Les activités humaines sont le principal facteur de l'érosion actuelle de la biodiversité, notamment à travers la surexploitation des ressources (biosphère, sol, ressources minières, etc.), la pollution, le réchauffement climatique, etc.
La biodiversité, l'ensemble de tous les êtres vivants sur notre planète, décline à un rythme alarmant ces dernières années. Les activités humaines, telles que les changements d'utilisation des terres, la pollution et le changement climatique en sont la principale cause.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Le transport des biens et des personnes. L'agriculture & l'élevage. L'urbanisation. La production et consommation d'énergie.
Les causes de l'impact de l'humanité sur la biodiversité sont multiples : La déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales dont on détruit le milieu de vie. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants.
La crise actuelle de la biodiversité est la conséquence des effets cumulés des pressions exercées par les activités humaines. L'artificialisation et l'agriculture intensive figurent parmi les premières causes de perte de biodiversité en fragmentant et en détruisant les habitats naturels.
Par ses choix de politiques industrielles et commerciales, l'homme influe directement sur le peuplement des milieux. Par exemple lorsque l'homme pratique la déforestation pour l'agriculture, il modifie l'environnement et supprime ainsi des milieux de vie de nombreux animaux.
Le risque anthropique se caractérise par un accident lié à une activité humaine (exemples : site industriel, canalisations de transport de matières dangereuses…) et pouvant entraîner des conséquences graves pour le personnel, les populations, les biens, l'environnement ou le milieu naturel.
On peut citer : La modification des habitats naturels par la déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants. Le changement climatique, qui modifie trop rapidement les conditions de vie des espèces.
Les pollutions des océans, des eaux douces, du sol et de l'air (14 % des impacts) Pesticides chimiques, engrais, solvants, pollutions accidentelles sont également responsables de la dégradation des milieux naturels.
Lorsque la biodiversité diminue, les milieux sont moins résilients, plus vulnérables, car ils sont moins « denses ». Par exemple, si certaines espèces de végétaux disparaissent, le sol est alors plus exposé à l'érosion, aux inondations, aux glissements de terrain.
Nous associons souvent la pollution à l'industrie, aux transports et à la production d'énergie, qui sont des sources importantes, mais près de 50 % des pressions sur la nature liées à la pollution proviennent des émissions agricoles dans l'air, l'eau et le sol.
La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
Les risques technologiques, d'origine anthropique, sont au nombre de quatre : le risque nucléaire, le risque industriel, le risque de transport de matières dangereuses et le risque de rupture de barrage.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Les activités humaines comme la déforestation, l'agriculture intensive, l'industrialisation ont pendant longtemps modifié la faune et la flore conduisant à une forte baisse de la biodiversité.
L'agriculture peut aussi agresser le sol en provoquant son tassement par le passage d'engins de plus en plus lourds. Le sol compacté ne laisse passer ni l'eau, ni l'air et la faune des recycleurs du sol (par exemple, les vers de terre) diminue.
Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
Le rapport révèle que les principales sources anthropiques de pollution des sols sont les produits chimiques utilisés ou produits comme sous-produits des activités industrielles, les déchets domestiques, animaux et municipaux (y compris les eaux usées), les produits agro-chimiques et les produits dérivés du pétrole.
Les pressions exercées sur l'eau ont pour conséquence non seulement une détérioration des ressources en eau mais aussi une dégradation de la qualité de l'eau : La surexploitation et les épisodes de sécheresse de plus en plus fréquents et intenses réduisent considérablement les quantités d'eau douce.
Parmi ces chiffres, l'activité la plus polluante est la production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné, précise Eurostat.