Seule une petite partie des dépenses destinées aux troupes, à l'armement, aux munitions et à d'autres usages liés à la guerre était financée par l'impôt. Pour la plus grande part, les fonds provenaient d'emprunts contractés par le gouvernement auprès de la banque centrale.
Prise en compte des besoins en matières premières pour l'industrie de la défense et l'industrie civile dans son ensemble. Approvisionnement en carburant. Adaptation des transports aux nécessités militaires à venir. Adoption des dispositions nécessaires pour financer les dépenses de guerre directes ou indirectes.
Le financement de la Première Guerre mondiale en France désigne les différents moyens par lesquels l'État français a financé les dépenses publiques liées à la guerre de 1914-1918. L'État a principalement eu recours à l'impôt, à l'emprunt et à la création monétaire.
La banque J.P. Morgan est un des grands noms de la Haute Finance à qui on doit par exemple le déplacement du centre financier mondial de Londres à New York.
La France et le Royaume-Uni ripostent en menaçant de déclarer la guerre à l'Allemagne si celle-ci tente d'envahir la Pologne. Pour se protéger d'une intervention soviétique, Hitler signe le pacte germano-soviétique le 23 août 1939, qui prévoit le partage de la Pologne entre l'Allemagne et l'Union soviétique.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
A la fin janvier 1945, presque toute la Pologne dans ses frontières d'avant-guerre avait été libérée par les forces soviétiques. Après la capitulation de l'Allemagne, les troupes soviétiques occupèrent la majorité de l'Europe de l'Est, y compris la Pologne.
La guerre a coûté plus de 1500 milliards de dollars. Les économies européennes ont été ruinées et endettées. Des infrastructures comme les usines, les réseaux de transports, les hôtels, les champs de culture, les hôpitaux, ..., ont été détruites.
Pendant la guerre, les affaires continuent. Depuis l'offensive en Ukraine, le 24 février 2022, la Russie a vendu pour 63 milliards d'euros de gaz, de pétrole et de charbon dont 44 Mds à l'Europe !
La solution qu'il préconise, le « paiement différé », ressemble fort à un impôt mais avec la différence que, prélevé sur les revenus, il serait remboursable après la guerre. Les plus pauvres en seraient exonérés et bénéficieraient même d'un système d'« allocations familiales » plus généreux que celui alors en vigueur.
L'armée ukrainienne se trouve sous les ordres du ministre de la Défense, celui-ci gère le financement de l'armée (estimé à 9,9 milliards de hryvnia, soit 1,12 milliard d'euros en 2007), et la défense du territoire.
L'Allemagne est engagée dans la mission de dissuasion, ce qui suppose qu'elle ait des avions porteurs pour les bombes B-61. Il n'était pas possible de se tourner vers une solution européenne, comme le Rafale ou l'Eurofighter, parce que ces avions ne sont pas compatibles avec l'armement américain.
Ainsi, le manque de responsabilités de l'Allemagne se traduisent par son absence au Conseil Permanent de Sécurité de l'ONU, ainsi que son refus d'intervenir militairement à l'étranger unilatéralement.
La France contracta quatre grands emprunts nationaux, d'un montant total de 67 milliards de francs : le premier, qui fut lancé le 25 novembre 1915, rapporta 15 milliards de francs, et les trois suivants, émis en octobre 1916, 1917 et 1918, firent rentrer dans les caisses de l'Etat 11, 14 et 27 milliards.
Le marché du travail russe résiste
« De plus, la demande intérieure fait également preuve d'une certaine résilience grâce à la maîtrise de l'effet des sanctions sur le secteur financier intérieur et à un affaiblissement du marché du travail plus faible que prévu ».
Les importations de l'Union européenne rapportent environ 650 millions d'euros chaque jour à la Russie. Comme l'a dit le ministre chargé des affaires européennes français, Clément Beaune, l'Europe contribue au financement de la guerre russe.
Par ailleurs l'économie russe est très fragile parce que ses exportations sont peu diversifiées. Elle est fortement dépendante de l'exportation des hydrocarbures (gaz et produits pétroliers) qui représentaient en valeur 49,6 % du total des exportations russes en 2020, contre 62,1 % en 2019[15].
Seconde Guerre mondiale (1939-1945) : le conflit le plus meurtrier de l'histoire.
L'Allemagne a déposé les armes deux fois en raison des idéologies belligérantes, des conflits entre l'Union soviétique et ses alliés, ainsi que de l'héritage de la Première Guerre mondiale. Nous sommes en 1945. La victoire des Alliés semble de plus en plus évidente.
La seconde guerre mondiale a été la guerre la plus meurtrière de tous les temps puisque 50 millions d'hommes y trouvent la mort. L'URSS est le pays le plus touché puisque 20 millions d'hommes trouvent la mort et en relatif, la Pologne perd autour de 25% de sa population.
Les Soviétiques intervinrent car, selon eux, les populations ukrainiennes et biélorusses de Pologne étaient victimes de discrimination, bien que la raison officieuse était l'intention de Staline d'annexer des territoires polonais et ainsi d'agrandir l'URSS.
L'invasion de la Pologne par l'Union soviétique le 17 septembre 1939 intervient à la suite du pacte germano-soviétique. Pour les soviétiques, les raisons sont la discrimination des populations ukrainiennes et biélorusses, même si le réel objectif de Staline est d'agrandir l'U.R.S.S.
Adolf Hitler voulait récupérer des territoires retirés à l'Allemagne à la fin de la Première Guerre mondiale (Prusse-Occidentale…) et passés sous le contrôle polonais. De nombreux Allemands vivaient en Pologne. Les nazis justifiaient ainsi leurs conquêtes par leur volonté d'agrandir leur « espace vital ».
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.