La plupart des jeunes utilisent les réseaux sociaux pour regarder des photos et liker les posts des autres. Ils consultent souvent les profils de leurs amis, envoient des messages instantanés, postent des informations et partagent leurs propres photos.
La quasi-totalité des adolescents utilise le web pour s'informer. Le travail scolaire, les vidéos, la musique, la consultation d'emails et les jeux vidéo sont les autres activités les plus courantes sur la toile.
Les réseaux sociaux chez les 15-25 ans en France. En présence quotidienne, cette tranche d'âge utilise d'abord Snapchat (82%) qui creuse l'écart avec Instagram (69%) loin devant Facebook et TikTok à égalité (40%) et Twitter (27%) (2).
Il met notamment en évidence le fait que Instagram était le réseau préféré de près de 85 % des jeunes agés de 15 à 18 ans interrogés.
Les jeunes sont particulièrement connectés sur les réseaux sociaux et sur les nouveaux médias, ce dont témoignent ces chiffres : 97% des 14/25 ans ont au minimum un réseau social. Une moyenne de 2h55 par jour sur les réseaux sociaux. 89% des 16/18 ans utilisent Instagram.
L'adolescence est la période de la vie où votre enfant construit sa confiance en soi et où il consolide son identité en se confrontant au regard de son entourage. Il se sert des réseaux sociaux pour renforcer sa confiance en soi grâce à la popularité acquise, qui se compte en nombre de followers et de likes.
Lexique de jeunes : I à Z
La miff : la famille. OKLM : popularisée par le rappeur Booba, l'expression « OKLM » qui s'écrit en langage SMS signifie « au calme ». J'suis en PLS : « PLS » signifie « position latérale de sécurité ». Pour un jeune, être en PLS signifie ne pas se sentir bien.
L'adolescent ne modifie pas seulement son comportement pour s'adapter à son environnement. Les influences sociales façonnent également son identité. Il est normal que les adolescents soient plus vulnérables à leur environnement. Surtout lorsque les réseaux sociaux possèdent une influence importante sur les plus jeunes.
« Les jeunes ne lisent plus parce que tout simplement les livres qu'on leur propose ne sont adaptés ni à notre culture ni à notre temps », explique-t-elle. A en croire l'enseignante, la littérature africaine qui est enseignée dans des écoles souffre, elle aussi, des mêmes contrariétés.
L'impact des influenceurs sur les jeunes vient donc de leur capacité à paraître plus fiables et plus facilement identifiables que les médias dits traditionnels. Leur influence sur les décisions d'achat découle de ce sentiment de proximité, et du fait qu'ils ressemblent tout simplement à leur communauté.
A l'adolescence, on rencontre aussi des jeunes qui s'isolent, notamment à cause de complexes physiques ou sociaux. Cela peut tout à fait être transitoire, mais c'est un indicateur d'une souffrance, qui est plutôt cachée. Il y a une honte à ne pas avoir d'amis qui est très marquée à cette période de la vie.
Il ne faut surtout pas hésiter à mettre l'accent sur l'aspect visuel et créatif. En effet, les générations Y et Z sont plus créatives, elles créent souvent leurs propres contenus notamment sur Snapchat et Instagram avec les filtres à gogo, les bitmojis, les animations en réalité augmentée…
"L'un des meilleurs moyens d'amener la jeune génération de la génération Z et des Millennials à se concentrer sur les produits de détail est de proposer des expériences plutôt que des produits. La nouvelle génération est très axée sur la culture des festivals, ce dont les commerçants peuvent tirer parti."
La Garantie jeunes propose une allocation mensuelle (d'un montant maximal de 484 euros) et un accompagnement renforcé en mission locale pendant un an aux jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont ni en emploi ni en études ni en formation et en situation de précarité financière.
D'origine arabe, l'expression « c'est la hass » veut dire que c'est « trop la galère » et beaucoup d'autres dérivés comme « c'est la crise », ou encore « c'est la misère » et parfois même « c'est la honte ».
Daron, daronne : père, mère
Dès le début du XVIIIe siècle, daron signifie « père » et c'est aussi, selon le Trésor de la langue française, un « sobriquet que les ouvriers donnent à leurs bourgeois ». S'il continue à signifier « patron » ou « père », daron désigne aussi « un tenancier de cabaret » au XIXe siècle.
Wesh (« hé ! alors ! salut ! ») vient de l'expression wesh rak (« comment vas-tu ? ») (dialecte algérien et marocain).
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Enfin, les jeunes peuvent régulièrement se plaindre d''avoir le seum', ce qui est une expression pour dire que l'on est horripilé au plus haut point. Le terme 'seum' vient du mot arabe 'sèmm' qui signifie 'venin'. Autrement dit, quand on a le seum, on a la rage.
Au début du XXe siècle, « blaze » désignait les armoiries – « les numéros » – permettant de différencier les prisonniers entre eux. Les bandits, et autres délinquants se sont alors approprié le terme qui, au fil du temps, s'est fait une place dans le cercle des classiques de l'argot français.