faire si je fais partie d'une famille toxique ? La première étape est de se rendre compte de la situation. Ensuite, il est plutôt important de rechercher un soutien psychologique, en particulier d'un psychologue spécialisé dans la thérapie systémique.
Commencez la conversation en disant quelque chose du genre : « J'ai décidé que ce serait mieux pour ma santé mentale si je ne passais plus de temps avec toi. » S'il se met en colère, vous pourriez lui dire quelque chose comme : « Je n'ai pas envie de discuter.
La jalousie de l'aîné peut apparaître ou réapparaître lorsque le bébé parvient à un nouveau stade de sa vie : quand il apprend à marcher et qu'il se met à l'interrompre dans son jeu, à casser ses jouets, à les éparpiller ou quand il apprend à parler et qu'il devient capable de défier son grand frère ou sa grande soeur.
Mettez de la distance.
Sans vous justifier ou vous perdre dans des explications, annoncez avec fermeté que vous avez besoin de prendre du recul. Si vous faites face à une personne toxique, donnez le moins d'informations possible - elles pourraient se retourner contre vous.
Imite sa voix. Chaque fois que ton frère parle, répète ce qu'il a dit, mais avec une voix aigüe de petite fille. Cela rend les petits frères furieux de génération en génération. C'est particulièrement efficace s'il est en train de te dire « Arrête ça ! », ou « Je vais tout dire aux parents ! »
Il vous rabaisse et vous accuse d'être la raison de votre mésentente. A ses côtés vous êtes vidée, vous vous sentez comme une moins que rien. Alors que vous essayez à chaque fois d'arranger les choses, rien n'y fait. Vous vous remettez sans cesse en question et commencez à croire que tout est vraiment de votre faute.
L'une des meilleures manières de prendre de la distance avec ce type de personnes est de définir ce que vous tolérez et ce que vous refusez. Qu'il s'agisse d'un partenaire, des membres de la famille, des collègues et des amis, la règle est valable pour tous. Vous devez apprendre à dire non et à vous faire respecter.
"Être une bonne mère, c'est être une mère suffisamment bonne”, disait Donald Winnicott, éminent pédiatre et psychanalyste anglais (1896-1971). Une mère sachant répondre aux besoins et désirs de son enfant, sans les ignorer... ni les devancer. Il faut le clamer haut et fort, la mère parfaite n'existe pas.
Rester calme tout au long de la séance et en maîtrise de ses émotions. Écouter le point de vue de l'autre sans l'interrompre. S'en tenir au sujet présent (un conflit à la fois) et ne pas revenir sur le passé. Suggérer autre chose lorsqu'on est en désaccord (il ne faut pas seulement refuser ce qui est proposé).
L'éloignement est souvent une façon productive de se défaire d'une relation toxique. Le fait que des gens soient liés sur le plan biologique ne garantit pas que leur relation en soit une d'amour et de soutien. Parfois, prendre de la distance est nécessaire pour la sécurité émotionnelle ou physique d'une personne.
Donnez-vous des limites et défendez-les.
Les personnes “trop gentilles” sont souvent la cible des personnes toxiques, car elles ne savent pas poser de limites aux autres. Il faut donc savoir poser les limites en s'affirmant avec force et fermeté, et de préférence AVANT que la limite soit atteinte.
Penser à autre chose ou se concentrer sur sa tâche actuelle pendant que votre conjoint continue sa litanie est une technique efficace. Cela permet de garder son calme en prenant une certaine distance émotionnelle par rapport à son attaque verbale.
Oui, il est possible de ne pas aimer son père et/ou sa mère. Ou plus exactement, il suffit parfois d'un événement, d'une blessure symbolique de trop, pour que, par désespoir, l'amour que l'on éprouve pour un parent, se transforme en haine.
Cette attitude a quelque chose de pathologique chez les parents. Elle est le fruit d'un moment douloureux de leur histoire intime. Il peut s'agir d'un secret de famille bien enfoui, une filiation douteuse par exemple." L'exclusion peut aussi être due à un mode de vie que la famille désapprouve.