Le nom Yehoshua a la forme d'une contraction de « Yeho- » et de « shua » : Yeho, יְהוֹ est une autre forme de יָהו, Yahu, un élément théophore qui représente le nom de Dieu יהוה (le tétragramme YHWH, parfois transcrit Yahweh ou Jéhovah), et שׁוּעַ, shua' est un nom signifiant « un cri à l'aide », c'est-à-dire un cri ...
Ce nom est cher aux chrétiens. Jésus-Christ est lui-même appelé Seigneur (Kurios), plus de cent fois dans le Nouveau Testament. Et ce titre n'est pas employé du Christ dans un sens humain. En fait, celui qui est le Seigneur de tous, s'est fait le serviteur des humains (Phil.
Rédigés en grec, ces récits bibliques s'attachent à citer le Christ dans sa langue, comme lorsqu'il lance du haut de sa croix: "Eloï, Eloï, lama sabachthani ?" ("Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?").
Dans la Bible Jésus, qui l'appelle "Père" lui-même, enseigne de commencer la prière par "Notre-Père".
Seigneur, Élohim, Yahvé, Shaddaï… Autant de noms donnés à Dieu dans l'Ancien Testament.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C'est par suite d'une vocalisation factice que naquit " le vocable hybride Jéhovah ".
La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
Ce que confirme encore la mention de ses deux fils Ephraïm et Manassé, déjà mentionnés dans la Bible et cités par Jacobovici et Wilson comme les enfants de Jésus et Marie-Madeleine.
Pour les chrétiens, c'est un mystère : le mystère de la Trinité. Dieu est unique et, pourtant, il est trois personnes : le Père, le Fils (Jésus) et le Saint-Esprit. Quand Jésus prie Dieu, il ne se parle pas à lui-même ! La prière de Jésus nous apprend à parler à Dieu comme à notre Père.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Jésus, initiateur du mouvement religieux à l'origine du christianisme, est le personnage principal des quatre Évangiles, qui lui attribuent le titre de Christ – Messie consacré par l'onction de Dieu – et le désignent comme celui qui « sauvera son peuple de ses péchés ».
La foi chrétienne proclame que Jésus est le Fils de Dieu. Mais l'histoire montre, apparemment, que Jésus n'a pas eu la préoccupation de s'affirmer tel. Bien plus, à ses origines, la prédication chrétienne paraît négliger, au profit d'autres insistances, cette affirmation de foi à nos yeux si centrale.
Si de nombreuses incertitudes entourent le Jésus « historique », les textes les plus anciens indiquent qu'il avait des frères et des sœurs. Le Nouveau Testament en dénombre six au minimum : Jacques, Joset, Jude et Simon ; les sœurs, si elles sont mentionnées, ne sont jamais nommées.
Le nom « Dieu le Père » est donc considéré par les chrétiens non pas comme l'existence d'un Dieu différent des autres, mais comme l'une des personnes de Dieu. D'ailleurs, l'Évangile nomme Dieu le Père uniquement par « Père » ; c'est la théologie qui, dans un but de simplification, affirme « Dieu le Père ».
Selon le Nouveau Testament, Joseph le charpentier est l'époux de Marie et le père adoptif de Jésus. Jésus est "né du Père et du Saint-Esprit".
De fait, l'Évangile de Philippe fait référence à Myriam de Magdala (Marie-Madeleine) et la présente comme la compagne de Jésus.
"La tradition de l'Eglise ne connaît aucune mention d'une femme de Jésus. Tous les indices historiques sont que Jésus était célibataire. Il est dit clairement que Pierre était marié.
Il exprime de manière déchirante la séparation entre Dieu et son Fils, Jésus de Nazareth, lui qui a revêtu pleinement notre humanité sans perdre sa divinité. Cette séparation est la mort spirituelle. Elle représente le salaire du péché payé par Jésus-Christ à notre place (A.
La généalogie de Matthieu serait davantage destinée aux Juifs afin de les convaincre que Jésus était bien le Messie attendu, le « fils de David », c'est-à-dire l'héritier légitime des rois de Juda. La généalogie de Matthieu implique le titre de Christ de Jésus, en tant que roi Oint du Seigneur.
34Swinburne parle de Dieu comme d'une personne sans corps, éternelle, libre, capable de tout faire, qui sait tout, est parfaitement bonne, est l'objet approprié de la louange et de l'obéissance humaines, créateur et celui qui soutient l'existence de l'univers.
Sans doute nous n'ignorons pas les consonnes, yod, hé, waw, hé, qui par leur assemblage composent le tétragramme divin : IHWH. Nous rencontrons même ces 4 consonnes pour désigner le dieu d'Israël, par opposition au dieu de Moab, Camos, sur la fameuse stèle de Mésa, qui date du milieu du ixe siècle avant notre ère1.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.