Dès qu'on dispose de l'intégrale de Lebesgue, on parle d'intégrabilité. Dans ce cadre, F:t→∫∞0sin2(x)(x+t)2dx,t∈R n'est pas "bien définie", alors que F:t→∫∞0sin2(x)(x+t)2dx,t∈R+ l'est (pour la première, il y a des problèmes de définition si t est strictement négatif ou nul).
Si la courbe passe au-dessus et en-dessous de l'axe des 𝑥 dans l'intervalle [ 𝑎 ; 𝑏 ] , alors son intégrale définie est la différence entre l'aire au-dessus de l'axe des 𝑥 et l'aire sous l'axe des 𝑥 , dans l'intervalle [ 𝑎 ; 𝑏 ] .
Pour montrer qu'une application est bien définie, il faut s'assurer que pour chaque antécédent x on définit bien une image unique y dans l'ensemble d'arrivée (d'où l'importance de l'ensemble d'arrivée). Ici c'est trivial, par définition de d, y=d(x,F) ne définit qu'une seule image pour x.
Comment justifier l'existence d'une intégrale ? L'existence d'une intégrale peut être justifiée à l'aide de plusieurs théorèmes mathématiques tels que le théorème de convergence monotone et le théorème de convergence dominée. Ces théorèmes garantissent l'existence de l'intégrale sous certaines conditions.
En terme de différentielle, on a la caractérisation suivante : Proposition : Soit f une fonction définie sur un ouvert U de Rn. R n . f est de classe C1 sur U si et seulement si f est différentiable sur U et si l'application x↦dfx x ↦ d f x est continue.
Une fonction numérique f dГune variable réelle définie sur un intervalle I est dite de classe 1 C si elle est dérivable sur cet intervalle et si sa dérivée 'f est continue sur cet intervalle. a) Si f et g sont deux fonctions de classe 1 C sur un intervalle I alors les fonctions f g et f g sont de classe 1 C sur I .
si la dérivée n-i`eme, notée f(n), est continue, alors on dit que f est de classe Cn. (5) Si f est de classe Cn pour tout n ∈ N, alors f est infiniment dérivable, on dit que f est de classe C∞.
Théorème (théorème fondamental du calcul intégral) : Si f est une fonction continue et positive sur [a,b] , alors la fonction F définie sur [a,b] par F(x)=∫xaf(t)dt F ( x ) = ∫ a x f ( t ) d t est dérivable sur [a,b] , et a pour dérivée f .
L'égalité reste vraie lorsque l'on additionne ou soustraie les deux membres par un même nombre. On ne peut pas additionner un seul des deux membres : 2x+2=6 ne donne pas le même résultat que 2x=6, mais il donne le même résultat que 2x+2-2=6-2.
Autrement dit, si une fonction est intégrable sur I=]a,b[ I = ] a , b [ , alors son intégrale sur I est convergente.
Une application ou fonction est un triplet f = (E, F, G) avec une relation binaire G ⊂ E × F, et qui vérifie que pour tout x de E il existe un unique y de F tel que le couple (x, y) appartienne à G. Exactement dans ce cas, une application fG donnée comme relation binaire G ⊂ E × F est dite bien définie.
Il existe au moins deux manières courantes de représenter une suite (un)n∈ : — soit comme une fonction de dans , c'est-à-dire de manière plane avec en abscisse et en ordonnée, — soit comme un ensemble de valeurs le long d'un axe.
f est définie si et seulement si l'expression située sous le radical est positive ou nulle. C'est à dire, ici, si et seulement si x − 1 ⩾ 0 x - 1\geqslant 0 x−1⩾0 donc x ⩾ 1 x\geqslant 1 x⩾1. L'intervalle est fermé en 1 car x peut prendre la valeur 1.
On retiendra qu'une intégrale peut être positive ou négative mais qu'une aire, elle, est toujours positive.
Une intégrale impropre est convergente si sa valeur est finie, dans le cas contraire elle est divergente.
Si f est une fonction à valeurs réelles, alors f + et f − sont intégrables sur I. Si f est une fonction à valeurs complexes, alors Re(f ) et Im(f ) sont intégrables sur I. 30.3 ➙ Si f est intégrable sur I, alors l'intégrale de f sur I est conver- gente.
Pour déterminer la solution de l'équation, il faut remplacer l'inconnue par chacune des valeurs proposées et voir celle pour laquelle l'égalité est vérifiée. Si la racine est la bonne alors nous obtiendrons la même valeur numérique dans chaque membre de l'équation.
Pour démontrer une inégalité, on peut s'appuyer sur une des inégalités déjà connues et appliquer des opérations qui conservent ou renversent l'inégalité. Pour tout x ∈ R, −1 ≤ sin( x ) ≤ 1 et −1 ≤ cos( x ) ≤ 1. Pour tout x ∈ R, e x > 0.
Si l'ensemble des atomes sont au même nombre dans les réactifs et dans les produits alors l'équation de réaction est équilibrée. Si l'ensemble des atomes ne sont pas au même nombre dans les réactifs et dans les produits alors il faut réaliser de nouveau l'étape 2 jusqu'à ce que l'ensemble de l'équation soit équilibrée.
La dérivabilité se démontre usuellement de deux façons : dans l'étude locale (c'est-à-dire en se plaçant dans un voisinage du point étudié), en utilisant directement la définition de l'existence du nombre dérivé à l'aide de limites.
Sa dérivée est égale à F′(x)=v′(x)f(v(x))−u′(x)f(u(x)), F ′ ( x ) = v ′ ( x ) f ( v ( x ) ) − u ′ ( x ) f ( u ( x ) ) , formule qui se démontre par application du théorème fondamental du calcul intégral et par composition.
Théorème de continuité sous l'intégrale: Soient I et J deux intervalles de R et f une fonction définie sur I × J vérifiant: 1. pour tout x ∈ I, la fonction t ↦→ f(x, t) est continue par morceaux sur J ; 2. pour tout t ∈ J, la fonction x ↦→ f(x, t) est continue sur I ; 3.
Un ensemble E est dit infini (au sens usuel) si, pour aucun entier naturel n, il n'existe de bijection de { 0, 1, … , n – 1 } (les entiers naturels strictement inférieurs à n) dans cet ensemble E.
Il est impossible de prouver l'existence d'un ensemble infini sans la supposer. Plus exactement, il est possible de définir une théorie des ensembles parfaitement cohérente qui affirmerait que tous les ensembles seraient finis.
On dit que f est indéfiniment dérivable si f est k-dérivable pour tout k. On dit que f est de classe Ck si f(k) existe et est continue.