Contrairement aux cauchemars qui résultent d'une anxiété passagère, les terreurs nocturnes sont plus graves et peuvent cacher une angoisse véritable. Survenant généralement au début de la nuit, elles peuvent être particulièrement impressionnantes.
Les solutions face aux terreurs nocturnes des enfants
Parlez-lui en essayant de le calmer mais évitez de le toucher s'il vous rejette. Si les terreurs nocturnes sont dues à la fatigue, agissez en conséquence et couchez votre enfant plus tôt dans une atmosphère calme, ou faites-lui faire des siestes.
Chez l'adulte, les terreurs nocturnes sont plus rares et il vaut mieux consulter un neurologue spécialiste des troubles du sommeil afin d'éliminer d'autres pathologies.
Le premier cauchemar peut se produire vers 2 ans mais parfois plus tard. Les terreurs nocturnes peuvent commencer vers 4 ou 5 ans mais perdurer jusqu'à environ 12 ans. Votre enfant peut se réveiller en pleurs et terrorisé à cause du cauchemar.
Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil qui touche environ 6 % des enfants âgés entre 18 mois et 4 ans, en général. Dans certains cas, elles peuvent perdurer jusqu'à l'adolescence, voire l'âge adulte (plus rare).
Reflux, poussée dentaire, otite… Dans 20 % des cas, les réveils multiples sont liés à une cause organique qui empêche l'enfant de bien dormir. Toutefois, la plupart du temps, il s'agit de problèmes comportementaux. Comme les adultes, les enfants se réveillent plusieurs fois pendant la nuit.
Généralement, les pleurs de bébé indiquent que celui-ci a peur ou est angoissé. Il peut s'agir soit de terreur nocturne soit d'un cauchemar. Les terreurs nocturnes concernent uniquement les bébés ayant plus de 2 mois et interviennent en toute première partie de la nuit. Ce dernier crie et hurle : il semble terrifié.
La paralysie du sommeil génère des symptômes d'angoisse, de peurs, du même ordre que ceux des terreurs nocturnes, mais il existe en plus des phénomènes hallucinatoires connexes non décrits dans les terreurs nocturnes (du fait de l'amnésie de ces dernières).
Mettez à sa disposition des objets qu'il peut utiliser quand il a peur, comme une petite veilleuse, une lampe de poche qu'il peut garder dans son lit ou encore un toutou rassurant. Apprenez-lui à respirer profondément quand il commence à avoir peur. Ne proposez pas à votre enfant de chasser le monstre de sa chambre.
Ce peut être parce qu'il a trop froid ou trop chaud, faim, parce que sa couche est sale, parce qu'il est trop fatigué et a besoin de dormir alors qu'il se trouve dans un environnement bruyant…
Les terreurs nocturnes sont dues à un bref réveil lors de la phase de sommeil lent et profond. L'enfant crie, ne vous reconnaît pas, est agité, transpire, peut prononcer des paroles incohérentes… L'épisode, généralement unique, a un début très brutal et peut durer en général de 1 à 30 minutes.
Des pleurs excessifs, qui surviennent le plus souvent en fin de journée et en début de nuit, sont souvent dus à la colique du nourrisson. Les pleurs sont intenses, le bébé est agité. Les coliques sont difficiles à calmer, s'arrêtent spontanément sans raison. Les causes ne sont pas connues avec précision.
C'est en général une phase qui ne dure pas si les parents ne sont pas trop complaisants, mais qui en même temps que de la fermeté réclame un peu de compréhension et de tendresse. Il vous faut d'une part le rassurer, et en même temps ne pas le laisser envahir votre soirée et votre nuit.
Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant. Bien qu'elle prenne souvent les parents au dépourvu, cette période constitue une étape importante dans le développement psycho-affectif de l'enfant.
Les pleurs de décharge sont des pleurs intenses, difficiles à calmer, qui surviennent plutôt le soir, généralement autour de 18 heures. Ces pleurs apparaissent entre la naissance jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois environ, avec un pic généralement compris autour de 6 à 8 semaines.
À cet âge-là (8-10 mois) il est classique de remarquer dans le développement de l'enfant une angoisse de séparation qui est souvent à mettre en lien avec des difficultés d'endormissement. Lisez mpedia. L'enfant devient conscient de son individualité par rapport à sa maman et quand il ne la voit pas il perd un peu pied.
Vers 2 ans, l'enfant prend conscience qu'aller se coucher correspond à un moment de séparation d'avec ses parents. La peur du « noir » va alors se développer. Elle correspond en fait à la peur d'être seul, « abandonné », livré à lui-même avec son imaginaire. C'est en effet la période où l'imaginaire se met en place.
Ainsi, l'enfant a peur du noir parce qu'il est seul dans sa chambre, sans ses parents. Mais cette peur peut aussi être la réaction d'un enfant qui a envie de passer plus de temps avec ses parents.
Peut être utilisé dès lors que l'alimentation est diversifiée. Agiter avant emploi. Avant 5 ans : 1 cuillère à café avant le coucher. Après 5 ans : 2 cuillères à café avant le coucher.
C'est un songe durant lequel la personne qui éprouve le rêve à bien conscience d'être en train de rêver, avec un sentiment de contrôle très fort sur le déroulement du rêve.
La cataplexie est la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. Les personnes narcoleptiques ressentent également parfois des hallucinations ou des paralysies du sommeil de quelques secondes, au réveil ou en s'endormant.
Certaines personnes qui vivent une paralysie du sommeil évoquent également : une sensation d'étouffement ; la présence menaçante d'une personne : ce ne sont que des hallucinations visuelles ou auditives.