Le beurre cru est caractérisé par un goût de noisette. Il est issu d'une crème n'ayant subi aucun traitement thermique, hormis la réfrigération du lait (4°C) après la traite en vue de sa conservation. Sa date limite de consommation (DLC) est de 21 jours.
Cinq astuces vous permettront de reconnaître un beurre de qualité premium : Son odeur est légère et se rapproche de celle du cacao ou du café. Il n'est jamais blanc mais a une couleur qui varie en fonction du pays d'origine de l'amande (la couleur la plus fréquente étant le jaune clair).
Le beurre cru doux ou demi-sel de la ferme de la Charmille (4,20€ les 250 g) se caractérise certes par un joli dessin de vache sur son dessus, mais surtout par son puissant goût fermier. Un retour aux sources. « Beurrologue » en chef, Jean-Yves Bordier a développé une dizaine de recettes de beurre de baratte (env.
Le beurre cru
Il est réalisé à partir de crème crue (donc non pasteurisée). C'est un beurre souvent riche en goût mais très fragile qui ne va pas se conserver très longtemps et donc rare à trouver (la mention « crue » est alors obligatoire sur l'étiquetage).
Beurre cru ou beurre baratté : Obtenu exclusivement à partir de crème crue, non pasteurisée, il est fragile et ne se conserve pas longtemps. C'est le beurre le plus riche en goût.
Le beurre cru est obtenu à partir de crème n'ayant subi aucun traitement thermique, hormis la réfrigération du lait à 4 °C après la traite, en vue de sa conservation.
Optez pour du beurre cru, qui est issu d'une crème qui n'a pas été pasteurisée. Plus riche en goût, il est cependant plus fragile et se conserve maximum 3 semaines. Privilégiez le beurre biologique, qui provient d'un lait qui ne contient pas (ou peu) de résidus de pesticides et d'antibiotiques.
Le beurre contient aussi de la vitamine D qui favorise l'assimilation et la fixation du calcium sur les os. Cependant les vitamines sont dégradées lors de la cuisson. L'idéal est donc de le consommer cru, fondu sur les aliments ou dans des préparations (pâtisserie).
Le beurre d'érable
Sans matière grasse, ni produits laitiers, le beurre d'érable est riche en sels minéraux, en potassium et en magnésium et constitue une véritable alternative au beurre, saine et gourmande.
Si le beurre n'est pas cru, c'est qu'il a été fabriqué à base de crème pasteurisée (chauffée à 90 degrés pendant 15 à 20 secondes pour en éliminer les éléments pathogènes). Lorsque la crème est pasteurisée, elle ne peut pas maturer de façon spontanée, on l'ensemence donc ensuite avec des ferments lactiques.
Le lavage du beurre permet de retirer tous les résidus de babeurre ainsi que le petit goût acide de la crème tournée. De plus, un bon le lavage favorise une meilleure conservation du beurre.
Les beurres industriels ne sont pas fabriqués dans des barattes mais dans des “butyrates”, une sorte de gros tuyau. On dit que le beurre est fabriqué en continu. La crème entre d'un côté du tuyau et ressort en beurre de l'autre, en une heure, sans maturation, ni intervention d'un maître beurrier.
Pour la cuisson, il faut privilégier le ghee (ou beurre clarifié) qui ne noircit pas à haute température et peut monter à 252°C !
Le beurre, néfaste quand il est trop cuit
Il subit ce que l'on appelle la réaction de Maillard. En effet, à température élevée, celui-ci subit une dégradation thermique complexe entre protéines (plus précisément acides aminés) et sucre. Résultat ? Il brunit donc, et devient toxique pour la santé.
Leur conclusion : si le beurre augmente bien le taux de cholestérol sanguin, en raison de sa teneur élevée en acides gras saturés, il n'induit pas d'effets délétères. En ingérer à dose raisonnable (10-12 g/jour, soit une cuillérée à soupe) est donc sans danger pour le cœur et les artères.
Quand il est périmé, le beurre devient plus jaune, son goût est plus fort et il sent mauvais. Si vous remarquez l'un ou plusieurs de ces aspects, c'est le signe que vous devez le jeter à la poubelle. Si ce n'est pas le cas, vous pouvez le consommer jusqu'à deux semaines après sa date.
Matière grasse par excellence, le beurre peut en contenir pas moins de 80 % contre 16 % d'eau : c'est le cas du beurre gastronomique, particulièrement crémeux et aliment prisé des professionnels de la cuisine.
Pour les personnes souhaitant utiliser une matière grasse à tartiner tout en prenant soin de leur taux de cholestérol, la margarine peut être consommée." Certaines margarines sont également enrichies en phytostérols : des lipides végétaux reconnus pour favoriser la régulation du mauvais cholestérol (LDL).
Le beurre de baratte est une appellation qui permet de préciser que le beurre est issu d'une crème maturée et barattée à l'ancienne, donnant un produit d'une qualité supérieure et plus riche en saveurs.
Si vous mangez déjà sainement, alors tâchez de consommer des aliments dont la densité en nutriments utiles au foie est importante : les graisses comme le beurre de lait cru qui contient de la vitamine A et E, mais aussi du calcium, du jaune d'œuf pour son cholestérol et du consommé de bœuf (ou du bouillon d'os) pour la ...
Deux cuillères à soupe de beurre représentent une source de vitamine A. Cette dernière est l'une des vitamines les plus polyvalentes, jouant un rôle dans plusieurs fonctions de l'organisme. Entre autres, elle favorise la croissance des os et des dents, maintient la peau en santé et protège contre les infections.
Les purées d'amandes, de noisettes ou encore de sésame sont idéales pour remplacer le beurre sur les tartines du matin ou dans les gâteaux.