La plupart des disjoncteurs ont une étiquette avec un code de 7 ou 8 chiffres ainsi que la lettre correspondant au numéro de catalogue (ex. BAB1060). Le code est spécifique pour chaque disjoncteur et permet de l'identifier instantanément.
Il existe 3 types de disjoncteur : le disjoncteur général ou de branchement ; les disjoncteurs divisionnaires ; les disjoncteurs différentiels.
Le Q est la lettre pour repérer les disjoncteurs d'un schéma électrique unifilaire. C'est aussi le cas pour un sectionneur.
Les fils électriques répondent à un code de couleur : les fils de phase : en rouge ; les fils du neutre : en bleu ; les fils de terre : en jaune et vert.
Une inversion phase neutre en amont du disjoncteur général entraîne l'absence de protection sur l'ensemble des conducteurs de phase de votre installation électrique. Le neutre se retrouve protégé à la place de la phase car la protection des disjoncteurs est unipolaire même si leur coupure se fait de manière bipolaire.
Ces fils de la même couleur permettront de relier les deux interrupteurs. Lorsque l'on installe un interrupteur, il est obligatoire de brancher 4 fils. Cette norme bien connue des professionnels de l'électricité vous assure une installation sécurisée et parfaitement fonctionnelle.
Les différentes catégories de disjoncteurs
Il y a trois grandes catégories : le boîtier de branchement, le divisionnaire et le différentiel.
Plus la puissance sur le circuit est élevée, plus le calibre le sera également. La norme NF C 15100 préconise un certain calibrage selon les installations. Pour les circuits spéciaux, par exemple lave-vaisselle, four électrique, le calibre du disjoncteur fera 20 A et 32A pour une plaque de cuisson.
En effet, les deux appareils sont d'apparence similaire, toutefois l'interrupteur différentiel est facilement identifiable grâce à son bouton-test, ainsi qu'aux valeurs affichées indiquées en milliampères (mA), dont la sensibilité notée IΔn, est souvent toujours inférieure à 500 mA tandis que le calibre d'un ...
Type AC : pour les prises de courants, les éclairages, le four, le réfrigérateur, etc. Type A : pour les plaques de cuisson, le lave-linge et la prise de recharge pour véhicule électrique ; Type F : pour les appareils sensibles aux microcoupures, comme le matériel informatique, le congélateur ou les alarmes.
Le disjoncteur général est le premier représentant de la grande famille des disjoncteurs dont le but est de couper de manière automatique ou manuelle l'alimentation en électricité d'une installation, d'un groupe de circuits ou d'un circuit.
Le calibre (exprimé en ampères) correspond à l'intensité de déclenchement du disjoncteur différentiel (le C avant le chiffre correspond à la courbe de déclenchement). Le calibre est déterminé par le type de circuit et la puissance consommée.
Q1 : Interrupteur-sectionneur, il transmet l'énergie électrique et assure la séparation et l'isolation de l'installation du réseau (cas d'intervention pour un dépannage), 1/2 - 3/4 - 5/6 : contacts principaux du circuit de puissance appelés pôles de puissance.
L'interrupteur différentiel 30 mA protège les personnes
Au-delà de cette intensité, un choc électrique peut donner lieu à des brûlures superficielles, des palpitations cardiaques, ou encore mettre en danger la vie.
Le rôle d'un disjoncteur différentiel est le même que celui d'un interrupteur différentiel, sauf que ce dernier protège également les équipements électriques d'une habitation, en plus des personnes les utilisant.
Reconnaître une prise 32 A.
Contrairement aux prises classiques, elle ne sera pas composée de deux orifices avec une broche de terre. Elle pourra cependant se retrouver chez nous sous deux formats différents : Sous la forme d'un bornier à 3 fils de 6 mm² caché derrière une plaque de sortie de câble.
Pour un disjoncteur courbe C, le seuil de déclenchement magnétique équivaut à 5 à 10 In. Exemple : Pour un disjoncteur C10 (intensité nominale = 10A), le seuil magnétique se situe entre 50 et 100 ampères. Le disjoncteur courbe C est le plus couramment utilisé dans le secteur résidentiel.
Lorsque l'on regarde les courbes de déclenchement B et C, pour un même courant assigné (In), la partie thermique (surcharge) de la courbe est identique tandis que la partie magnétique (court-circuit) est de 3 à 5 In pour la B et de 5 à 10 In pour la C.
Par conception, le DDR détecte le courant qui s'établit vers la terre en aval de son point d'installation, notamment lors d'un défaut d'isolement affectant un appareil. Le bon fonctionnement implique donc la mise à la terre des masses.
Le rôle du disjoncteur électrique
Quand tout se passe bien, le courant passe par le disjoncteur sans être interrompu. Si un court-circuit se produit, une bobine détecte la surintensité et crée un champ magnétique qui ouvre les contacts du disjoncteur. Le disjoncteur protège aussi contre les surcharges.
Le fil noir est le fil positif, le blanc, le négatif et le vert est la terre X Source de recherche . Le fil qui relie les appareils à la terre peut être couleur cuivre au lieu de vert.
Câble rouge : il relie l'interrupteur 1 à l'alimentation générale de l'installation (en principe, le disjoncteur central). Câble bleu : le « neutre », à raccorder à gauche à l'interrupteur 1 (emplacement prévu à cet effet). Câble vert/jaune : la « terre », à relier aux masses métalliques du point d'éclairage.
La couleur du fil neutre est le bleu. Son rôle est de répartir le courant, de mesurer la consommation et également de déclencher le disjoncteur en cas de besoin. Le fil rouge, marron ou noir correspond au conducteur de phase. En clair, c'est par ce câble électrique que le courant arrive.
La phase (borne L), généralement de couleur rouge (elle peut être aussi marron ou noire), doit être reliée à la borne phase du disjoncteur. Le neutre (borne N), toujours de couleur bleue, se relie à la borne neutre du disjoncteur.