En Belgique, le W se dit WOUA. De ce fait pour un wagon c'est WOUAAGON alors qu'un français dira Vagon. Le plus drôle c'est WOUAISC (comprenez WC)…
Le mot toilettes (nom féminin) désigne le local appelé aussi cabinets, chiottes ou « petit coin » (ou en Belgique « la toilette » ou le binoche) consacré à la discrétion et l'intimité du moment de soulagement volontaire des déjections corporelles : urine et défécation principalement.
« Serviette » v « Essuie »
En Belgique, le mot « serviette » fait référence au mouchoir seulement. Le mot pour le premier est « essuie ». Alors bonne chance pour vous essuyer avec un petit mouchoir en papier si vous demandez une « serviette » lors d'une visite à la piscine.
Les belges sont un peuple enthousiaste et trouvent tout « très chouette ! », et disent tout le temps « ça va » au lieu de OK. Quand ils te disent au revoir, ils te disent « à tantôt ! », quand ils te parlent de ce qu'ils ont fait il y a quelques heures, ils disent « tantôt » aussi !
1. La drache. « La drache » est peut-être le mot le plus important à apprendre quand on va en Belgique.
Il drache : il pleut à verse
« T'as vu comment il drache dehors ? Je n'ai même pas mon parapluie… »
(Familier) Personne qui manque de compétence, de savoir-faire.
(Belgique) Imprévu, problème. (Belgique) Truc, machin.
(Argot bruxellois) Pénis.
En France, la variante clignotant est de loin la plus répandue. En Belgique, la forme clignoteur arrive en tête des sondages, tout comme dans les cantons de la partie septentrionale de la Romandie (Jura, Jura bernois et Neuchâtel).
Nonante. En Europe, le terme nonante est utilisé de façon majoritaire en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, dans la vallée d'Aoste et en français de Jersey, mais également de façon minoritaire en Savoie.
En Belgique et en Amérique du Nord, un torchon est un linge servant à nettoyer les sols, qu'on appelle en France serpillière. En Lorraine, la serpillière est également appelée « torchon de plancher ».
Mot vulgaire et argotique pour parler des toilettes en tant que pièce ou en tant que cuvette. Exemple : J'ai refait la peinture de mes chiottes, hier. Par extension, c'est devenu un terme pour désigner une vieille voiture ou moto.
Locution verbale - français
Se rendre aux toilettes temporairement pour se soulager des déjections corporelles.
Wallon, français régionaux et français "commun" de Belgique
On confond encore souvent les parlers wallons et les français régionaux de Belgique alors qu'ils représentent une réalité linguistique complètement différente.
Les trois langues principales sont, par ordre d'importance, le français (75 % de la population belge), le néerlandais (70 %) et l'anglais (40 %). Il importe de remarquer que le français (maternel ou acquis) est parlé par un nombre plus grand de personnes que le néerlandais.
Bruxelles est bilingue : le français et le néerlandais y sont les langues officielles. Pourtant, les Flamands qui habitent à Bruxelles ne constituent qu'une minorité.
(Belgique) (Cyclisme) (Transport) Vélocipède que l'on loue sur la côte belge ou dans d'autres lieux de villégiature, comportant plus de deux roues (tricycles, quadricycles), muni d'un nombre variable de sièges et de pédaliers, et loué aux estivants par des exploitants spécialisés en vue de la promenade ou du ...
Des Belges appelés Diables Rouges. Mais d'où vient ce surnom? Si la première confrontation entre Français et Belges date de 1904 (3-3), il faut remonter à 1906 pour comprendre le surnom de nos voisins.
Mais quelles sont les langues parlées par les Belges ? Français, néerlandais ou allemand ? Néerlandais en Flandre, français en Wallonie, allemand dans les communes de la zone germanophone, français et néerlandais à Bruxelles-Capitale et la langue que vous souhaitez dans votre foyer.
La plus célèbre expression belge, celle que les Français portent au pinacle du "parler belge" est celle de l'invitation à son fils d'un père souhaitant les explications de celui-ci: Arrivez une fois, fiske ! Pour faire court, "Une fois" signifie tout ce que vous voulez, sauf une fois (p.r. à deux fois ou plus).
Si la commune d'Ixelles, bien connue des expatriés fiscaux français, se prononce «Ikselles», ce n'est pas le cas de la ville de Bruxelles, qui elle se prononce «Brussel». C'est comme si les Belges parlaient de Parisse, ville lumière. Avouez que ça gratte l'oreille.
En Belgique, on parle de GSM, parfois abrégé en G, pour son téléphone portable. Cet acronyme de Global System for Mobile Communications désigne une norme numérique de téléphonie mobile. Quand on parle de portable à Bruxelles, on évoque plutôt un ordinateur. Bonus : en Suisse, on dit un Natel.