Tout le monde sait comment les Français surnommaient les Allemands pendant la Première Guerre mondiale : les Boches. Mais ils en avaient autant pour nous. Outre-Rhin, le terme péjoratif équivalent était « Calmüser », qu'on serait bien en peine de traduire, le mot semblant être un dérivé de patois régionaux.
Les Français sont vus comme des gens très raffinés, spécialistes de la mode et du maquillage (pour les femmes) et des arts (pour tous). Ils ont la réputation d'être très cultivés et très au fait des arts et de l'histoire de France . Le pendant négatif est l'impression de nationalisme, souvent doublé de chauvinisme.
C'est vrai que les Allemands ont une sympathie pour les Français ; ils aiment le style de vie à la française ; ils aiment leur rapport à la vie. Alors bien sûr dans le boulot ils prennent des précautions parce qu'ils ne sont pas totalement rassurés, mais ils aiment vraiment les Français.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
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Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Les Allemands ont ainsi été surnommés “alboches”. Puis, en quelques mois, le préfixe “al-” est tombé (il a disparu) et il n'est resté que “boche” (mot utilisé aussi ensuite durant la guerre de 1939-1945). » Injure. « Ce mot argotique a une connotation péjorative.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
La mentalité allemande est en effet très centrée autour de la rentabilité : tandis qu'en France, c'est plus le pouvoir qui attire, les travailleurs allemands cherchent avant tout des postes bien rémunérés qu'ils ne peuvent obtenir qu'en étant particulièrement assidus et consciencieux.
Les Allemands sont réputés pour leur sens de la discipline et leur ponctualité et vous devrez vous y adapter pour vous faire de nouveaux amis. Présentez-vous toujours à un rendez-vous, une réunion ou une rencontre amoureuse au moins cinq minutes à l'avance.
“La langue, la gastronomie, les voitures — il y a bien des choses que nous apprécions en France”, écrit le quotidien allemand Die Welt ce dimanche 7 mai, jour de vote dans l'Hexagone. Le journal publie ainsi “six déclarations d'amour à notre voisin avant le tour décisif de la présidentielle”.
Les Anglais(e)s considèrent que les Français(e)s sont certes plus romantiques, mais qu'ils passent à la pratique également plus souvent qu'ailleurs. Selon une étude anglaise, nous ferions l'amour 137 fois par an, contre 119 du côté de ces petits joueurs britons.
La communauté allemande en France désigne les français d'ascendance allemande et les personnes nées en Allemagne qui vivent en France. Les principales destinations des migrants allemands vers la France, à part Paris, sont les environs de la frontière franco-allemande, le sud de la France et la Corse.
"Oui" en kabyle peut être traduit soit par "ih" ou bien par "wah". Par exemple, "oui, je t'aime" se dit "ih, hemlegh-kem", si il s'agit d'une femme. Et "ih, hemlegh-k", si c'est un homme. Bien-sûr, cela marche aussi avec "wah".
Dites-lui « Hemlegh-kem », qui est la traduction de « Je t'aime » en berbère kabyle, lorsqu'on s'adresse à une femme, et « Hemlegh-k hemlegh-k », lorsqu'il s'agit d'un homme. Si vous êtes en couple avec une femme Amazighe, de la wilaya de Béjaïa, n'hésitez pas à abuser de ces expressions amoureuses.
Assieds-toi et tais-toi ! Qqim tessusmeḍ!
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Au Moyen Âge, les Teutons inspirent le nom français des chevaliers Teutoniques (Deutscher Orden en allemand) et plus tard, le nom de Teutons désignera les Allemands avec des connotations ironiques ou péjoratives.