La révolte de Palestine est un soulèvement qui se déroule de mai à août 1834 à la suite de la première guerre égypto-ottomane (1831-1833), alors que la Syrie ottomane est temporairement détachée de l'Empire ottoman et placée sous la tutelle de Méhémet Ali, pacha d'Égypte, devenu pratiquement indépendant.
La révolte arabe casse l'unité du monde sunnite. Pour la première fois, des musulmans prennent les armes contre l'Empire ottoman au nom du respect de l'orthodoxie sunnite. La révolte marque aussi une dégradation sensible de l'alliance germano-ottomane.
Au début du XIXe siècle, l'Empire Ottoman a perdu des territoires immenses au profit des puissances européennes et ne contrôle plus que l'actuelle Turquie, la Syrie, le Liban, la Palestine, l'Irak, la Jordanie, l'Arménie, le Kurdistan et une partie du Yémen et de l'Arabie Saoudite.
Les intrigues politiques au sein du sultanat, l'avènement de la puissance européenne, la concurrence économique introduite par l'apparition de nouvelles routes commerciales et les prémices de la révolution industrielle sont autant de facteurs qui contribuèrent à déstabiliser cet empire autrefois sans égal.
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
En 2022, l'UE a alloué pour plus de € 26,5 millions d'aide humanitaire aux Palestiniens dans le besoin. Sur cette somme, € 2,1 millions sont des contributions externes de l'Italie, l'Espagne, la Finlande et la France.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
La supériorité de l'Empire ottoman s'explique par sa capacité à dominer militairement une population multinationale et multireligieuse. L'administration de l'empire est centralisée pour permettre une bonne gestion de tous les territoires conquis. Les réformes de l'empire commencent dès le XIIe siècle.
Loin devant les Empires grec et romain, l'Empire mongol fut le plus grand de tous les temps. Cela grâce à son fondateur, Gengis Khan, « empereur universel » considéré comme le plus grand conquérant de l'histoire qui unifia les tribus d'Asie centrale au XIIème siècle.
L'Émirat ottoman ou Beylicat ottoman est fondé par une famille issue des Kayı, l'une des vingt-quatre tribus turciques oghouzes qui avaient conquis l'Anatolie au XI e siècle, au détriment de l'Empire byzantin.
Puis, il y eut l'occupation ottomane du XVIe siècle au XIXe siècle, stoppée par la conquête de l'Algérie par les Français.
Puis Barberousse reprend Tunis en 1534 mais en est chassé par Charles Quint lui-même en 1535.
Ainsi, dire que le Maroc n'a pas été conquis par l'Empire ottoman reste relatif, car les relations étaient beaucoup plus complexes, mêlant objectifs et acteurs différents dans un contexte de rivalités prépondérant. Quelle était véritablement la nature des relations entre ces deux puissances ?
Les marges est du Maroc sont plus ou moins occupées par les Turcs de la régence d'Alger (la région de Oujda qui est prise puis perdu en 1672 puis reprise avec le Rif oriental en 1692 jusqu'en 1795).
En 1641, Oujda –qui est alors sous contrôle ottoman– est prise par le prince alaouite Mohammed ben Chérif. Ce dernier razzie la région de Tlemcen et pousse même jusqu'à Laghouat, avant que les Turcs n'obtiennent qu'il se tienne « en deçà de la Tafna » par un traité négocié avec le pacha d'Alger en 1647.
Bien que le Maroc n'a donc pas été stricto sensu conquis par l'Empire ottoman et n'a donc pas été une province ottomane sur plusieurs années, celui-ci a tout de même tenté d'asseoir son pouvoir sur la dynastie chérifienne des Saadiens.
Au XVIIe siècle, le Royaume-Uni devient la plus grande puissance coloniale. Les Britanniques établissent des colonies dans la partie est de l'Amérique du Nord.
Les revers de Napoléon Bonaparte
Il fut l'un des plus grands conquérants de France qui réussit à étendre le spectre de la France sur plus de 130 départements ainsi que sur les territoires tels que Rome, Hambourg, Barcelone, Amsterdam, l'Italie où il est nommé président en 1802 et fait roi en 1805 à 1814.
Kubilaï Khan a régné sur le plus grand empire de tous les temps, qui atteignait à son apogée 33 millions de km2. Conquérant de la Chine du Sud, de la Corée et de la Birmanie, il n'a connu comme échec que l'invasion ratée du Japon.
En 324 apr. J. -C. , l'empereur romain Constantin Ier choisit Byzance comme nouvelle capitale de l'Empire. Sous le nom de Constantinople, elle devient la nouvelle Rome.
On compte aujourd'hui soixante-dix-sept descendants de la dynastie ottomane. Il y a parmi eux vingt-cinq princes, seize sultans et treize femmes portant le titre de sultane. Ils vivent sur le continent américain, en Grande-Bretagne, en Egypte ou en Jordanie, et s'expriment dans plusieurs langues.
L'Église orthodoxe était reconnue par les autorités ottomanes, mais aussi intégrée à part entière dans le système politique et administratif de l'Empire. En revanche, les chrétiens de rite latin dépendaient de l'autorité religieuse du souverain pontife, chef d'un pouvoir politique « ennemi ».
Annexée par l'Empire ottoman au XVIe siècle, la Palestine restera sous influence turque jusqu'au démantèlement de l'Empire après la première guerre Mondiale.
« Palestine » est un terme que les Sionistes ont inventé ». Certains historiens considèrent l'identité palestinienne comme une invention, encouragée par les États arabes en conflit avec Israël.
Histoire. Le Conseil national palestinien déclare unilatéralement l'indépendance de la Palestine le 15 novembre 1988 à Alger, lors de sa dix-neuvième réunion. L'Algérie est le premier pays à reconnaître l'État de Palestine. Dans les jours qui suivent, soixante-quinze États reconnaissent cette indépendance.