Un émetteur envoie une onde radio correspondant à la descente parfaite de l'avion (ici en rouge). Même sans visibilité, le pilote a ainsi une indication sur sa descente. Un deuxième système co-existait avec celui-ci. Il s'agissait d'une simple balise émettant à la verticale.
Elle se base sur l'utilisation de balises radioélectriques situées sur le sol dont le signal est transformé en indication de position par des récepteurs installés à bord de l'avion. L'indication de position est donnée ensuite sur un cadran à bord de l'avion.
L'atterrissage d'un avion se fait face au vent pour atterrir sur une distance plus courte. L'utilisation des pleins volets (et si installés les becs) permet de réduire la vitesse d'approche. La distance d'atterrissage augmente avec l'altitude et la température.
En principe, il y a deux possibilités : le vol à vue et le vol dit aux instruments. Le vol à vue signifie simplement que le pilote s'oriente aux points qu'il peut voir à l'extérieur de l'avion, p. ex. des arbres et montagnes.
Certaines pistes sont équipées du système ILS (Instrumental Landing System) qui guide l'avion lors de l'atterrissage. Sous certaines conditions météorologiques (fort brouillard), l'ILS CAT IIIc est un atterrissage totalement géré par le pilote automatique.
Pour qu'un avion décolle, il est essentiel que ses ailes génèrent de la portance, un phénomène directement lié à la vitesse de l'air sur les ailes. Ainsi, théoriquement, un avion face à un vent fort pourrait décoller même à l'arrêt, comme le démontre certaines vidéos spectaculaires.
Avoir le store relevé lors du décollage et de l'atterrissage permet aux passagers de s'habituer à la lumière du soleil, et de ne pas être éblouis s'ils doivent être évacués.
La langue anglaise est massivement utilisée dans l'aviation, en particulier pour les communications entre pilotes et contrôleurs aériens.
Introduction. Après avoir atterri, quand un avion arrive près de l'aérogare, un agent de piste appelé signaleur, placeur ou Marshaller (en anglais), casque sur les oreilles, le guide avec ses bras ou à l'aide de deux bâtons lumineux et le dirige vers son point de stationnement.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
La surveillance radar : Les contrôleurs aériens utilisent des radars pour suivre la position de chaque avion dans l'espace aérien et peuvent donner des instructions pour éviter les collisions potentielles.
Présentation. La base aérienne 125 Istres-Le Tubé est une base de l'Armée de l'air française. Sa piste de 5 000 mètres est la plus longue d'Europe.
L'idée étant de diminuer la charge de travail ainsi que la fatigue du pilote principal au sein de l'appareil mais aussi de son copilote. Enfin sur un aspect sécurité, c'est aussi en quoi une deuxième personne dans le cockpit reste indispensable.
De nuit, les pilotes volent selon ce que leur indiquent les instruments et c'est pourquoi, quand vous devenez pilote, vous passez d'abord une licence de vol visuel de jour, ensuite vol de nuit, ensuite vol instrument qui permet de voler dans les nuages et finalement, vol multi-moteurs.
Vous devrez avoir entre 17 et 22 ans, être bachelier. Vous serez alors formé au pilotage d'avion de chasse, de transport, ou d'hélicoptère.
Normalement, un pilote vole environ 900 heures par an. Cela peut ne pas sembler beaucoup mais, en analysant le planning d'une journée type (voir ci-dessous), je travaille souvent une douzaine d'heures par jour.
Est-ce que les pilotes dorment pendant le vol ?! Oui, dans une petite chambre annexée au cockpit 😉
Après le bac
2 ans pour préparer le diplôme d'élève pilote de ligne de l'Enac (École nationale de l'aviation civile). La formation est accessible sur concours avec un bac + 1 scientifique.
pilota \pi. ˈlɔ. ta\ masculin et féminin identiques Note : la forme féminine est rarement utilisée. Pilote.
Profiter d'un repos adéquat est une préoccupation majeure pour les pilotes de ligne. Les pilotes assurent un service disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par année. Il arrive souvent qu'ils se préparent à travailler au moment où la plupart des gens retournent à la maison et se préparent pour la nuit.
Cela peut être bénéfique pour l'adaptation de l'organisme aux changements d'altitude et de pression, ce qui peut aider à prévenir le mal d'altitude ou l'effet de “blocage d'oreille” ressenti par certains passagers. Enfin, lorsqu'un avion décolle, la pression extérieure diminue à mesure qu'il gagne en altitude.
Si un incendie se déclare à l'extérieur de l'avion, les stores relevés permettent aux membres de l'équipage de repérer rapidement la source du feu et de prendre des mesures pour y faire face. En somme, lever les stores des hublots pendant le décollage et l'atterrissage contribue à la sécurité globale du vol.
Le bruit aérodynamique est dû aux turbulences aérodynamiques créées autour de l'avion.