Il faut du temps pour prendre suffisamment de recul et peser le pour et le contre. Essayez au mieux d'arriver à garder de bonnes relations avec vos deux familles car vos enfants ont besoin aussi de cet héritage, de connaître les personnes qui font partie de son histoire et de celle de ses parents.
Utilisez le principe du « merci positif ».
« Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
Travaillez différentes expressions feintes devant un miroir, jusqu'à les imiter parfaitement : compassion, admiration, tristesse, stupéfaction et la plus importante : l'innocence. En règle générale, soyez aussi fourbe, péremptoire, faux-cul et odieuse qu'elle, mais pas en présence d'éventuels témoins.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
Qu'il s'agisse de vous ou d'une autre, votre belle-mère trouverait toujours à redire. Soyez patiente et positive et laissez le temps agir et votre belle-mère s'habituer peu à peu à votre présence. Laissez glisser certaines remarques, choisissez vos batailles ! Tous les conflits n'en valent pas la peine.
Si vous envisagez de couper les ponts avec votre belle-famille, parlez-en à votre conjoint(e) et réfléchissez à la manière dont cela affectera les autres relations familiales. Si vous voulez toujours mettre fin à votre relation avec votre belle-famille, essayez de le faire sans provoquer de remords.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Elle est intrusive, manipulatrice, possessive, jalouse et parfois haineuse. Cette situation est particulièrement plus habituelle et prévisible entre une fille et sa belle-mère. Néanmoins, dans bien des cas, la belle-mère envahissante est la mère de la conjointe.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Constamment elle essaie de faire partie de votre vie mais ne tombe pas à pic. Résultat, elle se sent rejetée. La façon dont cela s'exprime: elle multiplie les arrivées improvisées, ne part pas quand elle tombe mal, se plaint d'être mal reçue, dit à votre chéri que vous n'êtes pas accueillante et que cela la peine.
Comportez-vous convenablement avec eux.
Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte. Lorsque vous êtes en leur présence, détendez-vous.
La clé pour ne plus laisser une mère intrusive prendre le contrôle de sa vie, c'est la confiance en soi. Ne plus douter, savoir ce qui bon pour soi et ce qui ne l'est pas, prendre le contrôle de sa vie, s'imposer en tant qu'adulte et ne plus accepter d'être toujours traitée comme son enfant.
Il faut faire attention et ne pas permettre certaines attitudes irrespectueuses. Si nous avons des reproches à faire, c'est à leur fils qu'il faut s'en plaindre. Lui seul, de part son attitude vous fera respecter par ses parents. Surtout pas de guerre ouverte !!!
Plus vous discutez ou vous opposez, plus vous alimentez un conflit présent ou sous-jacent. Il faut s'imposer, imposer ses choix, et prendre ses distances si besoin. Ne culpabilisez pas de ne pas prendre tous ses appels, ni de ne pas assister à toutes les réunions familiales. Surtout si elles vous pèsent.
Quelles distances garder avec sa belle-famille ? La distance que vous gardez avec vos beaux-parents, et notamment le fait d'employer le tutoiement ou vouvoiement, est à jauger selon votre ressenti. N'hésitez pas à en parler avec eux : pour être plus à l'aise, le mieux est souvent de leur poser directement la question.
Faites-le de façon claire et paisible, en lui parlant « au je », et en évitant de l'accuser de quoi que ce soit. Gardez toujours en tête qu'il aime ses parents et tentez de trouver un terrain d'entente raisonnable pour tous. Soyez patiente et conservez votre calme. Rien ne se règle dans l'adversité.
Cherchez à comprendre le valeurs et les manières différentes de concevoir les choses de votre belle-famille, vous ne pourrez qu'en sortir grandie. Si vous devez évidemment faire preuve d'adaptation et de souplesse, vous ne devez en aucun cas renier votre tempérament propre.
l'emmener et aller le chercher à l'école ; signer son cahier de correspondance et son livret scolaire ; l'inscrire à une activité sportive ; l'accompagner chez le médecin.
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
Une des premières causes des difficultés à vivre dans les familles recomposées est le nombre exponentiel de variables par rapport à une famille « traditionnelle ». Cela ne veut pas dire que cela ne peut pas bien fonctionner, ou que les membres d'un foyer recomposé ne peuvent pas être heureux.