Les inégalités de genre, entre hommes et femmes, s'observent dans toutes les régions du monde. Les femmes ont des salaires plus faibles. Dans les pays en développement elles ont un niveau d'instruction plus faible car elles ne peuvent pas toujours accéder à l'éducation.
Ces inégalités se manifestent dans la grande majorité des pays du monde. Elles se remarquent dans les domaines comme l'art, l'économie, l'éducation et la rémunération, mais aussi dans la sexualité, la justice et le mariage. Le mouvement pour l'égalité des droits entre les hommes et les femmes est récent.
Ces inégalités socio-spatiales se traduisent notamment dans les villes par des différences d'accès à l'emploi, de qualité des logements ou encore d'intégration territoriale.
Les inégalités entre les populations des pays pauvres et des pays riches ne se résument pas aux écarts de revenus. Elles se traduisent par des conditions de vie très différentes. Des progrès importants ont ainsi été réalisés dans l'accès à l'eau potable, à l'alimentation, à la santé, à l'éducation, au logement.
Au sein d'une même région ou d'une même ville, on peut aussi voir des différences marquées entre différents territoires ou quartiers, que ce soit en termes d'opportunités économiques ou de qualité de vie. Ces inégalités dites « territoriales » constituent un problème politique, social et économique important.
Une multitude de facteurs – stagnation des salaires et baisse de la part des revenus du travail, déclin progressif de l'État-providence dans les pays développés, protection sociale insuffisante dans les pays en développement, changements dans la fiscalité, déréglementation des marchés financiers, évolutions ...
50% de la population des DOM sont raccordés à internet pour une moyenne nationale de 81%. 70 000 logements dits précaires ou indignes sont comptabilisés dans les cinq départements d'outre-mer. Ils représentent à eux seuls 13% des logements insalubres français, pour seulement 4% de la population.
mobilisation des politiques publiques de droit commun en faveur des habitants des quartiers prioritaires ; programmation annuelle des actions en faveur des habitants des quartiers prioritaires dans le cadre des contrats de ville ; Instruction des demandes de subvention et contrôle des structures financées.
Les inégalités qu'elles soient qualitatives ou quantitatives, prennent des formes variées : inégalités de revenu ou de patrimoine, inégalités scolaires, culturelles, générationnelles, genrées, politiques, etc.
Définition. Les inégalités sociales sont des différences entre individus ou groupes sociauxportant sur des avantages ou des désavantages dans l'accès à des ressources socialement valorisées. Ces ressources socialement valorisées dépendent bien sûr de chaque société, des valeurs de chaque société.
Une différence ne devient une inégalité que si elle concerne un accès différencié à des ressources socialement valorisées. Ainsi, les inégalités reposent-elles explicitement ou implicitement sur des formes de hiérarchisations sociales dont les normes et valeurs collectives sont au fondement.
Elles se traduisent concrètement par des conditions de vie très différentes, en particulier en ce qui concerne les biens fondamentaux tels que l'accès à l'eau potable, à l'alimentation, à la santé, à l'éducation, au logement ou aux nouvelles technologies.
L'inégale répartition de la population mondiale peut s'expliquer par les contraintes naturelles, mais elle est aussi influencée par l'histoire et la culture des populations. Les foyers de peuplement européen et asiatique sont très anciens.
L'État a un rôle majeur dans la lutte contre les inégalités. Il peut lutter contre les discriminations, moduler ses prélèvements obligatoires pour plus de justice sociale et surtout par la mise en place d'une sécurité sociale collective qui crée un lien de solidarité entre tous les individus.
Comment expliquer les inégalités ? Les inégalités sociales ne sont pas une fatalité, elles sont le résultat d'une longue histoire de choix idéologiques, politiques et économiques. Ce sont donc aussi les choix que nous faisons en tant que société qui ont le pouvoir de faire émerger un monde plus juste.
Sans surprise d'ailleurs, les inégalités de richesses, qui sont plus fortes aujourd'hui que jamais, sont mises en lumière en quatre chiffres : les 10% les plus riches détiennent 76% de la richesse mondiale, tandis qu'à l'inverse, les 50% les plus pauvres n'en possèdent que 2%.
Elles résultent d'une inégalité de distribution d'une multitude de déterminants sociaux tels que le genre, le pays de naissance, la composition familiale, le revenu, la scolarité, le métier, le soutien social mais aussi d'autres déterminants plus globaux, telles que les politiques sociales.
Les inégalités sont en hausse et elles nuisent à l'économie, à la démocratie et à la société. Les écarts excessifs de richesses et d'opportunités affectent tout le monde. Souvent présentées comme inéluctables, elles sont le reflet de choix de société.
La désindexation des salaires sur l'inflation, la hausse du chômage et les dérégulations ont contribué à creuser les écarts de revenus. Et surtout ceux de patrimoine, dans des proportions plus importantes encore.
Les villes attirent, car elles offrent des services et des emplois, mais elles manquent d'infrastructures en matière de transports, d'assainissement, de logements. Ce sont des concentrés d'inégalités.
Défaut d'égalité. ➙ différence, disproportion.
L'observatoire des inégalités estime que 10 % des plus riches captent près du quart des revenus en France en 2019. Parallèlement, 8 % de la population française vit avec moins de 855 € par mois.