Les plantes respirent (plus largement, assurent les échanges gazeux avec l'air ambiant) grâce à des orifices situés à la face inférieure des feuilles (voire également à la face supérieure), appelés stomates.
En hiver, lorsque les feuilles sont tombées, elles respirent par simple diffusion avec entrée d'oxygène à travers l'écorce et sortie de dioxyde de carbone par le même chemin.
Le processus de respiration est plus intense pendant les heures de la nuit. Elle s'effectue de la manière suivante : la plante capte l'oxygène par de minuscules trous appelés stomates, situés sur les feuilles. Les stomates s'ouvrent et se ferment lorsque la plante respire ou transpire.
Les arbres fabriquent de l'oxygène et du glucose à partir du dioxyde de carbone contenu dans l'air. Pour cela, ils ont besoin de chlorophylle – la substance qui donne aux feuilles leur couleur verte – mais aussi d'eau, qu'ils puisent dans le sol grâce à leurs racines, et du rayonnement du soleil.
C'est pendant la respiration que la plante consomme le glucose indispensable à sa croissance et qu'elle rejette du CO2. Ainsi, même lorsque la photosynthèse s'arrête le soir faute de lumière, la plante continue de respirer et donc de pousser. Les plantes poursuivent bien leur croissance, même pendant la nuit.
Les scientifiques concluent que les plantes ont “besoin de sommeil”, puisque les plantes “insomniaques” qui ne ferment pas leurs feuilles meurent.
Une étude menée par l'Institut fédéral de recherches WSL vient de montrer qu'ils poussent principalement dans l'obscurité, car l'air plus sec le jour inhibe leur croissance, même sur des sols humides.
L'arbre respire par tous ses organes, mais essentiellement par ses feuilles : il absorbe de l'oxygène et rejette du gaz carbonique. Les échanges gazeux se font au niveau des stomates, petits orifices ovales microscopiques capables de s'ouvrir et de se fermer selon les conditions extérieures.
Le lys de la paix, également connu sous le nom de Spathiphyllum, est la plante phare de la production intensive d'oxygène. Recommandée par la NASA pour ses propriétés assainissantes, cette plante augmente également l'humidité ambiante.
Nous l'avons vu, grâce à la photosynthèse, l'arbre absorbe et stocke le dioxyde de carbone (CO2) dans ses cellules et libère du dioxygène (O2) dans l'atmosphère. Ainsi, moins il y a de forêts, moins de CO2 est capté par l'écosystème forestier, et donc moins d'O2 est libéré.
L'oxygène contenu dans le CO2 est, lui, rejeté dans l'atmosphère. C'est le jour que les arbres accomplissent l'essentiel de leur travail de transformation du CO2 en carbone et en bois, puisque leur carburant est la lumière. La nuit, les arbres « expirent » le gaz carbonique.
Il est généralement conseillé de ne pas mettre de plantes dans une chambre, car la nuit, les végétaux respirent en absorbant de l'oxygène et en rejetant du dioxyde de carbone (CO2). Mais les volumes de CO2 rejetés par les plantes sont très faibles, donc pas du tout dangereux pour la santé !
Processus de la photosynthèse
Les feuilles absorbent le dioxyde de carbone et la lumière. Les feuilles se servent de l'énergie du soleil pour changer l'eau et le CO2 en glucose, tout en rejetant de l'oxygène. Le glucose quitte ensuite la feuille et est transporté dans tout le végétal pour le nourrir.
En fait tout est une question de rejet de CO2 dans la chambre. Durant la journée, les plantes profitent de la photosynthèse. Elles rejettent plus d'oxygène que de CO2. Durant la nuit, il n'y a plus de photosynthèse, les plantes respirent.
Le végétal, en perdant ses feuilles, permet à la sève de redescendre vers les racines, protégeant ainsi le reste des parties aériennes. Quant aux bourgeons qui donneront, au printemps suivant, les jeunes pousses, ils se couvrent d'écailles protectrices dès l'automne.
La transpiration foliaire pour rafraîchir
Les plantes transpirent pour se rafraîchir : l'eau puisée par les racines est rejetée par les feuilles sous forme de vapeur d'eau, ce qui permet aux feuilles de maintenir une température acceptable.
Le Paulownia, ce « super » arbre écologique qui absorbe 10 fois plus de CO2 que les autres. Sans que la majorité d'entre nous s'en rende compte, il existe dans la nature des bottes secrètes qui pourraient grandement nous aider à lutter contre le réchauffement climatique.
Parmi les fruits, optez pour les pêches, les prunes, et surtout les baies. Côté légumes, ceux à feuilles vertes, comme les épinards, les choux, la salade, mais aussi les radis, les patates douces ou l'ail. Parmi les épices, privilégiez le curcuma et le gingembre.
L'Iroko : l'arbre miraculeux qui stocke le CO2 pour le transformer en calcaire. L'Iroko est un arbre tropical africain poussant principalement en zones chaudes et humides, qui a une capacité remarquable à absorber le CO2 pour le transformer en calcaire.
En fait, presque tout l'oxygène respirable de la Terre (près de 21 % de l'atmosphère terrestre) provient des océans. Il s'est accumulé dans l'atmosphère grâce à des micro-organismes marins (par exemple cyanobactéries et micro-algues planctoniques) capables de réaliser la photosynthèse.
À chaque fois que la photosynthèse produit de la matière organique contenant 12 g de carbone, il y a production de 32 g de dioxygène. L'O2 est donc libéré dans la proportion de 32/12 par rapport au C incorporé au cours de la photosynthèse.
Tout au long de sa vie, l'arbre a la capacité d'absorber le CO2 de l'atmosphère à l'aide de ses stomates, des petits trous, invisibles à l'œil nu, situés sur la face inférieure des feuilles (ou des aiguilles, dans le cas des conifères). Il le transforme en-suite en séparant le carbone (le C) et l'oxygène (le O2).
Les arbres, comme la plupart des organismes vivants, sont soumis au rythme circadien. La nuit, ils entrent dans une phase de « sommeil » durant laquelle ils semblent se détendre : quelques heures après le coucher du soleil, leurs branches s'affaissent de plusieurs centimètres.
L'arbre puise l'eau contenant des sels minéraux grâce à ses racines. En parallèle, il capte du dioxyde de carbone au niveau de ses feuilles et de l'écorce. Le fameux CO2 présent dans l'atmosphère pénètre dans l'arbre par de petits orifices (les stomates).
Tout au long de sa vie, l'arbre a la capacité d'absorber le CO2 de l'atmosphère à l'aide de ses stomates, des petits trous, invisibles à l'œil nu, situés sur la face inférieure des feuilles (ou des aiguilles, dans le cas des conifères). Il le transforme ensuite en séparant le carbone (le C) et l'oxygène (le O2).